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 Can't. Stop. | Salvatore.

Salvatore Kimimichi
ℐℯᏱᏁᏱto
Salvatore Kimimichi
Âge du perso : 22 ans
Activité : Basketball
Spécialité : Meneur - Steal
Fonction : Y2
Poste spécial : Genre.
Avatar : Rivaille - SnK
Doubles-comptes : Pandarap tranquille.
Messages : 2442
Date d'inscription : 27/07/2014
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Slap box xx




Infos
XX Nom : Kimimichi.
XX Prénom : Salvatore.
XX Âge : 21 ans.
XX Sexe : Masculin, hé oh.
XX Nationalité : Amuuuuricain.
XX Origines : Japonaises.
XX Orientation sexuelle : Gay. Gay, gay, gay, gay. Aucun foutre dieu doute là-dessus.

XX Statut : Universitaire.
XX Régime : Demi-pensionnaire.
XX Poste spécial : Uh. Le connard de l'académie, et non pas le chef des racailles mais plutôt le bonhomme le plus influent du coin. Surtout chez les racailles de Floride, à dire vrai.
XX Camp : Floride et Arcadia.

XX Cursus : Basketball.
XX Spécialité : Normalement, meneur. Si seulement Emile voulait bien le laisser jouer son poste. Autrement, il est excellent en interception (steal).
XX Groupe souhaité : Racailles.

XX Rang : Éclate-toi chéri, t'en meurs d'envie.

Divers & précisions
Ses aïeux sont japonais et parlent presque uniquement japonais. Il est parfaitement bilingue, d'autant plus qu'à la maison, c'est pas l'anglais qui se parle. XX Les parents Kimimichi voulaient que leurs enfants aient des prénoms américains pour que l'intégration aux USA soit plus facile pour eux, d'où Salvatore et Pénélope, tout deux ridicules combinés à un nom nippon. XX La famille est propriétaire de l'épicerie asiatique d'Arcadia depuis des lustres et ils ont le palmarès de la bouffe japonaise en ville. Comme c'est l'une des rares familles asiatiques de la ville, on les connait très bien, d'autant plus qu'ils sont très sympathiques. Ils ont encore des oncles et des cousins dans leur pays d'origine, près de la capitale et dans les montagnes. XX Arrivé à Volfoni et déjà connu comme le Loup Blanc en ville, Salva n'a eu aucun mal à se faire écouter des racailles de Floride. Il ne se considère pas comme à leur tête, mais c'est quelqu'un qui impose l'autorité et tout le monde à l'académie est en droit de le craindre. XX Il est inscrit au club de jardinage et supervise en partie la production de cannabis. XX Sa réputation de salope le poursuit jusqu'ici et n'est pas prête de s'essouffler. Il est dit qu'il coucherait dans les toilettes de Volfoni, moyennant privilèges ou argent, entre autres rumeurs fallacieuses. XX Si vous lui demandez pourquoi il est gay, il vous demandera pourquoi vous êtes hétéro. XX Il ferait n'importe quoi, et je dis bien n'importe quoi, pour sa petite sœur. Les deux s'entendent d'ailleurs très bien et vivent tous les deux chez leurs parents. XX Salvatore a beaucoup de goût et, quand il y fait attention, s'habille très bien. XX Il est thanatophobe, a très peur de mourir, et pour cause : il n'a aucune idée de ce qui l'attend après, n'espère rien, et ne sait pas trop comment faire pour se rassurer. XX On pense qu'il est nymphomane, mais le mot est sans doute utilisé à tort. Par contre, de ce qu'on en sait, monsieur aimerait bien quand ça fait mal. XX À l'occasion, il clope. Mais il n'est certainement pas accro et s'en passe très bien. Si on lui en propose une il prend, ça s'arrête là. XX Il ne participe pas aux castagnes et est bien plus doué pour les organiser que pour les mener à bien. D'autant plus qu'il n'aime pas avoir des pansements visibles, parce qu'après il faut les justifier à ses parents.

• Physique
Mesure 1,60m XX Freluquet et à peine musclé XX Souple XX Cheveux noirs courts, dessous et côtés du crâne rasés XX Visage de fouine, peu aimable et plus tête à claques que vraiment mignon (exception faite quand il sourit) : yeux bridés, nez retroussé, petites lèvres pincées XX Très pâle et ne bronze jamais, se contente de brûler au soleil XX Très belles mains XX Se tient toujours droit XX Cicatrices un peu partout sur le corps, mais pas foncièrement impressionnantes XX Ne prête pas grande attention à ce qu'il met mais s'il décide de faire un effort, sait s'apprêter et être élégant (et crédible dans ce genre de vêtements) XX Voix assez calme, sans accent lorsqu'il parle anglais XX Se trouve (n'est pas forcément, donc) plutôt agréable à l’œil.


