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 Amarilys d'Harmony

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Amarilys d'Harmony
Son Altesse Sérénissime


Prénom : Amarilys
Nom : d’Harmony
Âge : 21 ans
Origines : Européennes
Sexe : Masculin
Orientation sexuelle : Homosexuel. Pas touche, grognasse.

Statut : Universitaire
Régime : Externe
Cursus choisi : Artistique - Théâtre
Groupe : Fashions

Précisions : Je m'aime, vous feriez bien d'en faire autant.

Adresse à laquelle envoyer votre dossier : Dossier reçu par Emile ♪







PHYSIQUE


D'un point de vue général, Amarilys est une fille. Enfin, tout du moins, il en donne la furieuse impression au premier coup d'œil. Aux coups d’œil suivants aussi d’ailleurs. Et presque au premier coup de rein, c’est dire. Mais enfin, évitons d’aborder cet épineux sujet, n’est-ce pas ? Quel avisé prétendrait s’abaisser à ces bas instincts, quel homme, si de peu de dignité, évoquerait publiquement les choses de l’amour, qui, si elles semblent essentielles, ont le malheur de s’accommoder à grand peine de la description crue de chairs imbriquées, d’échanges de fluides et de vagissements déchirants ? (hm, quelle classe, quel sens du glamour, je m’aime.)
Je refuse de m’échouer sur l’écueil de la vulgarité, et c’est pourquoi je n’aurais qu’un mot :
Biaisons.

En bref, l'illusion est quasiment parfaite.
Seuls les esprits observateurs réussiront tout de même à déceler le véritable sexe de ce jeune homme (qui a dit « avec un microscope » ?). Il paraît si délicat, avec sa silhouette fine, qu'on le soupçonnerait presque capable de se briser au premier murmure de souffle.
Il jouit (lisez donc la suite avant de tirer… d’hâtives conclusions, jeunes tripodes égarés…) d’une modeste taille d’un mètre soixante-dix. Taille spécialement pratique « pour se cacher sous la soutane », aime-t-il à plaisanter. Continuons sur le registre confessionnal, voulez-vous ? Il s’estime ainsi, selon ses termes, « à la bonne hauteur » pour diverses raisons que la bienséance proscrit d’évoquer sous peine d’excommunication, surtout si l’enfant de chœur a encore la possibilité de parler. Haha.
« Comment ? Oui mon Père, je… je sais, c’est un peu sale, je sais, je le confesse. Vous voulez ? Que je vous fasse une ? Une p… Quoi ? Une prière jaculatoire ? Mais est-ce bien raisonnable ? Bon, bon, si vous insistez. ».
Les jeunes d’aujourd’hui… « Annus horribilis », auraient dit nos prudes confrères du Saint-Siège (percé). Amènes gens. Ou Jules, oui, il fera aussi bien l’affaire (mais laquelle ?).
Bref, après cette petite digression exaltée dont la trivialité primesautière n’a d’égale que la syphilitique innocence, poursuivons. C’est par là.

Ce qui frappe au premier abord, outre son allure féminine, c'est peut-être sa "consistance" ; sa complexion pâle, ses vêtements immaculés, tout ce blanc et cette fragilité en font, comme une neigeuse apparition, évanescente et irréelle. Ses traits fins et racés, bien dessinés, son visage particulièrement harmonieux sont autant de pousse-au-crime pour de nombreux garçons - parfois hétéros se méprenant sur son genre. Amarilys s'amuse d'ailleurs beaucoup de ce genre de situations, et pousse le vice jusqu'à entretenir la supercherie, et en tire quelques-uns et en tire à la fois un profit personnel et la jouissance de l'humiliation de ces amants mystifiés… jusqu’au bout (mais lequel ? hm…).

Vous pourriez presque vous recoiffer en le regardant dans les yeux ; ceux-ci, d'un beau violet profond, présentent un aspect miroitant ne manquant pas de déconcerter les gens qui ont le courage de s'y plonger. Et si cette brillance singulière gêne pour décrypter les émotions d'Amarilys, son expressivité n’y pallie pas vraiment. Ses yeux toujours légèrement plissés dans un début de rire ou une jovialité constante traduisent pour certains une dérision perpétuelle ou une joie expressive, pour d'autres, une hypocrisie sous-jacente ou encore un blocage des muscles du visage, pour les plus crétins. Le doute demeure tant que ce n'est le glacial aristocrate qui vous examine avec une impassibilité empreinte de suffisance et de morgue savamment dosée. Fuyez, pauvres fous.

