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 Meet the Decline.

Zachary Amendola
SCREAMINGEAGLE
Zachary Amendola
Âge du perso : 21 ans
Activité : Hockey
Spécialité : Défenseur
Fonction : Universitaire
Poste spécial : The One Who Knocks
Avatar : Iwaizumi Hajime- Haikyuu!!
Messages : 64
Date d'inscription : 18/06/2015
SCREAMING★EAGLE

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Titre




Infos
XX Nom : Amendola
XX Prénom : Zachary
XX Âge : 21 ans
XX Sexe : Masculin
XX Nationalité : Américaine
XX Origines : Américaines avec des racines italiennes si on remonte suffisamment loin.
XX Orientation sexuelle : Hétérosexuel.

XX Statut : Universitaire
XX Régime : Demi-pensionnaire
XX Poste spécial : Nein.
XX Camp : Volfoni.

XX Cursus : Hockey sur glace.
XX Spécialité : Défenseur.
XX Groupe souhaité : Solitaire à l'intérieur, sportif à l'extérieur. Les autres le perçoivent surtout comme un sportif.

XX Rang :  J'en rien de pertinent qui me vient à l'esprit ;w;
Code:
pas plus de 96 caractères siouplait

Divers & précisions


XX Pense que de porter des écouteurs lui confère la protection nécessaire contre les discussions inutiles XX Devrait suivre sa diète au lieu de se nourrir presque exclusivement de nourriture qui va au micro-ondes XX Porte que des chemises à manches longues pour camoufler son tatouage XX Il déteste se justifier par rapport à son tatouage et est beaucoup moins patriotique qu'il n'y paraîtXX Porte une chaînette en or autour du cou XX Bosse dur pour ses cours, mais les résultats tardent à se montrerXX Énormément distrait XX N'aborde jamais les gens. Jamais. XX Indiscipliné au hockey, il passe de nombreuses minutes sur le banc des punitions. S'il affirme ne pas aimer la violence, il se trahit en étant le premier à jeter les gants XX Même s'il cogne dur, il ne sait à peu près pas se battre pour vrai XX Adore les ramens et pourrait subsister qu'à partir de ça XX Préfère manger salé plutôt que sucré XX S'entraîne beaucoup XX Est en train de lire La Peste par Albert Camus XX N'est pas souvent seul XX N'est pas très poli XX Encore moins galant XX Se fie uniquement à la première impression pour catégoriser les gens XX Propice au jugement primaire XX Son style de musique tourne autour du punk, du ska et du reggae XX Au niveau des vêtements, comme il voyage beaucoup avec l'équipe, il a adopté le style vestimentaire dans la vie de tous les jours. Souliers classiques, pantalon propre, chemise aux manches retroussées. Veston et cravate pour les grands moments. Ça lui donne un air distingué, mais coincé un peu aussiXX Sinon le reste du temps il se fait pas chier et c'est un vieux jogging dégueulasse avec un t-shirt. XX A un porte-monnaie «Bad Motherfucker» tiré du film Pulp Fiction. XX Devient émotif quand il regarde des vidéos de soldats qui rentre du front pour revoir leurs familles XX Même chose avec les vidéos d'animaux qui sont secourus XX Aime les chats, mais s'en vante pas

• Histoire
«En rétrospective, je ne sais pas trop à quel moment j’ai fait un mauvais choix, que je me suis écarté du droit chemin. J’aime mieux ne pas y penser, à vrai dire. J’risque surtout d’être déçu. On n’était pas trop mal partis pourtant, non? Haha…»

Je m’en souviens, de ce temps, la petite enfance. Si j’avais à mettre sous forme de dessin cette époque, il y aurait un grand champ, des tournesols balayés au gré de la brise fraîche portée par la mer en arrière-plan. Au loin, une figure vêtue d’une belle robe blanche, beaucoup trop petite pour y déceler le sourire étincelant. Tout le monde serait content. Le truc hyper cliché et pittoresque. La naïveté, l’insouciance. Entre nous, sans doute que j’embellis la réalité, mais c’est aussi bien comme ça. Je suis l’heureux aîné de deux enfants, issu d’une famille fière de sa glorieuse Amérique. Mon père était un patriote invétéré défendant le cœur de sa nation, sergent Amendola qu’on l’appelait. Je ne vous dis pas le sentiment de fierté qui me gonflait la poitrine à chaque fois que j’entendais son nom prononcé avec admiration et révérence. Après tout, n’était-il pas un héros, un défenseur du rêve américain? L’expression «mon père est plus fort que le tien» prise au sens littéraire. Ma mère, elle, une carriériste du domaine des finances qui a sans doute déjà regretté d’avoir donné naissance à un moment ou à un autre. Si mon père faisait partie du cœur de la patrie, elle était le cœur de la famille. Elle est une bonne mère, malgré tout. Enfin, à force de se bourrer le crâne d’émissions qui mettent en scène les pires familles du monde, on finit par se convaincre que c’est dur de faire pire. Finalement, un petit frère efféminé qui est sorti du placard beaucoup trop tard pour son propre bien. Voilà le genre de pétrin dans lequel je me suis retrouvé. Les plus cyniques diront que j’ai tiré le gros lot même si dans les faits, c’est probablement moi le pire du quatuor.

