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 Tullio J.Del Pilar [terminée]

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Infos
XX Nom : Del Pilar
XX Prénom : Tullio Juan
XX Âge : 17 ans
XX Sexe : Homme
XX Nationalité : Bi-nationalité américaine et andoranne
XX Origines : Andorannes
XX Orientation sexuelle : Pansexuel : "l'amour se lie à un esprit" (quoiqu'il entretient une relation particulière avec sa main droite)

XX Statut : Lycéen
XX Régime : Interne
XX Poste spécial :
XX Camp : Arcadia

XX Cursus : Artistique
XX Spécialité : Danse - Hip-Hop
XX Groupe souhaité : Intellos

XX Rang : A méditer !
Code:
pas plus de 96 caractères siouplait

Divers & précisions
XX Il adore ses frères avec qui il continue de très bien s'entendre, Juan et Marco. XX Il est très chatouilleux. XX Il fume une cigarette de temps en temps, quand on la lui propose. XX Chantonne souvent, soit une chanson, soit sur ce qu'il est en train de faire en totale improvisation XX Possède une large cicatrice sous le pec gauche, qu'il doit à Marco qui l'a entaillé avec une épée lors de leurs batailles épiques durant leur enfance. XX Souffre d’achluophobie, c’est-à-dire qu’il a peur du noir. XX Possède de ce fait une peluche veilleuse en forme de mouton offerte par sa grand-mère à ses six ans qu’il cache soigneusement sous son oreiller durant la journée. XX Il ne refusera jamais d’aller faire la fête, jamais. Vraiment, vraiment jamais. D'ailleurs il en organise régulièrement en douce, et en général ça vaut le détour. XX Boute-en-train de service à Volfoni, beaucoup l’adorent pour sa paire de couilles et cela dans les deux sens du terme. XX Il n’avouera jamais qu’il aime prendre soin des autres, qu’ils soient intimes avec eux ou pas. XX Il est le numéro un en matière de farces et de conneries en tout genre, ses idées fusent dans tous les sens quand il s'agit de s'amuser. XX Il cuisine comme un pied. Vraiment, il est incapable de préparer des choses aussi simples qu'un peu de riz sans faire cramer la moitié de la casserole. XX Un peu pervers sur les bords, ça l’excite de le faire un peu n’importe où. Dans n’importe quelle position. Après tout ce serait dommage de passer à côté de quelque chose… XX Il a toujours un stylo bic dans la poche ainsi qu’une bombe au poivre avec laquelle il menace ceux qui ne sont pas d’accord avec lui lors de débats animés. XX Son prénom comporte une faute d'orthographe, puisqu'il devait initialement s'écrire "Tulio". L'erreur a été commise à la maternité, et ses parents n'ont pas eu le courage de la faire corriger. XX Il aime bien jouer de ses charmes pour tout et n'importe quoi. XX Il joue au basket depuis ses 5 ans, et faisait partie de l’équipe de son ancien établissement qui avait atteint le niveau national. En quittant son école pour Volfoni, il a dû arrêter de pratiquer son sport favori. Ça ne l’empêche pas de squatter le terrain en fraude ou de participer à presque tous les entraînements. Il se considère évidemment meilleur meneur que l’actuel, même s’ils ne se sont jamais affrontés. XX Monsieur est un moulin à potins, il sait tout et quand il ne sait pas il se débrouille pour savoir. Il prend évidemment son rôle très à cœur, donc c’est une vraie fouine. XX Il porte des lunettes quand il bosse qui ne sont pas forcément utiles mais qui lui donnent un air sexy. XX

• Histoire


« Un enfant s’est approché de moi un jour. Il a tiré sur ma manche du bout de ses petits doigts pour attirer mon attention. Je l’ai considéré quelques secondes, puis je me suis accroupi avec un sourire en lui demandant ce qu’il voulait. Il est resté muet. Ses yeux étaient rivés sur mon visage, mais je n’avais aucune idée de ce qu’il regardait. Mes yeux ? Un bouton sur ma figure ? Mon âme ? Au bout d’une longue minute, il a laissé retomber son bras, m’a souri, et s’est éloigné sans demander son reste. »

Je me suis longtemps demandé ce qu’avait pu voir ce gosse pour en venir à ne rien me dire. Jusqu’à ce que finalement il me sorte de la tête, parce que j’avais bien d’autres choses à penser.

