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 Titre de la mort qui tue. Juliet.

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Juliet




Infos
XX Nom : Henshaw.
XX Prénom : Juliet.
XX Âge : Vingt ans.
XX Sexe : Masculin.
XX Nationalité : Américaine.
XX Origines : Américaine.
XX Orientation sexuelle : Demisexuel.

XX Statut : Universitaire.
XX Régime : Externe.
XX Poste spécial : J'y réfléchis.
XX Camp : Si seulement Juliet ouvrait les yeux, si seulement Juliet pouvait s'intéresser à cela. Le champ serait alors remplit sérieusement.

XX Cursus : Théâtre.
XX Spécialité : Dramaturgie.
XX Groupe souhaité : Solitaires

XX Rang :
Code:
pas plus de 96 caractères siouplait
OH GOD I DUNNO.

Divers & précisions
Il est myope.
xx

• Histoire
Simple, simple vie. Sans rien demander de plus, sans rien d'attendre plus. Comme si son simple cri emplissant l'air aurait dû être le dernier. Comme si sa chair si délicate, si douce alors aurait dû pourrir au contact de l'air. Il n'a jamais rien eu à faire là. Déjà épris par sa propre acrimonie, déjà noyé dans sa propre rancœur qui n'aurait jamais dû exister. Il est simplement né lassé d'un monde qu'il n'avait encore jamais foulé. Mots doux, attentions éthérées comme s'il n'était pourtant que la simple personne attendue de ces deux personnes. Il n'a plus aucune échappatoire et cela n'en est que ridicule. Alors il se laisse bercer par quelques illusions déjà, par quelques promesses qui ne seront jamais exaucées. Mais cela lui sied si bien. Juliet. Ainsi sera-t-il nommé. Comme si ses traits avaient été esquissés pour n'être que ceux d'une délectable demoiselle. Une simple futilité, une simple sonorité que le lie à ce monde, qui l'enchaine, qui l'empêche de rêver. Et les années défilent, et le temps s'éprend de lui, caresse ses phalanges et lui brise les os. Il ouvre les yeux et les referme aussitôt. Il s'entiche de ces quelques histoires, comme un simple enfant. Il s'entiche de ces quelques personnes, il s'entiche de quelques mentalités. Bientôt, il voudrait tout effacer, tout réécrire à cette manière. Ridicule, ridicule, comme si rien ne pourrait attirer son attention. Oui déjà Juliet ne devient qu'un simple humain rêvant de rédemption. Futilités. Et le voilà simplement lancé dans ce qui devrait être la société, dans ce qui n'a jamais été pour lui qu'un simple mot, qu'un simple fait qu'il se veut incapable de comprendre. Frivolité de l'adolescence qu'il ne se permet pas d'expérimenter comme si déjà cela lui était interdit. Recelé, abimé par ses propres pensées. Alors simplement, il essaye d'assortir quelques mots, de se dire éduqué. Mais la simple intelligence ne se veut sienne, Juliet ne se veut que simple amant ébranché et rien de plus. Oui, il se voit fréquenter quelques écoles sans pourtant deviner ses propres gouts. Non, il se voit absorber par ce qui n'en devient qu'irréel. Il écrit ici, là, dans le simple souci de perfectionner quelques êtres qu'il trouve simple abjecte. Qu'il trouve creux. Qu'il trouve à son image. Juliet déjà se perd encore, encore dans une exécration qui emplie son être.