« Je sais pas qui est le plus à plaindre dans toute cette histoire. T’en a pas marre un peu, toi, de te faire prendre en pitié? Qu’on pleure une supposée tragédie? Parce que bon, faut bien rationaliser, y’a pire ailleurs. Y’a toujours pire… Bah oui, regarde les petits crève-faim en Afrique. Beaucoup plus touchant qu’un type et son frère pédé comme un phoque. Ah, n’empêche, je n’aurais pas refusé la chance d’avoir la vie la plus banale possible.»

L’entrée à l’école est toujours un moment marquant dans la vie du jeune américain moyen. Je m’en souviens très bien, parce que dès le premier jour, j’ai raté l’autobus (enfin, c’est surtout lui qui m’a raté vu que j’étais le seul enfant du coin). C’était la première fois que j’étais aussi longtemps éloigné de ma mère et qu’on m’éloignait de tous mes repères. Avec mon père j’avais l’habitude déjà des longues périodes d’absence, effort militaire l’obligeant à rester loin. Cette période d’adaptation à ce nouveau mode de vie fut très courte, cela dit. Déjà après quelques semaines, j’avais un nom tout fait dans l’établissement. Bien sûr, j’étais persuadé que d’avoir un père militaire me conférait le droit de faire ce que j’avais envie, même de faire pipi sur mon «ami» qui refusait de me laisser jouer aux Legos avec lui. Apparemment, on n’a pas le droit de faire ça. J’étais pas à blâmer du tout. J’étais avec les jeunes cool, on se moquait tous du petit John qui était allergique au pain et la vie était belle. J’étais du bon côté du spectre de la vie sociale. J’avais appris Stars and Stripes Forever à la flûte à bec, ce qui faisait officiellement de moi un pur américain et qui, de surcroît, rendait mon grand-père ultimement fier de sa descendance. Surtout que pour lui, les États-Unis étaient le seul pays qui méritait d’exister et qu’il devenait agressif quand on mentionnait la Russie, l’Allemagne et l’Italie. Le Japon, ça allait, étrangement. J’ai jamais osé lui demander pourquoi. L’ironie fait d’ailleurs en sorte que mon nom de famille tire ses origines de l’Italie. Parfois il ne vaut mieux pas trop chercher à savoir.

On avance jusqu’en 2004. C’est le moment qui, je crois, a marqué le début de la fin pour plein de choses. On se remettait à peine de l’effondrement du World Trade Center, sujet dont on parlait encore du bout des lèvres à l’époque,  qu’il fallait que je perde mon père en Iraq. On craignait tous le pire, évidemment, mais on tentait de rationaliser en se disant que ça n’arrive qu’aux autres, ce genre de trucs. Pas à nous. Je m’en souviens encore. En plein cours d’histoire, alors qu’on parlait du Boston Tea Party de manière suffisamment vague pour permettre à n’importe quel enfant ayant un temps d’attention inférieur à cinq minutes de pouvoir suivre sans problèmes. Le directeur m’appela à son bureau au travers de l’Interphone. Mon premier réflexe avait été de nier toute possible implication avec une bêtise quelconque dont j’aurais pu être l’instigateur (et je les cumulais à cette époque). L’horloge montrait dix heures quatorze minutes et il n’y avait aucun absent, cette journée-là. Enfin si, maintenant il y en avait un. La scène en tant que telle est un peu floue, composée environ de deux parts de déni et d’une part de rire nerveux. Ma mère en larme implorait une réaction quelconque de ma part tandis que le directeur, les yeux fixant ses souliers, ne souhaitait rien de plus que d’être ailleurs et de nous voir partir tant il croulait sous le malaise. Encore aujourd’hui j’ai du mal à mettre des mots sur ce que j’ai vécu pendant cette période. C’était rien. Le vide. Je nageais dans un miasme d’incompréhension et de haine. Le temps s’était figé au mauvais moment. Évidemment, le reste n’était que pleurs et indignation. C’est de cette façon que le sergent Dexter «Dex» Amendola laissa dans le deuil une femme esseulée et ses deux fils, dont un qui ne l’aura jamais vraiment connu. Un shrapnel lui avait perforé l’artère fémorale alors qu’il était isolé et le temps qu’on lui vienne en aide, il s’était déjà trop vidé de son sang. Il n’aura pas eu de derniers mots non plus, ses frères d’armes ne décelant rien au travers des gargouillis gutturaux. C’est à ce moment que j’ai eu ma première grande leçon de vie : les héros n’existent pas.