Il n'hésite pas à se maquiller, avec des couleurs contrastant son teint : Fard à paupières noir charbon avec paillettes, mascara et eyeliner noir en contour fin donnent à son regard une intensité excessive. Et bien qu'il soit attaché à ces classiques, les mots « demi-mesure », « simplicité » ou « modération » ne font plus vraiment sens si une pensée fantasque lui traverse l’esprit.
« Appétissantes »... Voilà l'adjectif le plus autorisé lorsqu'il s'agit de qualifier ses lèvres bien ourlées, très souvent étirées en un sourire fermé imperceptible, bien trop souvent pour qu’il soit totalement sincère.
Ses sourcils fins et arqués rajoutent encore une touche d'androgynie à son aspect général. Par un quelconque miracle, il parvient à concilier un très grand souci du détail et un temps de préparation étonnamment court au vu du résultat, que nulle personne sensée n'osera critiquer, pour des raisons esthétiques évidentes... Ou, bien plus rarement, par instinct de survie.
Amarilys a de longs cheveux d’un argent pur (tirant sur le blanc) et d’une lisseur absolue, assez brillants à la lumière. Une partie de sa chevelure arrive un peu plus bas que les épaules, encadrant le visage du jeune homme, et se finissant en pointes recourbées vers l'intérieur reposant sur sa poitrine. Tout le reste de son abondante crinière, à l’exception de quelques grandes mèches gardées par devant lui (hm, non, n’allez pas encore penser des trucs sales s’il vous plaît, c’est MON rôle), le reste de sa chevelure, disais-je, descend dans son dos en cascade argentée se terminant en pointes, s'arrêtant à quelques centimètres du sol seulement. De temps en temps lui prend l'envie d'une queue de cheval. Bon là dit comme ça c’est suspect, mais si je précise qu’il utilise pour cela un simple élastique noir on va encore me tomber dessus me reprocher des sens viciés de stupre.
Il porte parfois des diadèmes argentés incrustés de pierreries qui ne font que rajouter à son port déjà éminemment noble.

« Mon Père ! J’aperçois un gueux au loin ! Jetons-lui des projectiles ! Meurs vil manant, subversive gangrène ! Molestons ce miséreux ! »
Après ce petit interlude un brin vigoureux il est vrai, il est grand temps, manants de basse extraction, oui vous là, rampante vermine à l’indigence écœurante, fangeuse aberration suppurante de roture, de vous ouvrir à l'acception du sublime. Observez. Admirez. Contemplez. Vénérez. Idolâtrez. Moui, et restez écartés. De moi, je veux dire (et concupiscents avec ça, mais n’avez-vous pas honte ?)

Ses mains graciles sont prolongées de faux ongles gris métallique en pointe acérée, longs de quelques centimètres. D’une rare dureté qui ne laisse que peu de doutes quant aux intentions qui leur sont destinées, d’autant qu’il semble malaisé voire impossible de les lui enlever.
Enfin, seulement sur sa main droite. La main gauche, elle, semble ne pas avoir bénéficié du même traitement, et est toujours dissimulée dans un classieux gant fin de cuir lilial souple.
Ce jeune aristocrate affectionne particulièrement les rubans ; Aussi en porte-il un, noir et délié, autour du cou. Il a, attaché autour de chacun de ses poignets par un nœud simple, des sortes de foulards noirs, extrêmement volatils et dont chacun des pans retombe sur plus d'un mètre de longueur. Leur fluidité les fait épouser le moindre des mouvements d'Amarilys, comme de vaporeuses volutes mouvantes.
Tout en vitales volubilités, voyez-vous ?
Il se déplace avec prestance, et, pour une raison quelconque, aime se tenir les mains derrière le dos ou rentrer ses manches l’une dans l’autre (non, ça n’est pas ça qu’on appelle « s’emmancher », esprits impurs !).
Côté vestimentaire, même (ou surtout) pour un aristocrate, Amarilys fait montre de goûts singuliers. A noter, pour éviter la répétition, que la très grande majorité de ses vêtements, sauf précision contraire, sont de couleur blanche, sa teinte favorite. Ne me demandez pas pourquoi.
Il porte toujours de lourds et opulents manteaux de fourrure au col rehaussé et aux manches amples cachant entièrement ses mains, simplement fermé à la taille par une grande ceinture nouée façon aikido, également en fourrure. Il est très rare de le voir sans cet apparat, peu importe la température, dont, d'ailleurs, il n'a de cesse de se plaindre de la fraîcheur. De temps à autres, il ne dédaigne cependant pas d’autres accoutrements, comme un yukata noir brodé de motifs argentés, avec un obi de la même couleur.
Sous son grand manteau ne se cachent généralement qu'un simple T-Shirt noir un peu moulant, et un jean slim ordinaire (quoique toujours d’excellente facture) avec double ceinture, et un rôti de porc pour dix dedans. Excepté lorsqu'il marche et que les pans inférieurs de son manteau s'écartent, on n'aperçoit pas son slim, rentré dans de grandes bottes en cuir souple avec de petits talons plats, et dont le haut se termine par un épais anneau de fourrure qui, s'il venait, par quelque malheur dans le droit héritage de la loi de Murphy, à être entraperçu par Brigitte Bardot, provoquerait sans nul doute un cataclysme d'ampleur planétaire dont la manifestation la plus immédiate et évidente serait une unique plainte, déchirante, terrible hurlement à la face (et aux oreilles) d'un monde ravagé : "PHOOOOOOOOOOOOQUE !"
Alors qu’en fait pas du tout, c’est de la fourrure d’animal. C’est un peu le même concept que le bois d’arbre, voyez ?

