Don't worry ... Be happy ~♪ || Mary A. Taylor

▷Mary, que pouvons nous dire de toi ? Comme la plupart des Anglais tu à la peau pâle, on peut expliquer sa par le climat de ton pays, et le manque de sortie à l'extérieur quand tu était petite. Malgré tes 18 ans tu est quelqu'un de petite stature, tu ne dépasse pas le mètre 66, ce qui parfois te pose des problèmes quand on te prends plus jeune que tu ne l'est et qu'à cause de cela, on ne prends pas souvent au sérieux. Il faut dire aussi que tu est aussi fine que tu est petite, et on pourrait croire que tu vas t'envoler ou te briser au moindre coup de vent, tu à toujours été de faible constitution ce qui pousse parfois les autres à vouloir te protéger. Malgré cela tu possède quand même un petit peu de poitrine, même si parfois elle semble inexistante, ça dépend de la façon d'on tu t'habilles.


Focalisons nous plus haut maintenant, sur ton visage seulement éclairé par deux pupilles vertes, ou l'on peut parfois apercevoir deux soleils doré le jours de beaux temps. Ton visage n'exprime que douceur et gentillesse, d'ailleurs un sourire flotte souvent su tes lèvres, et un air innocent, presque enfantin émane de ton visage. Tu ne te maquille pas, ou peu souvent, seulement lors de grandes occasions, car si tu t'en sort avec de la peinture, on ne peut pas dire la même chose de ce que tu peint sur ton visage, tu y as donc renoncés et tu laisse les autres le faire à ta place.


Niveau vestimentaire tu porte de tout, allant des jupes au jean, ainsi qu'au robes, toutes les couleurs te vont même si tu à un faible pour le bleu et le vert. Tu met souvent des vêtements amples pour cacher tes manques de courbe, mais la robe reste le vêtement qui te va le mieux.

▷ Mary, c'est une fille qu'on ne remarque pas vraiment, elle n'as pas un physique qui sort de l'ordinaire, pas de cheveux teints, pas de taille immense, et c'est la même chose niveau caractère, on ne peut pas la catalogué comme étant une fille vulgaire, une groupie, une fan de mode, une antisociale ou autre.

Elle est juste ... elle même. Une fille à l'éternel sourire, à l'expression sereine et calme, souvent joyeuse et rassurante. Elle n'hésitera pas à aider quelqu'un qui en aura besoin par exemple, à régler des problèmes quelconques, mais vous ne la verrez jamais recourir à la violence, pour elle le dialogue est la seule solution, d'ailleurs elle est très pacifiste. Elle n'est pas vraiment timide sait comment parler à quelqu'un sans le mettre en colère et est très à l'écoute des personnes, mais elle est loin d'être naïve et n'hésiteras pas à rembarrer quelqu'un qui ne lui inspira pas confiance. Par contre elle est très nerveuse quand elle est entouré de trop de monde, elle n'as pas peur, mais elle est très mal à l'aise.

C'est une bonne élève, qui travaille mais qui reste assez à l'écart. Par contre elle s'investit à fond dans ce qui la passionne et en l'occurrence, c'est la musique, elle joue du violon, même si sont instrument de prédilection reste le piano, elle rêve de pouvoir composer ces propres musiques, ou de jouer dans un orchestre, elle ne diras jamais qu'elles est doué, car elle ne veux pas passer pour quelqu'un de vantard, mais c'est elle est doué, elle sait faire ressentir des choses à travers ce qu'elle joue.

Mais ce n'est pas parce qu'elle joue d'instrument dit « classiques » que c'est son style de musique préféré, elle est très ouverte niveau genre de musique et elle écoute à peu près de tout. Elle aime beaucoup les arts visuels également, elle s'investit un peu dans la peinture même si elle n'est pas vraiment extrêmement doué, elle aime le dessins et la sculpture, et également le cinéma même si elle n'est pas très calée dessus.

Elle n'est pas trop difficile, mais elle préfère le sucré, et ce n'est pas rare de la trouver en train de manger quelques sucreries quelque part. Sa saison préféré reste l'hiver, car elle peut porter des gros trucs sans attirer l'attention des gens.