À dix ans, c’est une grosse réalisation que de comprendre que nos modèles dans la vie ne sont que des gens aussi pathétiques que soi, sinon plus. Le héros immortel que je voyais en mon père n’aura été qu’une utopie qu’on me servait à coups de discours héroïques et d’élans de patriotisme à la télévision. Les obsèques arrivèrent et étrangement, je n’avais plus la force physique et mentale de pleurer et de m’apitoyer sur mon sort comme la semaine auparavant. Puis, il y avait suffisamment de personnes pour combler mon manque de larmes. Les vieux bonshommes me félicitaient de rester fort et d’agir en homme, ce à quoi je n’accordais aucune importance. D’autres cherchaient à me voir rassuré, affirmant qu’il avait été demandé à la droite de Dieu. Je l’aurais bien envoyé chier à cet instant, Dieu. Du plus profond de mon être.  Je me contentais d’observer sans trop comprendre pourquoi les gens se massaient pour venir pleurer la perte de quelqu’un dont ils devaient se foutre éperdument en temps normal. J’entendais des noms de femmes avec qui ma mère s’était disputée au téléphone des mois auparavant et qui la prenaient maintenant dans leurs bras, pleurant toutes les larmes de leurs corps. Si je n’arrivais pas trop à faire du sens de cette véritable foire, je comprenais néanmoins toute l’hypocrisie qui emplissait cette salle. Au fil des années, j’ai pu tirer mes conclusions sur ce qui me tracassait à cet instant. Les gens ont ce besoin de toujours bien paraître. Comme quand ils doivent se mettre beau pour une soirée ou qu’ils te félicitent pour un accomplissement quelconque alors qu’ils ne battent même pas un cil pour toi en temps normal. Bref, ils doivent toujours agir selon les circonstances. De cette façon, on garde un bon souvenir d’eux et on leur retournera la pareille un jour, sûrement. Les larmes que tous ces gens versaient n’étaient pas pour mon père, c’était pour eux-mêmes. Ces larmes étaient des investissements. Même ma grand-mère qui pleurait la mort de son fils… Même si je ne doutais pas de sa tristesse, je la savais terriblement croyante. Alors, se pouvait-il que quelque part, en implorant et en louangeant le seigneur, elle cherchait à gagner son paradis? À cet instant, j’ai appris une seconde importante leçon de vie : les relations interpersonnelles ne sont que des échanges de bons procédés. Quand je me vois aujourd’hui, je comprends pourquoi j’ai si peu de véritables amis. C’est parce que je n’aime pas avoir des dettes.

«Après ça, c’était pas si mal non plus, tu trouves pas? Bon, c’était plus comme avant, c’est certain et t’en a bavé plus que moi certainement. Quoi que, j’en garde encore des cicatrices, hahaha. C’est la période qui aura fait de moi un homme! Plus alpha que ça, tu pisses sur les poteaux pour marquer ton territoire.»

L’après-deuil aura été une période terne, grise et morose. La première chose que j’ai faite en revenant des funérailles a été de fixer le ciel, cherchant un signe quelconque. Je refusais encore de croire qu’après tout cela, il ne restait plus rien. Je me souviens de la première chose que j’ai dit, à cet instant : «J’fais quoi, maintenant?». Je fais comme si de rien n’était? J’dois arrêter de pleurer? Arrêter de me dire que c’est la fin? Honnêtement, même vivre au jour le jour c’était de voir trop loin dans le futur. Malgré l’aide des psychologues et des ressources à notre disposition, tout le monde s’était un peu refermé sur soi-même. Dorénavant nous n’avions que très peu de nouvelles de nos grands-parents paternels, qui appelaient une fois de temps en temps pour savoir si on était toujours en vie. Ma mère qui avait été inconsolable durant des mois se livrait corps et âme dans son travail et le soir venu fuyait la réalité dans ses romans à l’eau de rose. Ça c’était quand elle ne s’isolait pas dans sa chambre, visage enfoui dans son oreiller et marmonnant qu’elle le rejoindrait bientôt. Elle s’occupait toujours autant de nous, mais elle avait perdu son éclat et semblait agir de manière désintéressée parfois, comme si elle devait se forcer à honorer un contrat, soit celui d’être mère. Il lui faudra quelques années encore pour recommencer à s’ouvrir à nous comme avant, puis au reste du monde. Mon petit frère lui avait commencé l’école et subissait le même sort que n’importe quelle tête de Turc. Au début, son erreur c’était d’être le garçon qui jouait à des jeux de filles. Après, c’était d’être celui qui n’avait pas de père. Quant à moi, je me retrouvais propulsé dans un rôle d’adulte malgré moi. Faute d’effectifs, j’étais devenu l’homme de la maison et par conséquent, je sentais avoir une certaine responsabilité dans ma famille, surtout envers mon frère cadet. Les études prenaient une place secondaire et je jetais nonchalamment mon dévolu dans le hockey que je pratiquais depuis longtemps et qui était un de mes seuls contacts avec le monde extérieur. Sinon, j’étais devenu garde du corps pour Matthias (mon frère). Quand on l’embêtait, j’allais embêter les grands frères de ces gosses. Quand on le frappait, j’allais frapper leurs grands frères, devant eux pour qu’ils comprennent la leçon. Je n’ai jamais aimé la violence, du moins je ne l’ai jamais cautionné. Mais putain que ça fait du bien, parfois. J’avais ce trop-plein que je devais vider. À cette époque j’étais déjà empreint d’un certain laissé aller, un je-m’en-foutisme pour tout ce qui m’entourait. J’avais perdu en grande partie le besoin de peser mes mots. Lorsque je me retrouvais dans le pétrin à mon tour, j’arrêtais de réfléchir. Je me laissais guider par l’émotion, sans trop penser à moi-même. Je me suis pris de sales raclées, par moment.