Amarilys possède, en conversation, une voix assez douce en accord avec son physique. Une voix dont il accentue l’affabilité, parfaite pour les sous-entendus et les non-dits sous couvert de courtoisie.
Il émane de lui une délicate odeur d'orchis vanillée , parfum aussi sucré qu'entêtant, aussi délicieux qu'enivrant, aussi capiteux qu'exaltant, et s'il devait n'en rester qu'un, ce serait : pénétrant. Et si.





CARACTÈRE


Amarilys est hypocrisie. Oui, j’aurais pu dire "Ama’ est hypocrite” ou “Ama’ est un hypocrite”, mais non, parce que d’une ça sonne moins bien, et de deux, ça ne retranscrit pas assez fidèlement sa façon d’être. Il a érigé la démagogie en véritable dogme et manie la xyloglottie (ça en jette plus que « langue de bois », avouez) comme nul autre. Et pour cause, il n’est rien de moins que l’Héritier émérite d’une des plus nobles lignées d’Europe à la tête d’un consortium tentaculaire, à qui il faut reconnaître avec euphémisme une influence écrasante. Déléguant volontiers la gestion prosaïque de son immense patrimoine aux experts de la finance, il n’est pas pour autant ignorant de l’exercice de la gouvernance, très loin de là. Si les choses de l’argent l’ennuient au fond, les intrigues, les jeux d’influence, et tout ce que le pouvoir et son attrait ont de plus détestable au commun des mortels l’attirent au-delà de toute santé d’esprit. Et autant dire que son réseau d’influence dans le monde des puissants et son armada de services du renseignement ont toujours une information précieuse à lui glisser dans l’oreille. Véritable prédateur politique, il procède cependant dans une très grande discrétion et n’est connu que de rares initiés. Et son passé n’est guère plus connu que son présent.
Ses prérogatives ont fait de lui (à moins que ce ne soit l’inverse ?) un être formaté au monde du pouvoir, force est d’admettre qu’il y excelle tant qu’il en est caricatural : un air amusé éternel faisant un écran des plus efficaces à des émotions qu’il serait à la fois inconvenant et dangereux de montrer, masque dont il ne se départit qu’en de rares occasions. Ajoutons un sens rare du verbe, une courtoisie des plus propices aux allusions, une diplomatie travaillée et intéressée, un esprit froidement analytique, des conceptions utilitaristes, un sens de la morale et une éthique très… personnels, vous obtenez un machiavélien convaincu et efficace.
Il se considère d’emblée comme supérieur aux gens qu’il rencontre jusqu’à ce que ceux-ci le convainquent de l’inexactitude de ce postulat. Il n’estime rien tant que l’intelligence, l’esprit et la culture, et exprime un grand respect pour les sciences et un attrait pour la philosophie et la dialectique.
Le masque affable qu’il arbore parvient, on ne sait trop comment, à vous faire osciller entre la conviction de sa sincérité et le malaise de sa condescendance à votre envers.
D’un naturel organisé, il est animé par un zèle perfectionniste et la conviction de la justice de ses intentions. Répugnant à l’effort physique, il se garde bien de pratiquer toute activité de cet ordre.
Malgré son rang, il n’aime pas être assisté en chaque instant, aussi ne recourt-il qu’aux services de quelques cuisiniers, de personnel de ménage et d’un garde du corps dont il ne supporte pas la présence et qu’il laisse donc à l’entrée des bâtiments et n’autorise à le suivre que de loin et discrètement. Encore un ninja raté.
Alors, vous me direz, que fait-il ici avec sa vie si trépidante, à mille lieues de son milieu naturel, entouré d'adolescents bêtifiants, mélangé à la vile populace rampante ? Mais que diable est-il allé faire dans cette galère, si j'ose dire. Je vous le demande. Mais voilà, il y est. N'est-ce pas tout ce qui importe ?