• Caractère
Très, très, très pragmatique XX Parle étonnamment bien, mature XX Aime les remarques cinglantes et les répliques qui font mouche XX Très porté sur la dérision, l'auto-dérision, le cynisme et les remarques salaces XX Du coup très drôle quand il le veut XX Insupportable quand il le veut XX Marchand et commerçant dans l'âme XX Assez cruel dans ses manières et dans sa conception de l'égalité XX Peu cultivé mais réfléchit beaucoup et met un point d'honneur à toujours savoir de quoi il parle, donc à apprendre à se défendre par les mots à défaut de pouvoir réellement se battre avec ses poings XX Excellent orateur, très charismatique et éloquent XX Aime être objectif dans ses plans et dans ses affections, est du coup imperméable aux relations amicales et, surtout, amoureuses XX Calme, fin stratège, rationnel, autoritaire et organisé XX Beau parleur, bon menteur XX Sûr de lui à la limite de l'orgueil XX Méticuleux et presque maniaque, aime quand les choses sont bien rangées et propres XX Très naturel et pugnace XX Très peu porté sur le concept de groupe, aime sa solitude XX N'aspire pas à grand-chose et paraît souvent blasé XX De nature coléreux et inquiet, se fait très souvent violence pour n'en rien paraître XX Très, très revanchard XX Spontané et actif.


• Histoire
Qu'est-ce que t'as encore fait, Salva ?
Rien, rien, j't'assure. J't'assure.
Bien sûr que non t'assure rien, arrête-moi tes conneries et dis.
J'sais pas. Cette fois, je te jure que je ne sais pas.

- Il est très turbulent, vous savez ? Il faudrait l'inscrire dans un club de sport, pour qu'il... Pour qu'il canalise son énergie... Tu parles, j'fais quoi, moi ? Mes parents voudront jamais m'inscrire nulle part, faut que je bosse avec eux. Et puis ils ont pas les moyens non plus. Mamie habite chez nous et du coup c'est devenu plus compliqué avec ma sœur.
- C'est ta petite sœur ?
- Ouais. Enfin elle est pas vraiment petite, elle a sept ans et on a un an d'écart. Pénélope.
- La fille avec qui tu restes à la récré ?
- Oui.
- Ah, okay. Mais alors tu vas faire quoi ? Parce que madame Stone a dit qu'il fallait que tu fasses du sport...
- Je ferai pas de sport. Je peux pas.
- Mais tu vas avoir des problèmes, non ?
- Boh, j'en aurai toujours des problèmes, si c'est pas ça ça en sera d'autres, c'pas grave.

Non mais non, réfléchis. T'as bien du faire quelque chose, c'est pas possible autrement.
Non. J'ai rien fait putain. Rien du tout.
Il me semble aussi Salva mais, calme-toi, s'il te plaît. C'est pas pour une une vieille embrouille ?
Pourquoi on irait me ressortir mes vieilles embrouilles maintenant que j'suis tranquille ? J'suis pas yakuza, merde, j'ai pas d'casier.
Je sais mais réfléchis, t'as pas merdé récemment ? J'étais pas avec toi, je sais, mais on t'a pas vu ce week-end et t'as pas donné signe de vie, on peut pas t'aider si tu dis rien ! T'es sûr qu'il ne s'est rien passé ? Ou même avec les autres ? Y'a pas eu d'emmerdes ?
Non. Pour la centième fois Preston, non. Non.