Ma situation familiale précaire m’interdisait le droit de me rebeller. La fameuse phase de transition qu’est l’adolescence s’inscrit dans mon parcours comme étant la nécessité de veiller sur ma famille, quitte à m’oublier moi-même. Puis bon, comme la période du décès de mon père coïncidait avec le début de la puberté, j’avais l’impression que je n’aurais que très peu d’opposition si je décidais de faire une fugue.  Le mot d’ordre était de continuer à avancer, coûte que coûte. Qu’on allait s’en sortir. Je pense qu’on a réussi, même si ça a été plus long que prévu pour mettre cette histoire derrière nous. Je me sentais déjà très distant des autres de mon âge, comme si j’avais grandi en parallèle durant tout ce temps. Même au sein de mon équipe de hockey, je sentais une grande disparité. Parce que mes centres d’intérêt ne tournaient pas forcément autour des poitrines et que faire des blagues  sur ma mère résultait environ toujours en quelques dents en moins. Néanmoins, mes coéquipiers me soutenaient là-dedans. C’est eux qui me donnaient la poussée qu’il me manquait pour avancer. Déjà que j’avais du mal à aborder les gens, encore plus à leur faire confiance, ils étaient un peu ce qui me fallait pour garder les pieds sur terre. Ils m’invitaient à leurs fêtes auxquelles j’assistais le plus souvent du temps à reculons. Pour le reste des moments importants de ma jeunesse, je crois que j’ai rien oublié. Première grosse cuite à quinze ans, première fille nue dans mon lit à dix-sept ans, première fois où j’ai été trop nerveux pour maintenir une érection c’était le même soir, bref, je m’en sors pas trop mal.  Sauf que contrairement à eux, je me sens beaucoup plus désabusé, plus distant de cette joie de vivre constante qu’ils semblent posséder. Si je n’avais pas eu autant de gens autour de moi, je suis persuadé que mon attitude aurait été plus autodestructrice. Ça me fait mal de devoir le reconnaître, mais je leur en dois une sur ce coup.

«J’ai décidé de m’enrôler à Volfoni. C’est loin un peu, mais c’est ce dont j’ai besoin, je crois. J’ai perdu trop de temps déjà. Je ne pensais pas que le hockey me permettrait de continuer à étudier, je suis content de ne pas avoir arrêté. Je me demande pourquoi je n’ai pas arrêté à ce moment, d’ailleurs. Haha, oh non, j’vais pas commencer à croire aux miracles non plus, mais c’est une coïncidence qui me plaît bien.»

Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai cherché du travail immédiatement. Nous n’étions pas pauvres du tout, au contraire, les morts rapportent beaucoup d’argent à ce qui paraît. À moins que ce soit une façon du gouvernement de dire « Ok, on a merdé sur ce coup, prenez ça et maintenant foutez-nous la paix». Plus sérieusement, devenir autonome était un peu ma façon de m’éloigner de mon passé. Pendant trois ans ça a plutôt bien fonctionné. Progressivement, j’ai retrouvé une certaine joie à vivre. L’odeur du pain grillé le matin se portait garante d’un bon début de journée et tous ces petits plaisirs simples et un peu niais qui passaient sous le radar jadis sont revenus en force. Le paysage gris avait désormais des éclaircies. J’ai un peu perdu la foi envers les gens, envers moi-même et envers le système. Peut-être que je suis devenu paranoïaque, mais je vois l’hypocrisie partout. La charité et l’altruisme sont devenus des mythes à mes yeux, un peu au même titre que le père Noël ou encore le paradis. Les gens ne pensent qu’à leurs gueules et franchement, je fais pareil. Je ne suis pas mieux que personne, même que c’est plutôt le contraire. Mes relations avec autrui sont éphémères, basées sur mon gain personnel et si mon père se retourne dans sa tombe en me voyant faire, il a qu’à se dire que c’est de sa faute pour ne pas avoir été capable de me montrer mieux. Je ne sais pas ce que je compte faire de ma vie, ni pourquoi je suis encore là tout simplement. Peut-être qu’en retournant aux études et en faisant le sport que j’aime, je serai en mesure de trouver une réponse à cette question. Dans le pire des cas, si je ne vis pas pour moi-même, je le fais pour mon frère et ma mère et ce n’est pas plus mal pour l’instant.