HISTOIRE



Les grains défilent et se succèdent, comme autant d'interprètes muets d'un ballet millénaire au mouvement immuable dont les chefs d'orchestre ne seraient autres que le temps et la gravité. Et n'arrête leur chute que le monticule des corps de leurs semblables qui s'étendrait à l'infini si il n'était contenu de tous côtés par des parois cristallines teintées d'un beau violet entaché de noir, pâlement cerclé.
Violet ? Le cristal ne l'était pas. Mais les yeux du jeune homme, si.
Amarilys s'était abandonné quelques instants à la contemplation de ce sablier baroque exubérant : Sa finition était parfaite, le filage d'or délicatement apposé sur ses parois sculptées de chimères fantasques le faisait étinceler à la lumière au moins tout autant que la petite centaine de pierreries savamment disposées fragmentait et renvoyait de lueurs colorées d'une pureté sans égale. Un sablier dont la majesté vous ferait regretter de n'avoir vécu à l'apogée d'une aristocratie qu'Amarilys se représentait volontiers glorieuse et décadente, une caste élitiste à l'influence infinie et aux visages multiples qu'unissait un souci commun de grandeur et de puissance.
Ama' laissa son esprit vagabonder parmi les décors somptueux d'immenses palais, croisant au détour d'une colonne marbrée des gens exquis, évoluant avec grâce malgré des tenues qui sacrifiaient avec panache le pratique sur l'autel de la splendeur. Son père aimait autrefois à lui raconter la superbe historique des grandes Maisons Nobles. Le dernier grain de sable s'écrasa silencieusement sur la pile inerte de ses semblables, et déjà ils ne semblaient plus exister que dans l'attente du prochain écoulement. Qui ne vint pas.
Avant...

Dans une clinique privée des quartiers huppés de Londres, une femme souffre. La chambre exceptionnellement spacieuse est encombrée de plusieurs dizaines de bouquets de fleurs extravagants qui embaument l'atmosphère de centaines de parfums capiteux. Malgré cette symphonie d'odeurs, la douleur ne semble pas apaisée le moins du monde, et le contraste entre la sérénité escomptée et l'angoisse croissante n'en est que plus évidente. Se pressent autour d'elle plusieurs des meilleures pointures mondiales de l'obstétrique, et les sages femmes les plus qualifiées.

« Elle a insisté pour qu'on ne lui administre aucun analgésique... »

Voilà ce qui se murmure hâtivement dans les vastes couloirs baignés de lumière blanche. Le ton fait penser à un verdict.
Au dehors, l'on voit par de grandes baies vitrées que la nuit est tombée sur la City. Les lampadaires dirigent leur faisceau puissant sur le sol de l'allée privée du parc hospitalier, comme une protection dérisoire contre les ténèbres dévorant l'extérieur. C'était une nuit particulièrement noire. On avait l'impression que la lumière de ce soir là s'enfonçait dans une sorte de mélasse sombre, et en ressortait sans éclat, sans portée, comme dénaturée.
Dans une clinique privée des quartiers huppés de Londres, un homme souffre. Il n'est même pas aux côtés de sa femme pour l'accouchement. Il est là, et son regard, sans éclat, se perd dans l'obscurité. Il sait déjà... Ils savaient... Il s'y était préparé... Bientôt des bruits d'affolement se font entendre. Les voix se font plus vives, les ordres fusent. L'homme ne les perçoit plus que comme au travers d'une bulle, assourdis. Il n'entendra pas le silence arriver, pas plus que les pas résonnants et annonciateurs du chirurgien, qui parviendra miraculeusement à articuler entre deux sanglots :

« Elle... est morte... »