Je m’appelle Tullio Juan Del Pilar. Mon père est américain, et ma mère andoranne. Ils se sont connus en Europe, quand mon père travaillait encore au sein d’une petite société en Espagne. Leur histoire est un peu comme celle des contes de fée : ils se sont vus, sont tombés amoureux « dès le premier instant » et depuis ils ne se sont plus quittés. Tout du moins c’est ce qu’ils se bornent à nous raconter, mais je les soupçonne de ne pas tout nous dire.

J’ai deux frères, qui vivent encore dans le Minnesota pas loin de chez nos parents à Saint Cloud. Juan (de qui je tiens mon second prénom puisqu’il est mon parrain) qui a 24 ans, garagiste et Marco, 21 ans, qui est serveur dans un Starbuck Coffee. Si tous nos proches sont d’accord sur une chose c’est pour dire que nous ne pourrions pas mieux nous entendre. Je peux même avancer avec certitude que c’est d’eux que je tiens mon formidable goût pour les farces en tout genre. En effet, quand nous étions gamins, il n’y a pas une seule connerie que nous n’ayons pas faite ensemble que ce soit à la maison, chez nos grands-parents en Floride ou même dans la rue lorsque nous sortions. Parmi les exemples qui me viennent en tête : se battre avec des épées de collection au beau milieu du salon (ma cicatrice me brûle encore parfois), trouer tous les coussins du canapé pour utiliser les plumes afin de faire un piñata à mon sixième anniversaire, ou escalader le mur d’enceinte du musée en pleine nuit pour rejouer un mauvais film de braquage (ce fut d’ailleurs une réussite grâce à la course poursuite dans la ville qui s’en est suivie). Mes frères et moi nous adorons, et même si désormais nous ne pouvons plus nous voir aussi souvent qu’on le voudrait, nous continuons de nous appeler régulièrement et de très bien nous entendre. Ils adorent connaître absolument toute ma vie, et surtout mes derniers exploits à l’internat que je leur raconte toujours avec énormément de fierté.

Ma relation avec mes parents quant à elle s’est beaucoup améliorée suite à l’accident de l’établissement du Minnesota et la délocalisation de Volfoni en Floride :

J’ai toujours ramené d’excellentes notes à la maison depuis mon enfance, puisque je travaillais énormément. A côté de cela, j’ai commencé très tôt à jouer au basket sous l’influence de mon père qui avait été joueur durant sa scolarité ; « Un esprit sain dans un corps sain !» comme il aime le dire. En clair tout se passait bien, et je suivais un chemin tout tracé vers une bonne situation que mes parents me souhaitaient avec peut-être un peu trop de force. Ils voulaient absolument que je fasse ce qu’ils me conseillaient, sûrement parce qu’ils se sentaient ainsi plus utiles à mon avenir (qu’ils prenaient de plus en plus à cœur à mesure qu’ils étaient déçus du parcours de Juan et Marco).
Le problème est apparu au début de mon adolescence, quand une bonne fois pour toute je me suis rendu compte que je pouvais prendre mes décisions par moi-même et que c’était beaucoup mieux ainsi. Entre autres cela a commencé avec mon choix d’orientation scolaire, puis avec ma décision de me faire percer. J’ai toujours été sociable, avec un peu n’importe qui, et cette période concorde parfaitement avec mon début d’amitié envers quelques gars plus vieux de mon collège qui étaient facilement qualifiés de « peu fréquentables » à cause de leurs piercings ou de leurs vêtements.

Comme on pourrait s’en douter, mes parents ont donc toujours pensé que j’avais « changé » (mentalement, mais aussi au niveau du style vestimentaire) par leur faute et les détestaient cordialement. De mon point de vue ce n’est pas tout à fait vrai, même si je ne nierai pas un lien de causalité. N’importe qui change en grandissant et je me suis juste rendu compte à ce moment-là que ma vie m’appartenait. Que mes choix devaient être MES choix, et ne pas être influencés par les autres. Et ça ne leur plaisait pas du tout. Pendant deux semaines complètes mon père ne m’a pas adressé un seul mot, c’est dire. Cela ne m’a pas démonté pour autant, et ce changement de ma pensée s’est exprimé par un refus maximum de l’autorité dans un premier temps, puis par une nette tendance à n’être jamais d’accord avec les autres. Pas que je mettais un point d’honneur à ne pas être d’accord avec eux, simplement que je ne pensais jamais de la même manière. Alors je le leur montrais, soit par A+B, soit par la dérision de leurs propres propos. C’est là qu’on a commencé à me traiter de peste, et à vrai dire ça ne me dérange pas vraiment. Je crois bien que je suis une peste. En tous les cas c’est à ce moment-là que je suis devenu une grande partie de ce que je suis aujourd’hui.