• Caractère
J’ai jamais aimé les entrevues. Pourquoi, à mon âge, je devrais être capable de me caractériser de manière précise et objective? C’est du grand n’importe quoi. La société a des standards irréalistes et par conséquent, il faut mentir pour répondre aux besoins de patrons qui savent pertinemment qu’ils se font dire ce qu’ils veulent entendre. Tout le monde a les meilleures qualités, les moins pires défauts, moi y compris. Le plus ironique, dans tout ça, c’est que ceux répondant le mieux à ce que les employeurs recherchent sont les plus susceptibles de finir suspendus par le cou avec une lettre à leurs pieds sur laquelle est écrit «Désolé». Alors, comme tout le monde, j’y pense pas trop et je dis que j’ai vraiment beaucoup d’entregent et que j’adore le travail d’équipe. Même si dans les faits, j’en ai rien à chier.

La question se pose, pourtant. Qui suis-je? J’en sais rien. En fait, j’veux pas trop le savoir. Plutôt, j’veux pas confirmer ce que je pense être. Voilà, c’est ça. Parce que si je me fis à ce que j’ai vécu jusqu’à maintenant, ça ressemblerait à ça :

Je ne suis pas le personnage principal de ma propre histoire. Si on devait faire un film sur ma vie, je serais l’acteur de soutien par excellence, ce personnage qui a sûrement beaucoup à dire, mais dont on n’en a rien à faire parce qu’on le voit à peine trente secondes une fois à chaque deux scènes. J’ai toujours été comme ça. Je suis un mouton, un suiveur, celui qui cautionne les mauvaises idées sans trop y prendre part, juste pour rester dans le mouvement. Je ne suis pas sous les projecteurs, mais ma présence est appréciée pour ce qu’elle vaut. Quoi qu’on en dise, je trouve que je suis dans une position plutôt pas mal. Sans trop verser spasme de moi-même, j’ai accès à une bonne vie sociale remplie d’une majorité de gens insipides, mais tout de même chaleureux et d’une faible minorité qui se perd en parlant de Nietzsche au détour d’un joint. Par souci de transparence je fais acte de présence.

J’aime bien les gens, mais j’ai horreur d’entretenir des relations. L’idéal pour moi réside dans cet entredeux séparant les inconnus des amis. Ceux que tu croises, que tu salues sans vraiment y mettre d’intention parce que vous savez que vous n’êtes pas si important l’un pour l’autre. L’expérience m’a appris la nature égoïste des gens et que n’importe quel geste gentil ou généreux sous-entendait une forme de gain quelconque. Je ne retrouve plus cette authenticité de jadis, celle que les enfants semblent partager. Alors je me méfie systématiquement de tout et de n’importe qui tout en maintenant l’illusion de la personne sociable. Si je me mettais à fuir tout le monde, ce serait un suicide social ce qui, somme toute, serait beaucoup plus handicapant que de rire à une blague misogyne. Alors je me limite au strict minimum, parce que j’ai peur qu’on empiète sur le peu que je voudrais laisser et qu’on cherche toujours à en avoir plus. On me reproche d’être distant et difficile à approcher et je prends tout à fait le blâme. J’ai besoin de prendre soin de ma solitude et je ne m’en cache pas. Sauf que ma solitude, je la garde pour moi-même. Le contact avec les gens est essentiel, même si j’agis à titre de figurant. Le silence m’insupporte, j’ai besoin de bruit, que ça bouge. Mes seuls écarts de conduite sont sponsorisés par l’alcool bon marché et j’évite autant que possible la drogue parce que j’ai peur d’être testé par l’équipe médicale. Même si je ne suis pas le plus bavard ou le plus extroverti, je crois énormément en l’esprit de fraternité qui unit les membres d’une même équipe. Faire parti d’un groupe de personnes qui, même si tu ne partages pas de relation fusionnelle avec eux, se porteront à ta défense.

Au fond, je sais que ma propre vision du monde est déformée depuis la mort de mon père. À force de tenter de rationaliser l’essence même de mon existence, je me suis perdu auprès des cyniques et de quelques sophistes. Il me semble voir le mal partout ou plutôt de l’exacerber au lieu d’y voir cette même candeur naïve qu’autrefois. Je tourne le malheur au ridicule et je tente de croire que peu importe ce qui arrive, ça pourrait être pire. Il y a une grosse partie de déception aussi, il faut dire. Même si j’ai été élevé avec la promesse d’un sauveur et que je me sers encore aujourd’hui la religion comme d’un appui dans mes moments de doute, je sens que j’ai perdu la foi. L’effort ne triomphera jamais sur le talent et le bien n’est pas sûr de remporter sur le mal. Les héros n’existent pas et l’amour n’est pas la solution à tout. C’est sans doute la raison pour laquelle je me cherche encore aujourd’hui. Après que mon monde se soit effondré, j’dois tenter de reconstruire à partir des ruines et le paysage est plus que déprimant. La notion de confiance s’est perdue au même endroit que l’authenticité et même si rien n’est noir ou blanc, je me surprends à voir que les choses sont d’un gris très foncé.

