Gare a vos miches, la prof d'histoire est dans la place mes chéris... Et ça va saigner ~

Ne venez pas ici pour vous régalez comme des requins sur une histoire triste à souhait. Ici pas de divorce, pas de mort tragique ou de suicide raté, pas de fugue ni de dépression horrible. Non c'est juste l'histoire d'une vie, l'histoire de ta vie Léonie. Tu es née il y a vingt-six ans de cela. Dans une petite ville du comté de l'Alberta, une province canadienne se situant à l'ouest du Canada. Oh certes Grande-Prairie n'est pas aussi peuplé que la région de Calgary ou d'Edmonton mais qu'importe puisque c'est là que tu vivais. Un père canadien ancien hockeyeur professionnel et une mère française qui soignait des chevaux traumatisés, tu as grandi un peu comme une herbe sauvage au milieu des chevaux et de tes quatre grands frères. Certainement que c'est cet environnement qui t'a donné ce caractère bien trempé. Petite tu étais d'une telle curiosité a l'égard du monde. Tu voulais tout faire, tout tenter et tu te plaisais a dire a tous que la vie était bien trop courte pour éprouver des regrets ou de la peur. Alors tu as commencer très tôt avec du rodéo, certes grimper sur un mouton c'est pas très glorieux mais au moins tu peux te dire que tu l'a fait. Tu es ensuite partie sur la voltige avant de finalement devenir simple cavalière. Entre temps, tu t'es mise au hockey, pour faire "comme papa". Tu es monté dans ton groupe de junior, vous avez même écraser l'équipe de Calgary en finale junior. Mais tu as du arrêter, une mauvaise chute et une clavicule brisée ont rayés tes espoirs de circuit professionnel. Alors tu as suivi l'enseignement de ta mère avec les chevaux. Avec eux tu as réussi a être patiente, tu n'a pas cette envie de vivre qui te pousse toujours en avant, qui te fait pousser tes limites. L'un de tes grands frères t'a initié au tir a la carabine aussi, parce qu'il estimait que tu devais être capable de te défendre.

Le lycée qui est ensuite arrivé et tout c'est très vite emballé pour toi, soudain tu savais ce que tu voulais faire de ta vie. Professeur. Enseigner. Aider les générations futures. Et quand chez toi tu as parlé de ton rêve on t'a dit de foncer, que l'argent ne serait pas un problème. Alors tu es partie. Université de Calgary a la fin de tes études et sortie avec le diplôme et les félicitations du jury. Tu te souviens encore des yeux emplis de fierté de ta famille et ça c'est un trésor que tu chériras toute ta vie. Et puis il y a eu ton premier poste. Tu étais jeune, naïve et tu pensais qu'il suffisait de parler pour être écouter. Mais non. Tu étais tombé sur une classe a problème et dans ton dos on commençait déjà a parier sur le temps que tu allais tenir. Mais les paris avec toi et sur toi ne fonctionne jamais parce que ton père t'a enseigné a être une gagnante. Et tu as commencé a adopter des méthodes peu orthodoxe mais le directeur te laisser faire et tout tes élèves ont réussi a décrocher leurs certificats. Et plus ça aller plus tes classes étaient a problème. Tu en a eu marre. Une année loin du boulot te ferais du bien alors tu es retourné chez toi, a Grande Prairie, avec ta mère et ses chevaux, ton père et ses exploits de hockeyeur, ton frère aîné et son épouse, ton deuxième grand frère et son poste dans la police montée, ton troisième grand frère et ses rêves de rodéo, ton quatrième grand frère et ses titres de champions de saut d'obstacle. Tu t'es ressourcé là-bas, tu as aimé aussi. A vingt-trois ans tout juste tu es tombée amoureuse, au premier regard, au premier sourire. Il t'aimait lui aussi, mais la vie est un lit de ronce et malgré vos forts sentiments il est parti, comme ça un beau matin, avec simplement un mot te demandant de le pardonner. Qu'il n'était pas pour toi. Que tu méritais mieux que lui. Qu'il finirais par te couper les ailes et qu'il ne voulait pas faire ça. Que tu étais comme ces mustangs sauvages, libre et insouciante et qu'il te rendait ta liberté parce que c'était comme ça qu'il t'aimais. Tu en a eu le cœur brisé et l'année s'est prolongé. Tu voulais changer d'air maintenant. Tout te rappelait trop Jake et son sourire a fossettes. Et toi et tes méthodes vous avez fait vos bagages un jour. L'académie Volfoni avait accepté ta candidature. Tu as promis de faire attention a toi et tu es partie. Une nouvelle vie t'attends la bas tu en es certaine.

XX Gentille XX A l'écoute XX Travailleuse XX Expansive XX Parfois violente XX Méthode d'éducation très peu orthodoxe XX Susceptible XX Démonstrative XX Neutre dans les conflits XX Franche XXOpiniâtre

XX Blonde XX yeux bleus ressemblant a ceux des chats XX Grande (1m77) XX Poids moyen (66 kilos) XX Habits chics et classe XX toujours élégante et bien maquillée XX Afficionados des jupes XX légèrement musclée XX Pâle (ne peut pas se mettre au soleil trop longtemps sinon ressemble ensuite a une écrevisse géante) XX Cheveux longs lui arrivant dans le dos