- Alors, t'as écopé de quoi cette fois ?
- À ton avis ?
- Putain, t'es sérieux ?!
- Héhé.
- T'es chiant à toujours te taper le ménage, comment tu fais ?
- Je souris tout le temps et je suis gay, ça doit être lié.
- Mon cul ouais ! Tu suces le CPE, c'pas possible ! Attends, la chance de cocu quoi, et moi j'me mange les colles dans la gueule t'sais, tu fais chier !
- Ben qu'est-tu veux, arrêtes de la ramener trente secondes, fais profil bas, souris pour la forme et tu verras que ça se passera beaucoup mieux pour ta poire.
- Non mais sérieux t'es chiant quoi, y'avait match ce soir.
- Sois pas jaloux, vieux. Tu veux que j'envoie quelqu'un t'aider ?
- Tu parles, personne voudra et puis on se ferait griller de suite, les pions seront pas partis d'ici là.
- Tss. 坊や, les gens n'ont pas besoin d'être d'accords pour faire les choses. Ça me plaît pas masse de passer ma vie à récurer les chiottes, si tu veux mon avis. Mais s'tu veux j'devrais pouvoir me débrouiller pour trouver quelques collègues pour venir t'épauler.
- Ouais. C'est quoi ton prix ?
- Tu sais ce que je veux.
- Tu sais très bien que je ne peux pas Salva.
- Bien sûr que si, c'est ton frère. T'as qu'à lui demander.
- Justement, c'est mon frère. Je vais pas lui demander ça.
- Aucune couille, franchement. Qu'est-ce que t'as à perdre ? Il dit oui il t'aide, il dit non tu restes dans ta merde, qu'est-ce que tu veux. Il t'aime, non ?
- Joue pas à ça.
- C'est mon prix. Tu t'ajustes ou pas.
- Des photos. Je peux rien te promettre de plus.
- Des photos ?
- C'est déjà assez délicat comme ça.
- Ta situation aussi. Tu joueras jamais les matchs de cette année vieux, réfléchis bien.
- Il est pas pédé.
- C'est pas mon problème.
- Il est pas gay, put-
- Tu veux que ça me fasse quoi ? C'est une excuse ? Ça engage à rien putain, c'pas une maladie. Mais si y'a que ça pour te déranger reste dans ta merde, c'est pas des ailiers qui manquent dans l'équipe.
- Salva, t'es un enfoiré. Reviens ici, connard !
- Qu'est-ce que tu veux, hein ? De quoi t'aurais envie ?
- Si c'est des bites que tu veux on peut s'arranger, correctement.
- Et qu'est-ce qui te fait croire que c'est de la bite que je veux en particulier ?
- Tu peux pas avoir autre chose, de toutes façons. Tout le bahut le sait que t'es pas net.
- Et tout le bahut sait que tu t'es tapé Mia McBeck quand t'étais bourré ?
- Co-
- Tu sais que je le sais. T'as cru que t'avais à faire à qui, rappelle-moi ?
- Pute.
- Oh, j't'en prie. Tu sais bien ce que tu gagnes en restant avec moi, après tout. Lâche-moi, s'il te plaît. J'ai besoin de le répéter ? ... Merci. Bien. Tu... Tu me tiens au courant, hein ? Oh, et qu'un seul, un seul de tes misérables larbins pose la main sur moi, et tu es mort. Sur ce...

N'essaye pas de chercher.
Salva, on est dans la même galère je te rappelle.
Il t'arrivera rien.
Qu'est-ce qu-
Il t'arrivera rien. Ni à toi ni aux autres.
Tu t'es fait grillé alors que t'y a même pas participé Salva, putain, mais bien sûr qu'on est tous concernés !
Vous êtes sains et saufs les gars, je t'assure. Fais-moi confiance.
Non putain, non ! Qu'est-ce que t'as fait ? Tu t'es vendu ? C'est obligé, comment ils auraient pu griller ça ?!
Ils l'ont pas grillé, Preston, c'est pas ça.
Alors quoi ?