Est-ce que cela fait de moi un dépressif? Quand même pas. Je préfère croire que je suis désabusé. Que je n’ai plus d’attentes envers les autres sauf moi-même et encore c'est pas toujours ça. J’ose croire que je suis quelqu’un de suffisamment résilient pour continuer sans cesse de marcher vers l’avant, sans toutefois oublier ce qu’il y a derrière. Ma famille est comme ça, je suis comme ça et j’estime que cela atteste d’une certaine force de caractère. J’aime la vie, même si je ne pourrais dire ce qui me plaît exactement et j’ai appris à apprécier à nouveau les plaisirs simples. Lire un bon roman adossé à un arbre au soleil ou manger de la nourriture fondamentalement mauvaise pour moi en regardant une comédie nulle, mais qui me fera quand même rire. Je reste humain malgré tout, j’ai des besoins à combler et un côté un peu plus primal que je ne dois pas négliger. Un opportuniste comme on en voit partout. Puis, même si je cherche à dédramatiser le malheur, je sais apprécier et capitaliser sur le bonheur que je peux trouver.

Franchement, je ne suis pas bien différent de n’importe qui d’autre. J’ai jamais vraiment compris le besoin d’être différent juste pour être différent. C’est une lutte sans but à mes yeux qui vise à chercher quoi exactement? L’approbation des autres? Qu’on affirme que oui, tu es cette personne totalement unique qui se démarque de son entourage? Je n’arrive tout simplement pas à voir la nécessité là-dedans. Peut-être parce que je suis à l’opposé complètement de ces personnes. Je me tiens avec des joueurs de hockey, des gens superficiels, des filles qui pensent fréquenter de futurs millionnaires et je corresponds parfaitement au stéréotype. Je suis en forme, je m’habille avec des marques qui dépassent totalement mes moyens et j’endosse à peu près tout ce qu’ils font et disent. Parce que c’est facile et les trucs faciles ça évite de se prendre la tête. Au fond, je me sens bien loin de tous ces gens. J’accepte volontairement de me laisser aller et de me fondre à la masse. De lâcher prise. D'assumer mon déclin. La seule différence qui me sépare de ces individus est que je suis extrêmement conscient de ma personne et de l’image que je projette. Malheureusement, je n’ai rien à prouver à personne et du moment que je sais que je suis beaucoup plus que ce que je laisse paraître, tout va bien. L’inverse serait très triste, cela dit.

Je suis loin d’être l’élève par excellence. Je suis pas plus intelligent que n’importe qui, mais j’aime apprendre. Ça a toujours été le cas et malgré un parcours assez sinueux, je souhaite me trouver un but et arrêter de vivre que pour vivre. Depuis longtemps je me surprends à aimer la lecture, plus récemment les ouvrages philosophiques. Comprendre qu’il y a différents points de vue qui ne sont pas plus mal que d’autres. Ça m’a fait réaliser que je suis beaucoup plus humain et empathique que je l’imaginais. J’arrive à comprendre la détresse des autres, même sans avoir les mêmes référents. Le seul problème est que ma réticence à approcher les gens m’empêche de les aider. Sinon, que dire? J’ai une grande gueule quand on me fait chier, je suis un peu trop spontané par moments. Je suis très indulgent, ce qui est souvent mépris par de la gentillesse même si dans les faits il s’agit plutôt d’un désintérêt marqué. Je suis centré sur ma propre personne, il va sans dire, alors mes choix vont dans cette direction. C’est pas parce que je méprise l’égoïsme des autres que je suis différent. Hypocrite? Même si je le niais, les faits sont là, alors autant vivre avec.

J’ai mes moments d’anxiété. Je me remets continuellement en question. Quand la poussière retombe et que je suis seul en face de moi-même, je me demande sans cesse si c’est la bonne décision. Si je fais les bons choix. On dit qu’il faut apprendre de ses erreurs, moi je trouve que c’est l’excuse facile par excellence. Je suis intransigeant avec moi-même et j’ai tendance à me punir pour mes propres écarts de conduite. J’ai besoin d’être en contrôle. Je suis bon dans ce que je connais, mais une fois placé devant l’inconnu, c’est plus trop ça. J’veux dire, j’ai confiance en moi jusqu’à un certain point. C’est pour ça que j’évite de trop en faire. Je suis modeste en mon genre.

Ironiquement, j’espère un jour rencontrer quelqu’un qui réussira à me changer. À me montrer qu’à force de m’isoler par souci de conservation je me fais plus de mal  à ma personne qu’autrement. Parce que je n’arrive pas totalement à me convaincre moi-même. J’aimerais renouer avec l’enfant en moi et aspirer à ce bonheur pur et candide dont je me suis délibérément dissocié. J’aime ma solitude, mais je suis conscient que parfois ça fait du bien d’être seul à deux. J’suis comme une princesse de Disney remastérisée. C’est pour ça que j’aime pas trop mes élans introspectifs. À force de me faire croire que je suis indépendant, je remarque que je suis plus faible qu’il n’y paraît.