Mon groupe d’amis et moi, nous aimions faire ce qui nous passait par la tête, notamment apprendre à danser le hip-hop et le break dance. Drôle d’idée, certes, mais nous étions plutôt impressionnants et ça nous plaisait. J’ai évidemment continué à travailler pour maintenir mes notes au maximum, mais nous sortions également beaucoup, surtout pour faire la fête. Durant cette période j’ai commencé à organiser mes premières soirées clandestines, et comme beaucoup le savent je n’ai pas perdu cette habitude. La fête est un moyen de rire et s’amuser ensemble, mais surtout pour moi de décompresser. Décompresser car je reste humain : bosser aussi dur et aussi souvent me pompe énormément d’énergie. De plus, j’apprécie de voir les autres heureux d’y participer, et me remercier le lendemain (quand la gueule de bois le leur permet).

Le tableau semble presque tout beau tout rose, mais comme on peut s’y attendre mes parents n’ont pas du tout apprécié ce que j’étais devenu, ou disons la voie que ma vie était en train de prendre selon eux. Ils m’ont engueulé plusieurs fois, sans grand effet autre que de longues disputes, et en sont finalement arrivés à une conclusion pour le moins saugrenue : « Il faut lui trouver une occupation. ». Je faisais du basket, souvent et à très bon niveau puisque mon équipe avait pu accéder aux compétitions nationales pour notre catégorie. J’ai donc d’abord été sceptique : j’avais peur que cette nouvelle occupation me prenne trop de temps ou empiète sur mes entraînements.  Mais à force de persuasion, j’ai bien voulu chercher avec eux ce qui pouvait me convenir (aussi avouons-le pour que nos relations redeviennent moins houleuses). C’est là que j’ai commencé le mannequinat. Evidemment je ne suis pas devenu l’égérie d’une marque quelconque, j’ai simplement posé pour quelques photographes, quelques couvertures. Rien de transcendant, mais de quoi me changer les idées et me faire aussi un peu d’argent de poche. J’ai un beau corps, ne le nions pas, et un beau visage. Ça leur suffisait, et à moi aussi.

Lorsque j’ai entendu parler de Volfoni, j’ai tout de suite voulu m’y inscrire. Le cursus sportif m’intéressait, et  ils commençaient à avoir plutôt bonne réputation. Au départ mes parents n’étaient pas très chauds pour un établissement du genre, et j’ai dû lourdement insister pour qu’ils finissent par accepter. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’on m’a appris que j’étais inscrit en cursus artistique ! Qui disait cursus artistique, disait arrêter le basket. Et dans ma tête, c’était évidemment hors de question. Fort d’arguments, je suis directement allé voir M. Himeruya pour lui demander une réinsertion chez les sportifs, certain que je parviendrais à lui faire entendre raison. Cependant cela n’a pas été accepté, puisque les effectifs étaient apparemment déjà complets, et j’ai donc dû me résigner à choisir d’intégrer le cursus de danse spécialité hip-hop. Heureusement, je parviens encore à continuer le basket en allant jouer aux heures de fermeture du terrain, ou même en squattant les entraînements de l’équipe qui m’accepte gentiment parmi les joueurs…

En très peu de temps je me suis intégré à la foule d’élèves de l’établissement. On me connaît pour diverses raisons, allant de mon statut d’intello à celui d’organisateur de soirées en passant par farceur en chef et peste du lycée. Tout le corps enseignant me connaît, il en va de même pour une grande partie des élèves, et c’est quelque chose dont je suis plutôt fier je l’avoue. De mon côté, je prends également grand soin à connaître tout le monde dans les moindres détails… En effet, les potins sont mon péché mignon, et je me vante de savoir presque tout sur tout le monde. Volfoni est un peu devenu comme une seconde maison pour moi, où je me permets énormément de choses.