- Tu vas bien ?
- Je suis obligé de te répondre ?
- Hmm, non, mais ça te concentrerait sur autre chose au moins.
- Tss. Pose-moi des questions, j'ai pas envie de forcer la conversation.
- C'est toi qui a vraiment organisé la rencontre ?
- T'appelles ça une rencontre ? C'est un putain de fiasco. Et j'me suis fait baiser comme un con.
- Je dirais pas ça, personnellement. T'en as envoyé trois à l'hôpital quand même.
- C'est pas ça qui leur fera peur, ils ont l'habitude de se manger des gnons, tout le monde en a l'habitude. C'est pas ça qui va leur faire peur.
- Il aurait fallu quoi ?
- Qu'on les mette minables. Qu'on se fasse pas griller en plein milieu. Que j'ai pas à me salir les mains, accessoirement.
- De ce que j'ai vu, tu te défendais pas trop mal.
- Pas trop mal quand ils sont quatre sur moi ? J'me suis fait violer, arrête.
- C'est normal, attends. Y'avait du monde, mine de rien, et vous vous êtes bien défendus. D'autant plus que c'est pas vous qui avez morflé le plus. De quoi vous avez écopé ?
- Deux semaines de colle et deux mois de ménage des salles de classes. Les parents doivent aussi rembourser ce qui a été cassé dans les couloirs. Putain, merde, les parents...
- Qu'est-ce qu'ils ont ?
- Ils pourront rien payer. J'vais bosser avec eux pendant un temps pour gagner la thune et les rembourser.
- Tu travailles avec eux ?
- À l'épicerie, ouais. En général ils me demandent de l'aide et ils me donnent un peu d'argent en compensation, mais là il faudra que je les remplace plusieurs jours pour avoir la somme.
- Et Pénélope ?
- Je sais pas ce qu'elle fait, tout de suite. Il me semble qu'elle a finit les cours.
- Et tu crois très franchement qu'elle aura pas su ce qu'il s'est passé ?
- Bien sûr que si. Mais elle est pas con et si je lui dis de pas s'en faire elle s'en fait pas. Par contre toi fais-moi mal encore une fois et j'te pète un bras.
- Ça va, ça va... Ça pique encore ?
- Si ça pique ? T'es sérieux ?
- Tu peux râler autant que tu veux, ça se soignera pas plus vite, hein. Et tes potes ?
- Mes potes ? Quels potes ?
- Les mecs qui se battaient avec toi.
- Pour moi. Ils se battaient pour moi.
- Tu les as payé ?
- Je les fais chanter.
- T'es fier de ça ?
- Y'a que comme ça qu'on me fout la paix.
- Tu devrais pas réfléchir comme ça.
- Maintenant que j'ai ma réputation à tenir ? T'es un malin, toi.
- Qu'est-ce qu'ils t'ont fait pour se faire tabasser, les autres ?
- Ils m'ont manqué de respect. J'aime pas quand on me manque de respect.
- C'est-à-dire, manqué de respect ?
- Leur leader me considère comme une pute. Je peux pas vraiment lui donner tort, étant donné qu'à l'origine il me tabassait, j'ai appris des choses sur lui et pour pas que tout le bahut soit au courant de ces dites choses je le fais chanter. Ça lui a pas plu, il a d'abord voulu m'entuber quand j'étais seul mais il a pas réussi, et quand il a commencé à s'approcher de ma sœur je me suis dit que c'était trop.
- Ta sœur pouvait pas l'envoyer bouler elle-même ?
- Ma sœur se défend bien, mais elle a pas à souffrir mes emmerdes.
- C'est dingue, quand même. Tu sais qui je suis ?
- C'est quoi cette question ?
- Contente-toi d'y répondre.
- Aaron Cabe. T'as horreur de ton second prénom, Jaime, parce qu'il est mixte et t'es en Junior Year. T'aimerais devenir pompier et bâti comme t'es j'espère qu'ils vont au moins t'accorder le port de l'uniforme, mais si tu pouvais venir me rendre visite sans que j'ai à foutre le feu chez moi ça m'arrangerait. T'es connu ici parce que t'es l'un des premiers à avoir pris la défense de Mia McBeck après son accident de voiture et si elle s'est pas suicidée c'est en grande partie grâce à ton soutien. Une rumeur comme quoi vous aviez niqué est morte aussi vite qu'elle était née et c'est après ça que t'as cassé avec ta copine de l'époque, cette pouffiasse que j'peux pas blairer qui matait le cul d'un de mes larbins et qui le chauffait alors qu'on devait se voir. T'es claustro et tu lis beaucoup. Pourquoi tu voulais connaître ta vie, mon grand ?
