Les perles de Volfoni: La résurrection.

Non? Ben vous lisez les vôtres, au moins!(Bahouais, on ose l'espérer.) C'est fréquent: en parcourant la réponse de notre partenaire, on tombe sur ces petites phrases, ces paragraphes saugrenus qui nous font sourire. Ou même, un truc qui nous fait réfléchir. Ou qui fait carrément peur. Bref, ici, vous postez des bouts de RP's que vous avez particulièrement aimé. C'pas clair? D8


Pour commencer, voilà une petite merveille de Summer qui m'a bien fait rire:

Summer Weilana a écrit:

Pourtant elle n'avait pas vraiment le choix, elle allait devoir se bouger. Au besoin Adriel serait son botteur de cul personnel.

...

Ça sonnait bizarre dit comme ça.

C'est à votre tour, bande de lamas en rut! Partagez vos perles ~

Citation :

« Bon alors... Kai. Tu permets que je t'appelle Kai » ?
« Tu peux toujours m'appeler Boris le Ramoneur soviétique si tu préfères ».

Dr. Pepper a écrit:

Elle ne s'était pas arrêtée parce qu'elle s'était perdue, mais parce que son coton était arrivé au point d'absorption maximale et que le sang commençait déjà à déborder de tous les côtés. C'est Shining entre ses mains.

Angel a écrit:

Je m'interromps soudain, les yeux écarquillés, et je fixe le rouquin. Mon. Dieu. Je viens d'être frappée d'inspiration divine. Comment n'ai-je pas pu y penser avant ? Comment ai-je pu ne serais-ce que songer à réfléchir à ça, alors que c'est l'évidence même ? Dès le moment où j'ai pris en main le stylo qu'il me tendait, son destin était tracé. Je me tourne lentement vers lui pour lui faire face et plante mon regard dans le sien. Il faut que je lui annonce cette vérité, sans perdre de temps. C'est donc d'un ton grave, solennel, et avec peut-être une légère pointe d'émotion, que lentement, j'articule :

- Remustache.

Adam a écrit:

Imaginer Salvatore, le corps distendu, douloureux et pleurant, l’imaginer avec des sentiments lui semblait soudain beaucoup trop logique, et il se demanda pourquoi il l’avait ignoré jusque-là, cette souffrance qui émanait de lui.
S’il était comme ça, c’était pour une raison, et c’était tellement évident qu’on n’y pensait jamais.

Citation :

Salva: «L'avantage, c'est que tu ne me verras jamais arriver.»
Mandy: « Et l'inconvénient c'est que tu vas devoir apprendre à te branler avec les pieds si tu recommences. »

Salvatore a écrit:

Et la lagune de ses yeux qu'il pensait tournée en un océan de colère se teintèrent peu à peu du mazout des siens.

Angel a écrit:

"Non mais mec, sérieux, si j'étais gay, j'aurais craqué direct."

Enora a écrit:

A fortiori un inconnu en panique, désespérément accroché à ce qu’elle interprète comme le successeur d’un doudou –à son âge ? Mais lorsqu’il finit par tendre l’objet, elle se rend compte de ce dont il s’agit.

Et lève un sourcil, perplexe.

— « Oui, c’est une ardoise. Blanche.   »

Est-il autiste ? Ou juste socialement inadapté ?
Académie de loosers.

Marco a écrit:

au début Marco il t'aimerait bien, te transmettrait l'amour pour les plantes en mode "alors ça c'est marguerite. c'est une marguerite. elle est plutôt sympa mais quand on la cherche elle mord. elle pas un très bon caractère" ET PUIS LÀ BAM. Désillusion. Salvatore c'est juste un bâtard de la mort qui tue qui fait pousser de la beuh dans la serre. et qui du coup fait du mal AUX AUTRES PLANTES
du coup quand il verra ça il commencera à l'engueuler/l'agresser/l'étouffer avec de la terre bref il va être en mode "remet plus jamais ici fils de capitaliiiiiistes".
bref voilà.
voilà.

Gaby S. King ♥ a écrit:

Au plus profond de lui-même il savait.

Mais il ne disait rien. Il voulait que ça soit elle qui y mette fin ; il avait besoin que ça soit elle qui y mette fin. Lui, il en était incapable. Il ne trouvait pas le courage de lui rendre sa liberté, parce que même si elle souffrait de cette situation, lui, il était heureux avec elle et les enfants qu'elle lui avait fait. Il était heureux même s'il fallait encore tondre la pelouse, réparer le lave-vaisselle ou terminer de peindre la chambre du dernier. Il était heureux même si les fins de mois étaient parfois rudes et qu'ils ne faisaient plus aussi souvent l'amour.
Leurs habitudes de vieux couple le faisaient rire. Il y trouvait une tendresse infinie. Et quand elle lui parlait dans l'entrée, le matin quand il mettait ses chaussures et le soir quand il les enlevait, il savait pourquoi il l'avait mariée.