Lors de l’accident au troisième étage du site du Minnesota, j’ai bien cru que mes parents n’accepteraient jamais de me laisser terminer mon cursus. Ils ont pris peur, comme beaucoup de parents d’élèves, et voulaient que je réintègre un lycée public de Saint Cloud. Ce qui était absolument hors de question, sachant que j’avais déjà bâti une part de ma vie à l’académie et que je ne comptais pas m’en aller sur cette impression « d’inachevé ». J’ai mis énormément de temps à les convaincre de me laisser poursuivre ici, et je crois que mes frères ont beaucoup appuyé mes suppliques.
Je suis donc finalement parvenu à les persuader de me laisser intégrer le site de Floride en internat, moyennant la promesse d’aller voir mes grands-parents pour le moindre souci. Les choses n’y ont pas beaucoup changé d’ailleurs, si l’on omet les guerres de clans entre les racailles. Pour ma part, je me contente de faire ce que j’ai toujours fait : m’amuser avec ma bande, faire la fête, raconter des potins… Je continue également le mannequinat mais surtout à titre personnel et pour la plupart du temps en étant mon propre photographe.

Volfoni est un peu comme une maison, mais aussi un territoire. Personne n’échappe à mon regard de fouine, ni à mes inquisitions. Et puis de toute façon tout le monde m’adore, alors il n’y a aucun problème, si ?




• Caractère

Beaucoup disent que je suis une peste. Une véritable peste. J’avoue que j’ai tendance à dire ce qui me passe par la tête sans forcément penser à ce que les autres ressentiraient. Pourquoi mentir, même lorsque ça fait mal ? J’ai toujours été quelqu’un de franc. Certains apprécient cela, d’autres pas du tout, ainsi est fait le monde ! Il en va de même pour ma tendance à me vanter d’un peu tout ce dont il est possible de se vanter : mon physique, mes notes, mon aptitude à dunker… Je suis une personne qui aime simplement mettre en avant ses atouts, mais ma manière de le faire ne fait pas encore l’unanimité.

Comme je l’ai dit un peu plus haut au cours de mon histoire, j’ai commencé à une période de ma vie à ne plus être d’accord avec les autres sur rien. Beaucoup de débats me plongent dans une sorte de transe inexplicable au cours de laquelle je me déchaîne pour faire entendre raison aux autres, ou au moins jusqu’à ce qu’ils déclarent forfait. Je suis une vraie teigne là-dessus, je ne lâche jamais le morceau jusqu’à obtenir satisfaction. C’est un peu sur le même principe que je parviens à obtenir des notes aussi exceptionnelles. Je travaille énormément, et tant que je ne suis pas capable de redonner avec exactitude chacun des points de mon cours je considère que je n’ai pas terminé. C’est une méthode un peu dure, et elle me fatigue beaucoup, mais je n’ai pas d’autres moyens et cela fonctionne. Je déteste faire les choses à moitié, et suis très exigent envers moi-même. Ce pourquoi d’ailleurs je considère qu’en fin de compte j’ai bien le droit de me vanter un peu…

Mes moyens de décompresser sont divers et variés. Qui dit forte pression sur moi-même dit forcément relâchement, et j’avoue que je ne m’en prive absolument pas ! Mes soirées sont d’ailleurs plutôt connues au sein de l’académie, parce qu’il s’y passe toujours quelque chose d’inattendu (c’est ma spécialité). Au-delà de celles que j’organise moi-même, je ne refuserai jamais d’accompagner qui que ce soit pour faire la fête et ce pour trois raisons. Premièrement, parce que danser et boire de l’alcool sont deux de mes activités favorites (surtout la danse). Deuxièmement, parce que cela me permet de rencontrer toujours plus de monde, et de faire connaissance de différentes manières si vous voyez ce que je veux dire.  Et enfin, parce c’est en soirée que l’on peut apprendre les meilleurs potins ! Je suis une vraie mine d’or concernant les ragots. Volfoni tout entier est sous ma surveillance permanente, gare à ne pas me dévoiler des choses que vous ne voudriez pas divulguer…
Ma dernière façon de me relâcher, et surtout de faire profiter à tous de mon inventivité, ce sont les conneries. Les farces. Souvent de mauvais goût, mais pas que. Je possède une capacité formidable (héritage familial) à imaginer les choses comme elles ne devraient pas être. Cela va d’exhiber la culotte du dimanche de la starlette du lycée à inonder les couloirs pour un concours de surf. Même si je vais parfois un peu loin, il y a toujours du monde pour suivre ou pour participer, il ne faut pas croire ! Bien sûr, on me réprimande toutes les semaines. Mais je parviens quasiment tout le temps à ne laisser aucun indice, si bien qu’il est souvent difficile de prouver que je suis fautif… En outre, plus on me dit de ne pas faire les choses… Et plus je les ferai. Après tout, c’est comme ça que tout le monde fonctionne, non ?