- C'est fou ce qu'on dit sur toi. Il parait que tu sais tout sur tout le monde.
- Il parait beaucoup de choses, mais on peut dire que je me démerde pour savoir à qui j'ai affaire. Qu'est-ce qu'on dit d'autre ?
- Que tu fais payer pour sucer dans les chiottes.
- Hn. T'y crois ?
- J'en sais rien. M'en fous. Et on dit que tu fais chanter tout le monde. C'est vrai ?
- Comme si c'était un secret ! Tu sais que je suis gay, au moins ? Non parce que c'est pas comme si tout le monde le savait, hein, si t'as pas d'exclusivité ça m'intéresse moyen.
- Il paraît que Luke t'a mis le grappin dessus.
- Luke Fanning ? Cette tarlouze ?
- Venant de toi...
- Je fais tarlouze ? Sérieusement ?
- Non. Tu fais... Mignon. Tu fais pas viril mais tu fais pas pédale non plus. Tu fais gamin en fait.
- On est d'accord. Bref. J'en ai beaucoup des histoires de cul collées au dos ?
- Des tas. T'es nympho, apparemment. Et la moitié des gays du lycée te serait passée dessus.
- Adorable.
- À ton image. Si je peux me permettre.
- Tout le monde se permet tout, fais-toi plaisir.
- T'es vachement plus humain quand on te parle.
- Parce qu'on dit que je suis un alien, aussi ?
- T'as compris ce que je veux dire Salvatore. C'est juste que... Qu'on te parle pas en fait. T'es Salvatore Kimimichi, on te touche pas, on vient pas te voir si on veut pas d'emmerdes, c'est tout. T'es l'homme à éviter ici. Tu règles tous les problèmes mais tu exiges tellement des autres, c'en est effrayant. Je... Je sais pas si tu peux t'en rendre compte, en fait.
- Je me rends compte que tout ces braves gens ne m'ont jamais aidé quand je me faisais casser la gueule, et certainement pas gratuitement. Et que je suis pas généreux de nature, j'ai pas à l'être avec des ingrats comme eux qui viennent pleurer ton aide quand ils en ont besoin alors que toi tu pouvais implorer comme tu voulais y'avait jamais personne pour toi. Mais c'est bon, t'sais quoi. C'est bon. C'est passé. Vraiment.
- Je sais. Ça se sent.
- Te fous pas de ma gueule, t'es voyant ?
- Ça se sent, c'est tout. T'as pas envie de t'apitoyer sur ce qui s'est passé avant et c'est tant mieux, c'est louable, et t'attends pas des autres qu'ils le fassent à ta place. C'est tout. Je constate, hein. Je constate juste.
- Ça fait deux minutes que tu nettoies avec le même coton la même plaie. Si t'es buzzé tu peux passer la main, j'devrais survivre.
- Tu prends les hétéros ?
- Parce que tu l'es ?
- Sans rire.
- Sans rire ?
- Salvatore.
- Va falloir t'y faire. Et le 坊や te dérangera pas ?
- ... Quoi ?
- 坊や. Bo-ya. Mon garçon. T'sais pas ce que ça veut dire ?
- Mon garçon ?
- C'est comme ça que j'appelle les mecs après qu'ils aient couché avec moi. Ça te dérange pas ?
- C'est discret ?
- Plus ou moins. Je le gueulerai pas en te voyant, y'a de fortes chances pour que tes potes croient que je leur parle.
- Et y'en a beaucoup qui savent ?
- Personne ne sait tenir sa langue. On sait ce que ça veut dire, quand j'appelle un mec comme ça. La discrétion elle dépend surtout de toi.
- Et pas de toi, peut-être ?
- À tes risques et périls. J'te jure que j'suis doué avec ma langue, et pas que pour parler.
- Pas besoin de le préciser, t'as bonne réputation.