• Physique
XX Aimerait être plus grand, mais se contente de son 1m76XX Sa charpente compense largement le déficit de taille. Les épaules naturellement larges et carrées, il le doit à l'hérédité. XX D'apparence musclée, il n'a pas le choix de s'entraîner beaucoup. Le fait est que son morphotype endo-mésomorphe le prédispose à l'embonpoint rapidement s'il ne fait pas attention à son alimentation à cause d'un métabolisme plus lent. Ses muscles ne sont pas très découpés et il a arrêté d'essayer depuis longtemps. Il est tout en force.XX Avec tout ça, il assume un 86 kilos XX Est tatoué de l'épaule jusqu'au coude en mémoire de son père. Pour le moment il a une pygargue à tête blanche qui porte la date de naissance et de mort de son père sur un drapeau américain. Il manque encore de la coloration à faire, mais il n'a pas les moyens pour l'instant. XX Ses cheveux sont gardés courts parce qu'il trouve ça plus propre et moins dérangeant quand il passe des heures à suer sous un casqueXX Teint basané, parce que ne pas profiter de la plage c'est un peu n'avoir rien compris XX A une petite cicatrice à droite du menton dont il a oublié la provenance  XX Imberbe à son plus grand désarroi. Il rase le peu de poils qu'il a sous le menton XX Yeux pers XX Trouve ses oreilles trop petites


• Derrière le tas de pixels
XX Pseudo : Zachary ça convient!
XX Âge : 23 ans >:
XX Comment as-tu atterri ici ? (ouais on se tutoie pour cette question) : Par Jeremiah :I
XX C'était long de lire tous les sujets annexes ? : Pas trop. Chapeau d'ailleurs pour la zone d'aide, c'était super intéressant à lire. Peut-être que j'aurais dû lire avant de faire mon histoire, aussi ;;
XX Des trucs à changer ? : (Pour les équipes de hockey en Floride, faut pas oublier les Panthers, à moins que j'aille complètement zappé)
XX Code de validation :
XX C'est chiant les fiches, pas vrai ? : Les fiches c'est ma némésis >:
© Volfoni
Salvatore Kimimichi
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Tu as lu la zone d'aide.
J'arrive sur ta fiche dans quelques minutes et je te PROMETS que ça sera un moment très agréable. EL ADRITORE !







(oui je t'aguiche j'en ai rien à foutre t'as lu la zone d'aide t'es forcément un type bien ta gueule je t'aime.)
Jushirô Himeruya
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Jushirô Himeruya
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gg petit moineau !
« iiiiiiiiiiil est des nôôôôtres ! »

✓ Tu es validé !

Bon alors, je commence par où ?

Par le fait que le personnage soit extrêmement intéressant, pas tant par son originalité manifeste que par sa cohérence touchante ? Par les qualités indéniables de narration dont tu as fait preuve tout au long de l'histoire et de sa suite - pardon, du caractère ? Par l'harmonie du premier point avec le second ? Ou par TA stupidité de considérer ça comme CLICHÉ ????

Mon gars, c'est très bien ce que tu as fait. C'est excellent, même. ._.
En soit, ce serait te mentir de dire que l'histoire est originale ou jamais vu. Ce n'est évidemment pas le cas, le coup de papa patriote qui crève à la guerre et qui laisse sa nana esseulée et malheureuse avec ses deux lardons on l'a déjà vu mille fois, comme on a très souvent vu l'aîné de la famille devoir assumer le rôle de mâle alpha de la famille et se couper des autres, comme celui du mec normal tendance beauf qui sent bien que c'est pas foncièrement cool de jouer au con mais putain, l'originalité elle n'est pas là. Elle est dans ta cohérence, dans l'équilibre et dans le soin que tu as apporté à la rédaction (clairement) et à la création de Zackary.
Des familles comme ça ça existe, ces histoires existent, mais à aucun moment tu ne plonges dans le dramatisme (et pourtant il est un peu italien LA BLAGUE RACISTE DU COMMENTAIRE fgtyhjthregfz), c'est pas lourd à lire ni à s'imaginer, c'est je le répète très cohérent au niveau des réactions du petiot au vue de son histoire, de son caractère et de tout ce qui le compose qu'arrivé au moment où, à dix ans, le modèle de toute ta vie disparaît, il le vive ainsi.