Même si je suis un sportif dans l’apparence et dans l’âme, et d’ailleurs je prends soin de cette image, je ne fais pas non plus partie du cursus artistique pour des prunes. Je ne me débrouille pas mal du tout avec un appareil photo, notamment en autoportraits. Cependant ma spécialité, dont je suis très fier, c’est la danse que j’ai inventée moi-même : un hip-hop tantôt rythmé, tantôt très languissant auquel s’ajoute un ballon de basket que je manie avec mon corps. Ça a commencé un peu au hasard, tandis que j’attendais devant le terrain que l’équipe ait terminé pour aller squatter. J’ai mis de la musique, mon ballon en main, et je me suis mis à danser. Finalement, je n’ai jamais arrêté, et je fais encore aujourd’hui évoluer mon art bien à moi.

Finissons avec ce qui intéresse tout le monde : les amours. Je n’ai jamais été amoureux.  En fait, je ne sais même pas si je crois vraiment en l’amour, et toutes ces histoires de dépendre de quelqu’un, blablabla… Je ne dis pas que je n’apprécie pas certaines personnes, bien au contraire ! J’ai tendance à être excessivement attentionné avec certains, qu’ils me soient proches ou pas. J’ai également couché avec pas mal de monde… Certains ragots circulent d’ailleurs à propos de mes exploits, et je ne les nierai certainement pas. Ce dont je suis sûr, c’est que la personne qui parviendra à mes prendre dans ses filets aura bien du courage, de la patience, et qu’il ou elle ne s’est pas encore présenté à moi !


XX Aime qu'on le couvre d'attention. XX A besoin d'un silence parfait pour travailler correctement. XX Utilise parfaitement l'ironie pour parler des autres. XX Ne supporte pas le mot "croûte". XX Apprécie l'humour, tant chez les autres que le pratiquer lui-même.  Tout type d'humour. XX Fervent opposant à l'autorité XX Leader né, tant pour le basket que pour les projets de groupe, il aime être à la tête. XX A couché avec pas mal de monde (hommes et femmes confondus), mais il n'en a pas pour autant une réputation de salope. XX Adore faire des portraits, de lui le plus souvent, mais il accepte en général quand d'autres lui demandent. XX Aime être entouré, il se déplace assez rarement seul. XX Véritable tête brûlée. XX


• Physique

J’aurais tendance à dire que je suis le genre de personne que l’on aperçoit de loin. Tout d’abord parce que je domine pas mal de têtes avec mon mètre quatre-vingt-trois, mais aussi parce que je suis toujours habillé avec énormément de couleurs. J’aime les vêtements amples, comme les sarouels par exemple que je trouve très confortables, et beaucoup me disent clairement en face que je m’habille n’importe comment. Que je ne sais pas m’habiller. Ou encore qu’il faudrait que je choisisse un style vestimentaire une bonne fois pour toute et que je m’y tienne. Seulement je suis également le genre de personne qui n’aime pas coller des étiquettes, encore moins sur mon propre front, alors je continue à varier les styles d’un jour sur l’autre. En général, cela va avec mon humeur en me levant (qui n’est pas toujours des plus douces) et c’est toujours accompagné d’une quantité astronomique d’accessoires. Je les affectionne particulièrement : bracelets, bagues, colliers, écharpes, bonnets… Mes tiroirs en sont remplis, et j’en change tous les jours. J’apprécie également beaucoup les piercings et tatouages (j’aime connaître absolument tous ceux des autres), et j’en possède en tout cinq aux oreilles (trois à gauche et deux à droite) et un à la nuque que je trouve particulièrement sexy.

Le basket a admirablement fait son boulot en bâtissant mon corps d’une très belle manière. De mon point de vue en tout cas, ainsi que de celui de mes conquêtes. Je suis musclé, mon dos est à la limite d’être large, mais je reste plutôt fin malgré tout, surtout au niveau de la taille et des hanches. J’aime prendre soin de moi-même. Cela comprend mon activité physique afin d’entretenir mon corps mais aussi mes ongles impeccablement manucurés (qui a dit qu’un homme ne pouvait pas faire attention à lui ?), ma peau que je traite contre les imperfections, et enfin ma coiffure pour laquelle je prends énormément de temps le matin. Ces habitudes viennent de l’époque où j’ai commencé à poser, quand les photographes et les maquilleurs se sont mis à me donner des conseils pour me garder « au top niveau ». J’avoue que j’y ai pris goût, et c’est un véritable rituel qui s’enclenche le matin devant le miroir. Ma tignasse est blonde et tombe en de lourdes mèches sur mon front, parfois devant mes yeux. J’ai toujours refusé de les colorer, craignant que cela ne les abîme.