Ta gueule. S'il te plaît ferme-la.
Salva, je vais pas te laisser disparaître comme ça.
Je suis viré Preston, d'accord ? Ça suffit. C'est bon. Juste, ferme-la.

- T'as cumulé combien d'heures de ménage, en vrai ?
- Tu crois sérieusement que je calcule ?
- Je sais pas, tu tombes toujours sur la corvée de ménage.
- Ben, faut croire qu'ils ont pas assez d'argent pour payer une femme de ménage en plus et qu'ils ont besoin des frais d'inscription de la famille Kimimichi pour survivre, hein. J'sais pas trop.
- C'est vrai que tu baises dans les chiottes ?
- Je peux en tous cas, avec ce que je les nettoie on pourrait bouffer dans la cuvette.
- Non mais aller, sérieux.
- T'as pas assez pour payer, cherche pas !
- Parce que tu fais payer ?!
- Mais tu peux pas juste fermer ta gueule et nettoyer le sol, franchement ? J'en ai rien à taper de ta causette de merde, juste fous-moi la paix, récure ces chiottes et laisse-moi vivre ma viiiiiiiiie. ... Quoi, qu'est-tu regardes ?
- J'essaye de t'imaginer en train de dormir en fait.
- Ah bon ? Et j'suis mignon ?
- C'est surtout que c'est calme quand tu fermes ta gueule.
- Si c'est que ça tu peux m'imaginer en train de bouffer une queue aussi, ce sera toujours plus glamour.
- Pourquoi tu ramènes tout au cul tout le temps ?
- Parce que c'est moi qui ramènes tout au cul ? Sérieusement ? Non non non, c'est vous qui avez un souci avec ça pour m'en parler à chaque fois que vous me croisez. J'suis pas un cul sur pattes en fait, du moins j'ai pas l'impression, alors si t'as un problème tu regardes d'abord ton nombril et ensuite tu viens m'emmerder, t'as saisi ? Non mais attends, ça va être ma faute en plus ? Et si t'es pas content d'être là t'avais qu'à pas me suivre, j't'ai demandé si tu voulais le faire et t'étais d'accord, maintenant t'assume ta connerie.
- Mais calme-toi bon sang, j'ai rien dit !
- J'ai rien dit mes couilles, et je sais très bien que tu m'as aidé parce que t'as envie de te faire ma sœur et compte pas sur moi pour t'arranger le coup. Tu la veux tu vas la voir, j'lui demande pas de me traîner ses potes pour que j'me les fasse.
- 'Tain vous êtes pas arrangeants chez vous.
- Personne s'est arrangé pour nous, on sait ce que c'est de gérer sa vie comme on l'entend. Puis on n'a besoin de personne, si on veut quelque chose et qu'on l'obtient ce sera uniquement grâce à nous. C'est super gratifiant en vrai.
- Et vous vous sentez jamais seuls ? Vous êtes des loups solitaires en fait...
- Bon, tu peux pas juste la boucler et finir de nettoyer s'teuplaît ? J'aimerai bien en finir vite en fait.
- Mais t'inquiète, elle va l'avoir son exam, y'a pas de raison.
- C'pas un exam qu'elle passe, c'est un gala de danse qu'elle fait. Et j'ai tout intérêt à être là à l'heure, alors bouge ton gros cul.

Salva, parle-moi. J't'en prie.
J'ai rien à dire. Surtout pas à toi.
T'as plein de trucs à dire mais tu dis rien. T'es peut-être touché mais nous aussi on va l'être et je crois pas à ta garantie de sécurité pour nous alors s'il te plaît, si tu sais quelque chose, dis-le moi. Je te jure que je te jugerai pas, ni que je t'en voudrais, mais il faut que je sache.
Tais-toi. Mon sac.
Salvato-
Mon sac.
Arrête de fuir Salva.
Ferme ta gueule.
Pense à nous, s'il te plaît.
J'dois prévenir Pénélope. Elle est où ?
J'en sais rien.
Trouve la.
Elle doit être rentrée chez tes parents, j'peux pas m'y pointer co-
Démerde-toi. Appelle-la.
J'ai pas son nu-
Prends mon portable. Pénélope. Tu dis que c'est otouto et qu'il veut la voir.
Où ça ?
Je sais pas, démerde-toi. Je sais pas. Il fait quoi Lloyd ?
Il est parti chez ses parents pour le week-end.
Putain. Tu fais quoi ce soir ?
Rien, pourquoi ?
J'peux dormir avec toi ?
Tes parents vont pas se poser de questions ?
Ils ont l'habitude, t'en fais pas. Je peux ?
Tu veux un plan cul ?
Ouais. Ouais. En fait.