Alecto H. Onassis a écrit:

« je ne vois pas de quoi vous parlez. »

le déni dans toute sa splendeur. hors de question de partager. l'idée lui tire un froncement de sourcils fugace, mais déjà son esprit s'en va errer plus loin, considère l'état de ses mains.

« un verre est tombé. »

elle n'admettra pas qu'elle l'a lâché, qu'il lui a échappé. il est tombé. en quoi cela le regarde-t-il ? elle n'a pas de compte à lui rendre. pour qui se prend-t-il au juste ?

Malwina a écrit:

Malwina s' assit sur le bord de l' étang dans lequel se jetaient des torrents d' eaux (cascade pour les intimes). Les jambes à moitié dans l' eau. Mais sa jupe blanche (oui, en hiver, et ça ne semblait pas la déranger) allait seulement un peu en dessous de ses genoux, aussi ses habits n' étaient pas mouillés. A part ses chaussures, mais ça, n' importe quel enfant les a mouillées un jour. Ça leur a rarement porté préjudice. En grandissant, ça ne doit pas changer tant que ça...
Dormeuse semblait chercher un truc à dire.

- Euh... Une fois dedans elle est bonne.

Clap clap ! \o/

Aidan a écrit:

Il avait perdu toute réelle envie de lire en rencontrant Gaby au port, avait perdu tout espoir de passer un bon moment quand il l'avait invitée pour la forme et qu'elle avait accepté pour l'emmerder.

Aidan a écrit:

Ce serait bien joli de se cacher là, dans un palais de verdure, il lui fallait bien un palais à cette femme, un palais à son image, sauvage, enchevêtré, organique et plein d'éclats de couleurs surnaturelles.

Salvatore a écrit:

- T'as une tête à classique, à jazz, et à underground européen obscurs qu'on écoute entre intellectuels ratés dans ce genre de club où on boit le thé au jasmin bio du Vietnam et où on se suce sans sortir sa queue, juste avec des mots tu sais. « Oh oui Margaret, votre manifeste sur la sauvegarde des larves de moustiques roux du Guatemala était fascinant ! Superbement ancré dans une réalité über consommatrice et destructrice, la force de votre plume est conceptuelle, quasiment organique ». Avec l'accent français, espagnol ou allemand.

Japogay a écrit:

Aidan c'était un gentil canadien perdu dans sa forêt de pins, un bûcheron comme on en fait plus. Il se bat contre les ours et les mange au petit-déjeuner, il en prend même deux quand il a très très faim.

Malwinaturelle a écrit:

Les pelouses intérieures
Sont des petits parkings
Pour les voitures d' ailleurs
Fabriquées dans l' ère Ming

Enora a écrit:

Elle déteste ce prof, tiens. Ca y est.
C'est bien un français, ah. Reste plus qu'à espérer qu'il fasse grève, comme tous les autres.

Mandy-Lou D. Carvalho a écrit:

« Un pékinois. Voilà à quoi tu me fais penser. Court sur pattes et toujours en train de japper. Si je te demande de faire le beau, tu le ferais pour moi ? »

Enora a écrit:

Force est de reconnaître qu’elle ne sait formuler aucune autre phrase en français ; et Google Traduction va lui permettre d’expliquer ça. On réussit bien à avoir la 3G, la 4G, whatever, dans les amphis, non ?

« Je suis incapable d'écrire une phrase francais plus, mais je sais quelques mots, comme :
✗ Bonjour.
✗ Fille.
✗ Chat.
✗ Pain. Et vin.
✗ Café.
✗ Maison.
✗ Rendez-vous.
✗ Fiancé.
✗ Art déco & art nouveau.
✗ Bon appetit. »

Enora a écrit:

Franchement, la prof les a bien regardés, avant de les coller ensemble ? A coup sûr, non. Personne n’ose bien les regarder.

Malwina a écrit:

Ce sang qui a gelé
Sur des mains innocentes
Atteste d' un bonté
Qui désormais s' évente

SANG
MEURTRE
VIOLENCE

Remue ton écran pour un meilleur effet dramatique !

Milo a écrit:

En enfer, Satan fait remplir des fiches de perso.

Jay I. Howard a écrit:

- Ah et tu poses pas trop d'questions, maintenant qu'tu commences à parler j'vais pas t'demander d'la fermer c'est complètement con comme raisonnement. Et puis moi t'sais dès que j'peux parler d'mes pandas...

Mes peluches. Mes bébés. Plus tard quand on aura des enfants ce seront des pandas. Voilà.

Neyja a écrit:

Neyja eu un instant de réflexion, le temps de décoder la phrase, mais même une fois ceci fait, il ne comprenait pas en quoi il gênait, il était juste… là, dans un lieu public de surcroît. Une seule explication : diantre, un teigneux.