Non, c'est pas drama. Non, c'est pas surfait. Non, c'est pas cliché. Si ça l'était Zackary se serait contenté de se couper du monde extérieur et de vivre dans la souffrance et le manque de son père tout en étant en mauvais termes avec sa mère et en protégeant le pédé du coin des méchants pas beaux qui ne le verrait que comme un pédé (parce qu'un pédé ça vit que grâce à sa sexualité, selon les clichés).
Le tout et ce qui fait qu'à mon sens tout est impeccablement bien rôdé, c'est que tout ce qu'on sait au sujet de Zackary est justifié sans en faire des tonnes et que tu n'as pas cherché à justifier quoi que ce soit. C'est juste logique et ça coule de source : quand papa, figure suprême de la famille, n'est plus, et bien la famille passe au second plan aussi et c'est assez rare pour être noté mais j'avoue apprécier l'absence de détails la concernant. On sait le strict minimum à savoir sur le climat familial, sur ses membres, et ça suffit. Tu as par le même coup évité les immanquables scènes de détresse liées au deuil ce qui est d'autant plus naturel que la vision de ce décès par Zackary est assez hygiénique. Sa réaction a été de ne pas s'épancher sur cette perte, d'endosser le rôle que les autres attendaient inconsciemment de sa part, d'en souffrir ce qu'il fallait publiquement puis d'en souffrir au quotidien le temps et la manière qu'il lui fallait à lui. C'est simple, c'est sobre, c'est presque élégant dans la manière de faire, c'est bien, et c'est mature. Surtout.
Parfois, tu justifies même par le manque de justification, et ça passe diablement bien : c'est le cas pour la poursuite de la pratique du hockey même après la déprime, qui n'a pas besoin de raison incroyable du genre "mais le hockey a été sa catharsis et l'a aidé à se défouler quand il en avait besoin". Non, vraiment, je ne vois pas en quoi cette cohésion et cette maturité dans l'approche du deuil est clichée. Alors tu fermes ta gueule grand couillon. EL ADRITORE !

BON SINON j'adore son physique, mais je crois que tu as du saisir que ta fiche me plait UN PETIT PEU alors je vais faire... assez court ? Du moins je l'espère. La simplicité et la normalité de Zackary est adorable, il est pas parfait et t'as pas besoin de créer de "défaut physique" pour le faire comprendre (la simple idée qu'il puisse prendre du poids et pas du muscle est formidable dans le RP), c'est un couillon suffisamment intelligent pour savoir qu'il est couillon de se complaire dans la facilité de la vie qu'il mène et qui n'est pas pour autant "différent", c'est pas extraordinaire de penser comme ça parce que les gens sont pas juste des connards de moutons, il écoute du punk et rien que pour ça tu as droit à mon respect éternel, y'aurait éventuellement le coup des chats qu'il aime mais qu'il aime pas que ça se sache qui est un peu gratuit à mon sens mais franchement ? FRANCHEMENT ? Qu'est-ce qu'on en a à carrer.

Ce personnage est très bon, et il est encore meilleur quand on l'imagine dans le contexte de Volfoni, parce qu'il y a tout à fait sa place : un mec qui a pas des résultats extraordinaires et quelques problèmes "en société" qui vient là pour faire du hockey parce qu'il arrive à se raccrocher à ça et c'est tout, ça passe très très bien et il VA évoluer, c'est certain. Ne serait-ce qu'en rencontrant (et en étant forcé de vivre) avec plein de gens aux profils extrêmement variés, ça va lui changer les idées, lui faire vivre de nouvelles expériences, et il ne pourra pas y rester indifférent. J'en viens alors au groupe. Comme tu as du le remarquer, on a déjà un Zackary sur le forum, qui plus est chez les sportifs. Alors non, c'est pas que je voulais pas faire doublon, mais je me dis juste que les personnages de Volfoni (les personnages, hein, pas les membres du forum) ne vont pas arrêter de comparer les deux et que Zackary Brooks est un ancien à Volfoni, une figure qui a marqué les esprits parce qu'en plus il a été obligé de quitter les cursus sportifs mais qu'on l'a jamais vu autrement que comme tel, alors qu'Amendola c'est un nouveau un peu chelou qui parle à personne et même dans l'équipe de hockey c'est une brutasse. Je te le dis, ce choix peut tout à fait être temporaire et changé dans quelques temps/RPs à peine, voire même tout de suite si ça ne te convient pas, mais je crois sincèrement que Zackary le géant mou sera comparé voire confondu à cause de leur prénom à Zackary du hockey dès que ce dernier mettra le pied sur le campus et qu'il faudra un petit temps avant que les gens captent que bon, c'pas tout à fait les mêmes, quoi. EL ADRITORE !

Merci, beaucoup, pour cette fiche d'excellente qualité. Ça fait franchement très plaisir de pouvoir commenter un super truc comme ça. Merci pour les Panthers, j'avoue que le hockey sur glace c'est pas du tout mon domaine, encore moins que les teams américaines, et je vais tout de liste les ajouter dans les précisions. Et merci pour NOFX, passé un moment on avait We Called It America en thème de Volfoni. Ceybo.
Putain amuse-toi ici. Sérieux. C'est vraiment tout ce que je te souhaite. ♥️♥️♥️
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