- Mais je pouvais pas rester, t'as vu, ma grand-mère est morte et l'enterrement avait lieu en même temps que la colle. J'avais trop de vagues à mon actif donc quand j'ai voulu leur dire les pions m'ont même pas écouté et du coup j'ai séché, et donc je suis deux fois plus collé maintenant. Mais j'sais pas, j'me voyais pas louper l'enterrement de ma grand-mère pour le ménage de l'université, quoi, c'est juste légitime. Et quand je suis revenu les autres m'attendaient pour me cueillir, genre j'ai touché à leur cam, j'en ai rien à foutre de leurs histoires mais qu'est-ce que tu veux, bien sûr que j'ai ramené les gens pour les tabasser, j'allais pas me laisser foutre en l'air pour ces conneries. Et comme ça s'est passé dans l'enceinte du truc t'inquiète qu'ils se contentent pas juste de t'engueuler, c'pas comme si t'avais vingt ans hein, 'fin bref ça me gave. Mes parents ont besoin de moi à la boutique, ma soeur j'sais pas trop ce qu'elle va faire de sa vie, là elle anime une émission radio, c'est plutôt sympa, elle a une jolie voix en plus elle pourrait en faire quelque chose de concret, mais j'sais pas j'ai pas envie qu'elle fasse n'importe quoi. Elle a eu chaud pour le redoublement déjà.
- Et toi, tu sais ce que tu vas faire ?
- Rentrer dans la mafia, j'crois. J'suis bon à rien. Si, au basket, éventuellement, mais jamais je ferai de carrière pro. J'suis pas un cerveau et côté artistique t'es bien mignon mais j'sais même pas si j'ai l'ombre d'une pointe artistique en moi, alors j'sais pas, j'reprendrais l'affaire des vieux, il me reste pas grand-chose sinon. Mais c'pas important ça.
- Bien sûr que si ça l'est.
- Non, non. J'me vois pas vieillir un jour. J'ai encore de la famille au Japon et là-bas j'ai pas besoin de plus que mon corps pour devenir mannequin, si vraiment j'ai pas d'autre choix. Au pire hôte, ou agent d'entretien, avec tout ce que j'ai nettoyé dans ma vie t'sais... J'trouverai, ça, je trouverai, mais il faut pas que ma sœur soit dans le même cas.
- Pourquoi pas ?
- Parce que c'est ma sœur connard, voilà pourquoi. Parce que c'est Pénélope et qu'elle a pas à en chier comme j'en ai chié. C'est ma sœur t'sais quoi, ma sœur. Elle a pas à être perdu comme ça elle. C'est bon, on a fini ?
- T'es super pressé, toi, t'as fait ça à l'arrache.
- Ouais, ouais, j'ai cours.
- Tu vas en cours, toi ?
- Que quelques-uns, quand j'ai envie. T'as fini ?
- Attends, attends. C'est quoi qu'on a, là, en fait ?
- Une heure et demie d'anglais.
- Ah ouais, avec le prof au nom imprononçable ?
- Saerbhreathach. Aidan Saerbhreathach.
- Ouais, lui. Il est chiant son cours, tu veux y aller ?
- J'dois m'vider la tête et j'ai personne à niquer. Autant faire ce que je devrais faire à la base, non ?
- S'tu veux. M'attends pas, je termine ton côté du couloir aussi.
- T'es adorable. Tu me diras ce que tu veux en échange, j'me débrouillerai.
- C'est cadeau pour le moment. J'ai besoin de rien.
- J'aime pas avoir des dettes, trouves-toi quelque chose à vouloir rapidement. Merci.
- Pas de quoi Salva.

... Eh, Salva ?

Salva ?
Quoi ?
Tout va bien ?
J'annonce ça comment à mes parents ?
Ils ne vont pas les contacter ?
Non. Je leur dis comment ? J'me suis fait virer ? C'est fini, y'a plus d'espoir pour les études ? J'suis un raté ? Et Pénélope, ils vont la traiter comment ?
Pourquoi elle changerait ?
Parce qu'elle va devoir assurer pour deux putain, ils vont la pourrir à lui mettre une pression dingue.
Calme-toi. Tu veux marcher un peu ?
J'ai mes affaires à aller chercher.
T'as jusqu'à ce soir.
Non. Non. Plus vite je partirai d'ici mieux ce sera. Mieux ce sera.
Alors, qu'est-ce que tu veux faire, tout de suite ?
Si je te dis baiser, tu confirmes ma nymphomanie ? Mais j'te jure que je sais pas. J'veux être en sécurité en fait Preston. j'veux être au calme et j'sais qu'au moins quand j'baise j'suis loin de tout ça. T'sais.
C'est une maladie, la nymphomanie. C'est pas rien et t'en parle comme si c'était bénin.
Ça l'est pas. Ça l'est pas. S'il te plaît me parle pas de ça.
D'accord. D'accord.
Ils vont me tuer.
Mais non.
Je fais quoi ?
Reprends-toi. Tu veux un café ?
T'as du whisky ?
Va pour un café.
J'vais aller où Preston ?
Y'a un campus qui va s'installer, avec une nouvelle école. Ça vient du Minnesota.
T'es sérieux ? Le Minnesota ? Il s'y passe quelque chose là-bas ?
Y'a une école au moins.
Une école de quoi ?
J'en sais rien, un espèce de centre pour délinquants.
J'ai aussi peu de valeur à tes yeux ?
C'est pas ce que je veux dire. Ils arrivent sur le site de Floride, il va forcément y avoir des inscriptions exceptionnelles. Tu peux toujours y faire un an et partir après.
Un centre pour délinquants quoi.
Salva, j'essaye de t'aider là. Prends ton truc, c'est chaud.
Non mais je dis quoi à mes parents ?
Qu'on t'a viré pour rien. Qu'il y a eu une erreur, qu'ils se sont trompés quelque part et qu'ils t'ont viré mais que tu ne peux pas te défendre. Ils peuvent porter plainte.
Ils le feront jamais Preston, c'est moi le petit con de l'histoire, c'est moi l'enculé de la famille, le bon à rien. Ils prendront jamais ma défense, l'administration est trop parfaite pour ça et moi je suis qu'un petit merdeux sans aucune crédibilité.
Et ta sœur ?
J'l'implique pas plus que nécessaire. Elle m'attend où ?
Devant le Starbucks.
Quand ?
Elle m'a dit de compter une heure le temps qu'elle décolle de chez sa pote.
On se retrouvera chez toi quand j'en aurai fini ?
Y'a ma copine chez moi, mais Lloyd m'a filé les clefs de son appart.
Très bien. Chez Lloyd. Okay. Tu vas lui dire quoi ?
À qui ?
Ta copine.
Qu'un pote est dans la merde et qu'il a besoin de moi, et puis j'vais rompre avant qu'elle me fasse une scène ou qu'elle m'accuse de tout le merdier du monde, pas envie de me prendre la tête. T'as pas de quoi pleurer Salva, t'y es pour rien.
J'y suis pour tout.
T'y es pour rien.