Amarilys naquit donc orphelin d'une mère. Qu'il cherchera toute sa vie. Aux côtés d'un père dépressif. Qui s'oubliera dans le travail pour noyer le chagrin. Oui, sortez vos mouchoirs. Moi aussi je sors le mien. Pour des raisons sensiblement différentes. Voilà, je ferme l'onglet Youporn. Bref.
Amarilys grandira dans le caprice satisfait, l'abondance matérielle et le vide affectif. Jusqu'à se forger une personnalité cruelle, impitoyable, insatiable sous les oripeaux de l'affabilité maniérée. Une manière de protéger un petit coeur tout sensible. Non je déconne, ce mec est un bâtard pour de vrai. Il n'est pas méchant, il est persuadé d'agir au mieux même. Enfin.
Toujours est-il qu'il est désormais à l'académie Volfoni. Pour quoi faire ? Perfectionner ses talents de comédien ? Allons, il est déjà l'excellence incarnée, et il ne doute pas un seul instant d'avoir mille fois plus de talent que ses professeurs. On ne pourrait d'ailleurs que lui reprocher de ne pas savoir sortir de son rôle. Le rôle de sa vie, le sien.

"L'existence est une comédie absurde qui se joue devant une multitude et se termine dans la solitude"
Voilà sa raison de vivre, son dogme, sa doxa. Ne cherche-t-il qu'à s'amuser, à venir se rire de l'absurdité et de la vanité de tout un chacun ? Du rire du condamné sans doute. Voilà, vous n'en savez et n'en saurez pas beaucoup plus. Mais vous en savez déjà trop. Cours, jeune enfant, cours, ton cul ton vit ta vie en dépend.
Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
Âge du perso : 52 ans
Activité : Directeur
Spécialité : Participer aux conneries des élèves
Fonction : Directeur
Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre
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Bon, alors, toi, on ne te présente plus. Et on va pas te faire une standing ovation non plus. ♪

Je ne reviendrai pas sur la totalité de la fiche. N'ayant pas eu de réels changements apportés, tout a déjà été dit. Seulement, une chose attirera notre attention, et c'est l'histoire.
Ouais, c'est bâclé, c'est moche, et à cela je répondrai "Pas si vite, freluquet". C'est une histoire ma foi tout à fait correcte. La première à ton actif. Il paraît que la première fois est toujours décevante. Je la trouve plutôt encourageante. D'une part parce que -et tu peux râler autant que tu veux, je m'en beurre la raie- tu as suivi un conseil fondamental, et le niveau de langue est beaucoup moins élevé que ce à quoi tu nous avais habitué. C'est une bonne chose, car c'est très bien réalisé : tu n'as pas dénaturé ton style d'écriture et as tout de même réussi à rendre ton texte plus accessible et moins élitiste. Bien sûr, si l'on prend la globalité de la fiche, l'histoire fait très simple ; c'est tout à fait normal, vu que tu n'as rien changé à la version de base. Et sans aucune hésitation, je préfère l'histoire courte, peu claire, et plutôt simple aux énormes pavés enjolivés et grandioses que sont le physique et le caractère.

Le fond, il n'y a pas grand-chose à en dire. On connait la base, on a une explication logique au fait qu'Amarilys soit odieux, je n'ai rien de plus à dire si ce n'est qu'il serait vraiment très intéressant de développer cette trame au fur et à mesure de l'évolution de ton personnage. D'ailleurs, il serait intéressant de la révéler dans le RP, et pas simplement éditer ta présentation pour compléter. Mais le choix t'appartient entièrement.
Remarque tout à fait subjective. Je lisais l'histoire d'Amarilys en écoutant Mrs. O, des Dresden Dolls. Je n'évoquerai pas les paroles -que je ne comprends pas, mais la mélodie colle plutôt pas mal avec l'ambiance. Enfin, je trouve.

Rien de plus pour le moment. Tu as déjà ta couleur, reste la validation officielle avec ce poste.
J'espère que tu te plairas ici, et je te souhaite la bienvenue parmi nous !

Ton logement n'a pas été créé, car tu dois en faire la demande complète ici. N'hésites pas à détailler ton chez-toi, cela facilitera grandement la description à la pauvre secrétaire de l'agence immobilier d'Aitkin. Et tu veux faire plaisir à la pauvre secrétaire de l'agence immobilier d'Aitkin, crois-moi.

Viens signaler ton avatar ici : une fois fait, plus personne ne pourra te le piquer !

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