« Juliet, hey, Juliet. »
Il hausse les épaules, il détourne les yeux. Il n'y a pas grand attraits dans un être imparfait. Il n'y aucun amour qui pourrait naitre de tout cela. Non, il n'y prête pas attention. Il se contente de tourner quelques pages, il se contente d'observer quelques mots. Cela ne suffit pas, cela ne convient pas à ses espérances.
« Hey Juliet. Tu ne l'as pas déjà lu hier ? »
Et les rayons du soleil découpent vos deux formes. Cela n'en est que ridicule. Ses simples contours se veulent grossier, hachurés. Comme s'il n'était que l'image de ses propres mots. Non, cela ne lui suffit pas, il lui en faut plus, bien plus. Il lui faudrait quelques douces calomnies, quelques douces ampleurs.
« Juliet, cela ne t'ennuie pas ?
- Inutile... »
Il le néglige, il se néglige, il néglige ses propres actes. Non, il ne s'attend pas à ce qu'une simple rencontre puisse compter dans sa vie. Il en là, encore là, toujours là. Comme sa propre ombre, comme s'ils se devaient d'être amis. Ils le sont. Etrangement, échangeant quelques mots vides, quelques mots que Juliet méprise. Cette voix quine ressemble pourtant qu'à un simple crissement caresse son âme. Le quotidien et un simple homme comme distraction, comme simple vice, Juliet s'y accorde pourtant.

« Pourquoi des pièces ?
- Parce que je n'aimerais pas qu'on les joue. »
Mensonges. Quelques noms, quelques paroles, sans rien ajouter de plus. Comme si les simples gestes n'avaient jamais eu de places, comme s'ils ne demandaient qu'à être ressentit. Juliet grandissant, encore et toujours. Le regard perdu dans le temps et les mains perdues dans quelques péripéties. Les mots prennent plus de sens, les paroles deviennent tonalités et il se perd alors dans un monde bien plus vaste. Il apprécie cette quelconque incertitude, cette quelconque répétition d'une vie qui n'est que sienne. Ha oui, il finit simplement par se faire teinter de quelques pensées étrangères. Il aimerait sans doute simplement qu'à leurs tours quelques inconnus se laissent imprégner de ces écrits comme il se laisse corrompre par tant d'autre.
« Je pense que tu devrais te contenter de les jouer, toi, alors. »
Il laisse échapper quelques éclats de rire. Lui ne possède que son propre rôle. Lui le joue alors avec maladresse encore et encore. Il n'est qu'un simple personnage de second plan et son nom, déjà, s'estompe de sur les pages de quelques écrits. Pourtant il se complaît dans la simple pensée de voir sa voix ricocher entre une foule qui ne serait là que pour sa propre histoire. Mais cela ne vient que de l'esprit d'une personne qu'il considère fade, dont il n'apprécie guère les simples penchants. Alors Juliet se contente de broder ici et là en ajoutant quelques passions, attractions des plus futiles, des plus ridicules. Mais cela plait paraît-il.
« Tu sais, c'est plutôt côté... »
Peu importe. Il a déjà regardé cette brochure. Une, deux, trois fois. Rien ne lui va. Rien ne semble satisfaire ses appétits. Rien ne semble pouvoir être capable de le redresser et de redresser son monde dans un même temps.
« Et tu vas y aller n'est-ce pas ? »
Dans un simple espoir d'y trouver contentement. Dans un simple espoir qu'il sait déjà fourvoyé comme tout ceux qui sont déjà nés ici et là depuis si longtemps. Il prendra soin de lui-même les écraser si alors, on le laisserait simplement y croire. Oui, Juliet compte simplement utiliser cet honorable discernement qui ne s'est jamais réellement montré utile, qui ne lui a jamais appris à intégrer la réalité. Alors il agite son imagination, encore et encore, quitte à ce que quelqu'un finisse par désirer tourner la page.


« Je te l’avais dit.
- Je ne t’ai pas écouté pour autant.
- Non, Juliet, tu t’es simplement contenté de prendre le chemin le plus simple, celui qu’on avait tracé devant tes yeux. Celui qu’on t’avait insufflé depuis le départ. Tu n’en fais qu’à ta tête, Juliet. Et tu sembles aimer ça. »