• Derrière le tas de pixels
XX Pseudo : Graou. ♪
XX Âge : Papy
XX Comment as-tu atterri ici ? (ouais on se tutoie pour cette question) : Lol
XX C'était long de lire tous les sujets annexes ? : Pas plus long que de les écrire.
XX Des trucs à changer ? : J'espère pas sinon j'me tue uu
XX Code de validation :
XX C'est chiant les fiches, pas vrai ? : Nope.
© Volfoni
Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
Âge du perso : 52 ans
Activité : Directeur
Spécialité : Participer aux conneries des élèves
Fonction : Directeur
Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre
Avatar : Louis Weasley - Harry Potter (mouaif)
Messages : 479
Date d'inscription : 10/02/2013
ᎷᏒ

Can't. Stop. | Salvatore. Empty
gg petit moineau !
« iiiiiiiiiiil est des nôôôôtres ! »

✓ Faut vraiment que te cause à toi... ?



Bon, alors je ne vais pas te dire que Salvatore est "original" parce qu'il ne l'est pas. Le petit gay japonais émigré rebelz je crois que c'est l'un des clichés les plus récurrents des forums RPs (à avatar manga s'entend). Donc non, Salva il est pas original, mais c'est toi qui l'écris et toi, que ce soit de l'art ou du cochon (blague de sims #lol) tu fais quelque chose de bon. Là c'était plutôt du cochon et t'en as fait une putain de saucisse (trop lol #jéleswag). Il est bien parce qu'il est travaillé, pensé et réfléchi, qu'il est humain et qu'en général tu le prends pas au sérieux. J'ai dit en général parce que bon, y'a deux ou trois petites choses dont je t'ai déjà parlé qui me gênent un peu. Le cumul de "rentrer dans la mafia" et "devenir" mannequin, même pour toi, même avec ironie, ça puduku quand même. MAIS BON, mis à part ces petites lourdeurs, le reste est cool. Je suis une grosse flemmarde et l'histoire uniquement en dialogues, ça se lit super facilement, en plus le background du perso est travaillé, il a des potes, des gens... il commencera à Volfo avec un gros bagage derrière lui et bon, c'est bien, c'est bon ça. Il est bien intégré à la fois au contexte, à l'intrigue et à son camp et même dans le paysage de l'académie alors qu'il vient d'arriver c'est... bah c'et un peu normal en même temps, c'est toi qui a écrit tout ça. Mais ça se salue quand même.
Après c'est personnel mais j'ai l'impression d'avoir Sac à merde, un peu, mais t'as raison, en plus mâture. J'aime Sac à merde et j'aime Salvatore.
J'ai pas besoin de te dire que tu vas pouvoir t'éclater avec en rp hein ?
 
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