▷ J'étais née un soir de décembre, ma mère étant souvent sujettes aux maladies, elle est morte en me donnant la vie. Mon père ne s'en est jamais remis, et il quand il en parlait il me regardait souvent comme si tout était de ma faute. D'ailleurs il n'as jamais vraiment voulut de moi, préférant sans doute un garçon pour faire continuer le nom de ma famille, même si je possédait déjà un grand frère sûr de reprendre la machine familiale. J'ai vécu une enfance bannie de rire et d'embrassades de la part de ma famille, mon frère se moquait souvent de moi et mon père m'ignorait totalement, mon seul refuge était ma gouvernante en quelque sorte, une vielle femme nommée Juliette, une française qui avait été embauché alors que j'étaie encore dans le ventre de ma mère, elle me parlais souvent d'elle justement, et du fait que je lui ressemblait beaucoup, c'est elle qui m'éduqua si l'on peut dire ainsi, elle m'appris le français en plus de ma langue maternelle, et elle m'appris également à jouer du piano, ce qui devint rapidement ma passion. Mais elle ne tenu pas longtemps, elle mourut lors de ma douzième année, je me muras dans un silence profonds pendant des mois, dans l'impossibilité de faire une croix sur cette personne que j'aimais et que j'admirais tant. Alors je reportas mon attention sur une personne qui m'ignorait depuis des années, mon père. Je me mit à travailler plus dur, et lui montrait fièrement ce que je savais faire, mais il ne semblait pas s'en soucier. A 14 ans j'essayai alors ma deuxième option faire le plus de bêtises possible, dans le but qu'il me regarde enfin comme ce que j'étais : sa fille. Mais tous ce que je reçus se furent les foudres de mon père, et l'amitié de mon frère à qui je prouvas que je n'étais pas qu'une petite fille sage. Alors je continua de travailler durement, pensant que le fruit de mon labeur serait récompensé, et à l'aube de mes 18 ans, je fus convoqué dans le bureau de mon père, je mis rendis folle de joie d'avoir enfin de l'attention de la part de cette figure paternelle. Il me regarda longuement puis il dit enfin

« Ma fille tu à 18 ans maintenant, tu n'est plus la fille immature que j'ai vue grandir, tu est presque une femme, alors je voudrais te marier le plus vite possible pour que tu fasse prospérer notre famille. »

Je le regarda longuement, n'ayant pas ces même projet en tête, puis sortit sans m'en rendre compte

« Ce n'est pas ce que je veux, et si pour une fois tu me regardais vraiment et tu me laissais faire ce que je veux vraiment au lieux de planifier ma vie, moi la fille que tu regarde à peine depuis qu'elle est née, et maintenant celle que tu veux marier pour le bien de la famille ? »

Il posa un long regard sur moi avant de baisser la tête et de dire :
« Tu ressemble énormément à ta mère tu sais ? »
Je ne dit rien pendant un moment, impossible d'articuler un mot pour finalement dire d'une petite voix :
« Pardon ? »
Mon père souleva la tête et dit d'un air nostalgique :
« Elle avait la même expression déterminé que celle que tu arbore, elle était fière et insoumise, c'est pour sa sans doute que je l'aimais. Mais je ne t'en veux plus d'être née en lui volant la vie, j'ai eu du mal à réaliser que la femme que j'aimais et que j'admirais était morte, même si elle semble être revenue en toi. »
Je le regarda longuement et lui aussi, ne pouvant l'un comme l'autre ce silence. Puis il me sourit et il me dit.
« Je te laisserais faire ce que tu désire ma fille, puisque tu viens de me montrer que tu en était digne, mais je ne trouverais pas d'établissement pour t'inscrire, c'est à toi de diriger ta vie désormais, même si je m'occuperais du financement. »

Je le laissa folle de joie, fière d'avoir pus lui dire ce que je voulait, et fière qu'il m'ai également regarder pour la première fois, tellement heureuse que j'en sautait de joie, mais la partie n'était pas terminer et il me restait encore à faire mes preuves. Je revins le voir quelques semaines plus tard et lui soumis la brochure d'une académie à la renommée florissante.