• Caractère
Douce acrimonie qui éveille ses sens et le fait vivre. Doux quotidien qui éveille sa lassitude et l'endort chaque jours de plus en plus. Juliet, simplement, vit dans quelques poésies, dans quelques pièces ou ses mots n'ont de place. Quelque peu négligeant, négligé, incapable même de pouvoir supporter ce qui ne serait à la hauteur de ces attentes. Méprisant et méprisable, trait qui s'exerce sur sa propre personne et se sachant évidemment comme simple homme parmi tant d'autre. Comme si le monde même avait été fait à son image, puisque le monde même avait décidé de se laisser souiller. On le dit désabusé, perdu entre deux mondes qui ne lui offriraient sans doute rien de ce qu'il souhaiterait posséder. Et ainsi est la vérité. Il n'est que ce genre de personne, parasitant vos pensées, vos actes, à la recherche même de son propre idéal. Facilement trompé, facilement bercé par quelques illusions, à la recherche de ce qui pourrait combler ses attentes bien trop difficiles à oublier. Obsédé par l'idéal, par la beauté des choses sans pourtant ressentir un quelconque bonheur une fois celui-ci présenté à ses yeux. Facilement irrité, facilement pris dans une animosité inexpliquée sans jamais qu'elle ne se laisse remonter à la surface. Il se voudrait sans doute voir susurré quelques doux mots qu'il ne serait capable de mettre au monde, sa bouche scellée par sa propre incapacité. Juliet vit oui, dans un monde inexistant, vit dans les simples pages de ces nombreux écrits et semble ne se modeler que pour elles, rien que pour elle dans un égoïsme non dissimulé, dans un égoïsme qui se voudrait feint et qui est alors bien trop réel. Plus réel que la nature même de ses pensées, imprégnées par une noirceur qu'il se doit d'oublier. Qu'il oublie d'ailleurs et qu'il dissimule avec grand soin. Pourtant la voilà au coin de ses lèvres, au coin de sa bouche sans qu'il ne puisse l'essuyer du simple revers de sa main... Non, Juliet rêve de faits inexplicable, d'ornements, d'inutilités qui se révéleraient finalement des plus utiles. Juliet rêve simplement de maitriser quelques dons qu'il n'a été capable de se forger, ou bien même de trouver quelqu'un capable d'autant que passion que sa propre personne. Juliet simplement épris de pulsions doucereuses, silencieuses et immuables. Simplement brisé par une société qui ne l'a pas encore accepté, intégré sans que lui-même ne sache d'ailleurs s'il ne se laisserait pas simplement laisser aller, comme aujourd'hui, comme toujours. Comme jamais plus.


• Physique
Traits efféminés comme finement modelés et gestes amples, souples. Pour la peine qu'il prendrait les soins de les esquisser. Pris dans un quelconque stoïcisme affiché, mesuré. Simple aura gâchant ces quelques traits ou ne les prenant que plus prenant. Courbes, courbes sans aucun artifices, comme une jolie demoiselle bien joliment éduquée. Oreilles joliment galbées sans jamais être percée simplement révélant quelques parts de sa personnalité. Doucereux brun ornant ses iris, le simple reflet de sa chevelure qui se voudrait organisée et qui n'en devient qu'une simple masse, un simple désordre contradictoire. Yeux simplement simples, tendres et bientôt cruels, dans la simple lignée que le reste de sa silhouette se découpant au soleil. Jolie demoiselle que tu es Juliet. Cou d'un blanc laiteux rattachant cette banale tête au reste de son corps. Caché, abimé par ses propres ongles sans doute, ou le reste de ses pensées, on ne saurait guère. Habits amples, Habits choisis au hasard, par simple souci de négligence. Quelques côtes simplement écrasées, marquant ici et là, son torse et la simple lignée de ses vertèbres comme point de repère. Dos courbé dans un quelconque ennui, et aussitôt droit, aussitôt plié à quelques règles invisibles. Osseux, creux, comme si quelques caresses pourraient le faire tomber, le briser encore plus que ce qu'il pourrait prétendre être. Et ses douces mains qui jamais ne pourraient atteindre le simple but de sa vie, douces, douces, encore plus douces que n'importe quelles chairs, se veulent masculines, fermes et réconfortantes. D'une simple allure fuyantes il n'est qu'une forme fantomatique que certains s'amuseraient à frôler, à tenter de toucher. Pour simplement en vérifier la consistance.