Ce que je préfère chez moi, ce sont mes yeux. Ils sont très expressifs, comme mon visage dans son ensemble, et leur couleur doré clair adoucit mon regard. L’un de mes tics lorsque je veux demander quelque chose à quelqu’un c’est de sourire doucement en coulant un regard en coin… En général c’est très efficace. J’apprécie également cette cicatrice sous mon pectoral gauche, épaisse d’un doigt et large d’au moins dix centimètres. Elle me rappelle de bons souvenirs, mais elle fait aussi de moi un être unique. C’est peut-être idiot mais j’aime ceux qui sortent de l’ordinaire, c’est pourquoi je porte autant d’intérêt aux piercings et aux tatouages, même si je ne suis pas borné à ne fréquenter que ceux qui en possèdent.


XX Possède des pieds plats. XX A de très longs doigts, il a souvent hésité à se mettre à la musique. XX Pose parfois pour des photos demi-nu ou nu, il est sans complexe. XX Possède l'envergure de bras parfaite pour des câlins. XX Se mordille le bout de la langue quand il est stressé. XX A eu des soins orthodontiques pour son sourire parfait, donc il a les arcs de maintien derrière les dents. XX Se fait craquer un peu partout en se réveillant le matin. XX Il est grand, et il aime être avec quelqu'un de plus petit. XX Très souple. XX


• Derrière le tas de pixels
XX Pseudo : Namie Akaike
XX Âge : 19 ans
XX Comment as-tu atterri ici ? (ouais on se tutoie pour cette question) : Alors en fait. Je me suis perdue dans l'Ouest de la France pour voir mon Twin, puis j'ai rencontré les admins qui sont genre trop adorables, ça m'a redonné envie de rp et BOUM! Me voilà. 8D
XX C'était long de lire tous les sujets annexes ? : ... Carrément.
XX Des trucs à changer ? : Nop, pour le moment je trouve le fo' au top !
XX Code de validation :
XX C'est chiant les fiches, pas vrai ? : Perso j'aime bien, mais bon, admettons, c'est long (un peu CMB) !
© Volfoni
Salvatore Kimimichi
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EL ADRITORE !
Jiang Li Chen
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Coucou adorable petit chose keur

Faut pas avoir peur du jap' qui te regarde bizarrement surtout, il est pas trop méchant, t'en fais pas ♥️
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C'est un regard qui me plaît, Salva !


Haw. Chat Potté d'amûr
Promis j'aurai pas peur. Enfin. Ca dépend. Pourquoi il me regarde bizarrement ? u.u
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mimi <- Et ça c'est Remus


BIENVENUE TULLIO et bon courage pour le reste de ta fiche amwah
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Han han, comment il est trop cute 8D

MERCIIIIIII perdu dans l'univers
Jushirô Himeruya
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gg petit moineau !
« iiiiiiiiiiil est des nôôôôtres ! »

✓ Tu es validé !

Et voilà, c'est fait ! 0/
Bon, désolé du léger retard, tu comprendras qu'entre la MAJ et notre vie, on a eu du mal à se mettre à ton commentaire. D'ailleurs, je te préviens d'emblée : il y a quand même pas mal de choses à dire sur ta fiche, alors ça risque d'être long.