• Derrière le tas de pixels
XX Pseudo : quand je me suis présentée devant le comptoir ils étaient en rupture de stock.
XX Âge : dix-sept ans.
XX Comment as-tu atterri ici ? (ouais on se tutoie pour cette question) : je suis rose et fabulous if you know what I mean. Et ouai j'avais dit que je prendrais un prédéfinis mais quand je me suis mise à écrire Juliet a fait : ET MOI ? Alors voilà.
XX C'était long de lire tous les sujets annexes ? : quand on le désire rien n'est impossible.
XX Des trucs à changer ? : moi je trouve que votre brochure en fait limite elle pourrait faire fiche de pub tellement elle est badass.
XX Code de validation :
XX C'est chiant les fiches, pas vrai ? :  c'est ce que je préfère haha... Parce qu'après trouver quelqu'un qui supporte mes rps c'est dur.
© Volfoni
Salvatore Kimimichi
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BIENVENUE PARMI NOUS DSFGHJYTYRTERFGHTJYJ
J'ai encore rien lu, mais apparemment ton personnage a l'air plutôt prometteur alors... bon courage pour terminer la fiche EL ADRITORE !
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Bienvenue BZZZZZZZZZZ
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YEAH BIENVENUE JULIETTE LA BONASSE  amoureux

Just let me touch your boobs ♪ ET NON je ne vois pas du tout qui tu peux être, c't'incroyable COEUR D'AMÛÛÛR PASSI

je me lancerai dans mon commentaire de fiche quand ce sera fini PARCE QUE OUAIS ON A ENCORE UN CHAMP POUR LE PHYSIQUE parce que le physique c'est tout ce qui compte ♥




Plein de bisous EL ADRITORE !
Pepper Bell
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BIENVENUE

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Voilà, c'est tout ce que j'avais à dire.
Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
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ᎷᏒ

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gg petit moineau !
« iiiiiiiiiiil est des nôôôôtres ! »

GOUUUUUUUUUUUUUUULE


Alors franchement j'ai hésité à valider cette fiche BWAHAHAHAHA.  :nosoviet:

Non parce qu'au niveau du fond, toutébon, mais au niveau de la forme... J'avoue que je suis plutôt adepte des textes courts et des textes clairs donc j'ai eu du mal à tout lire. Faudrait que tu fasses attention en fait, parce que j'ai l'impression que tu te perds dans tes propres phrases. Parfois tu oublies le sujet et tu n'accordes plus rien, parfois tu mets de la ponctuation de manière complètement arbitraire ET MOI CA ME PERD EUKAY  ELPEUH MI PLIZ  Bon, après, autant pour un autre personnage j'aurais sans doute demandé des corrections, autant pour Juliet bah... ça lui va bien, voilà. Tous ces trucs entourloupés ça lui va bien, ça lui ressemble c'est BAAAAAAAH le fond et la forme ils vont trop bien ensemble, valà. Fais juste attention que ça reste compréhensible parce que parfois je me perds vraiment et ça relève un peu du déchiffrage.
ET MIS A PART CECI Juliet c'est une bonasse. J'aime pas les tristes et les solitaires (#dédicaced'amour #Adriel #bitch) (ça fait plein de trucs que j'aime pas didon SCREAM ) mais il est beau. Il est cool.  :sum:  Et ta manière bizarre d'écrire sert complètement le personnage. Donc bon. Ma compréhension limitée fait joyeusement cette concession (j'me sens trop mégalo quand je dis ça, hihi, ça m'excite).

Me tarde de RP avec toi SISI de RP AVEC TOI tabienlujeveuxj'aidit  PLIIIIIIIZ  et puis j'espère que tu te plairas ici et non, tu fais pas mauvaise impression voyons  ♥ Je t'aime tout plein ma tite goule préférée ma Juliet à gros boobs.

Ouais je sais je t'ai déjà validé mébon, je fais ça officiellement.
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