Dans l'ensemble, ce que tu as fait est très correct. Ton écriture est lisible et sympathique, sans doute plus agréable en RP à mon goût (mais seulement à mon goût), c'est complet sans être étouffant, et je n'ai rien à reprocher à la forme en particulier. Ce avec quoi j'ai un peu plus de mal, c'est avec ton interprétation de Tullio.
En soi, elle n'est pas mauvaise. Le gros du prédéfini est respecté, les grandes lignes de son histoire aussi, mais c'est le ton employé dans la fiche qui me fait froncer les sourcils. Certains aspects de Tullio (la pression de ses parents sur lui, son mannequinat...) ont été volontairement dramatisés, sans forcément de raison et c'est un peu dommage car Tullio n'est absolument pas quelqu'un qui a souffert, de près ou de loin. Comme tu le dis toi-même dans son caractère, c'est surtout une peste, et je ne pense pas que ses parents aient été forcément tyranniques avec lui en lui imposant d'avoir une bonne carrière. Ils étaient déçus du parcours de ses aînés, voulaient ce qu'ils considéraient comme le meilleur pour leur dernier fils, et ont été doublement déçus quand ils ont compris qu'il pouvait prendre des décisions tout seul. Les remarques telles que : « Si mes parents avaient fait l’effort de me regarder pour de vrai, de la même manière que cet enfant l’a fait, au moins une fois, peut-être auraient-ils pu prévenir les événements. » n'ont donc pas vraiment de sens.
C'est un peu la même chose avec le mannequinat. Tullio ne fait qu'un petit travail de mannequinat, rien d'extraordinaire, et il me semble un peu exagéré de le considérer comme « immaculé », ou de le forcer à cacher une cicatrice pour correspondre à une image ou une autre sachant que des mecs blonds bien sculptés, c'est pas non plus difficile à trouver. Les adjectifs tels qu'«envoûtant» ou les phrases toutes faites du genre « le genre de personne sur laquelle tout le monde se retourne » n'apportent rien ou sont fausses (parce qu'on peut être bien foutu, on ne fera jamais physiquement l'unanimité, même si on n'arrête pas de dire qu'il est sexy) et j'aurai préféré que tu développes un peu plus ce que tu as apporté à Tullio au lieu de paraphraser voire copier/coller les éléments de la fiche de prédéfini que j'ai moi-même écrit. Si on prend par exemple le fait que ses parents étaient aveugles à son mal-être, pourquoi Tullio a-t-il décidé de se rebeller ? Pourquoi l'avoir fait de cette façon ? Quelles relations entretient-il avec ses frères aînés ? Autant de détails qui auraient mérité, à mon sens, d'être approfondis.

J'ai quand même décidé de te valider au lieu de te faire corriger, parce que je suis sincèrement convaincu que le plus important avec Tullio, c'est qu'il soit joué dans le cadre de Volfoni qui est l'endroit dans lequel il est susceptible de s'épanouir le mieux. Je compte toutefois sur toi pour éviter de faire trop de drama avec lui, d'essayer de le rendre plus léger que dans sa fiche, parce que Tullio n'est clairement pas un personnage malheureux ou appesanti par la pression qu'ont pu lui foutre ses parents sur le dos.
Quoi qu'il en soit, re-bienvenue parmi nous, et amuse-toi bien 0/
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Bonjour !

Tout d'abord merci pour la validation !
Ensuite tout ce que tu dis sur ma fiche, c'est exactement ce que j'ai pensé après coup. Que j'avais justement trop dramatisé ce personnage. De ce fait, est-il possible que je modifie encore son histoire, ainsi que quelques détails dans son caractère... ? Je tiens à ce que le personnage soit respecté, parce que j'ai vraiment flashé sur son caractère de base, alors je préfère que ce soit bien clean. Je peux ?
Salvatore Kimimichi
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Je réponds à ton MP ici mon chaton ♪
Alors oui, il est tout à fait possible que tu modifies ton histoire, tout de suite ou dans un an si tu veux. On ne verrouille pas les fiches de présentation alors fais comme bon te semble ! Et comme il s'agit de bonnes modifications, quand même, je repasserai après coup pour te donner à nouveau un avis si tu le veux bien. Mais bien sûr que tu peux faire ce que tu veux, Tullio est autant ton personnage que le mien sinon plus, alors fais toi plaisir !

Et ça fait très plaisir de voir autant de motivation, vraiment. Merci ♥
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Merci pour cette autorisation ♥
Je trouve ça vraiment bien justement que vous ne fermiez pas les fiches, parce qu'un personnage évolue forcément et que c'est important de pouvoir le noter quelque part (je pense notamment aux précisions).

Désolé de prendre autant de temps, mais en fait je suis parti pour réécrire le complet (caractère et physique compris) d'une manière plus légère, certes également plus simple, mais en tout cas je me sens plus à l'aise. Je voudrais bien qu'ensuite tu me donnes ton avis, parce que c'est important qu'il corresponde à ce à quoi il devrait correspondre.

Ca devrait arriver bientôt !! ~
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