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Sloan De La Forêt-Blanche
Monsieur❧ ℓ'Ꭿrchiduc
Sloan De La Forêt-Blanche
Âge du perso : 26
Activité : Professeur de français
Spécialité : Langues étrangères (français)
Fonction : Professeur
Avatar : Shishio Satsuki
Doubles-comptes : Adam Wiest ; Evannah Westgate
Messages : 49
Date d'inscription : 31/12/2014
Monsieur❧ ℓ'Ꭿrchiduc

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Let's get wet



Histoire


4 - 7

Ils t'ont laissé au bord d'une route. Je reviendrai te chercher, ne bouge pas. C'était le mensonge le plus cruel qu'on t'ait jamais dit et tu y as cru de trop longues années. La grande route là bas, derrière quelques arbres, faisait un bruit épouvantable et tu étais comme paralysé assis sur ton bout de trottoir appuyé contre une grande poubelle en pierre. C'est le premier souvenir clair que tu as, implanté à jamais dans ton cerveau comme une photographie haute définition ; tu te rappelles de tout les couleurs les formes le mouvement les sons les odeurs le froid, en même temps, dans un fragment de temps figé à jamais. La voiture qui s'éloignait. Surtout ne t'inquiètes pas.

Au matin, quand tu t'es réveillé, il y avait des gens autour de toi, des dames qui sentaient bon et qui voulaient t'emmener ailleurs, mais tu criais et tu serrais ton ours en peluche contre toi et tu ne voulais pas partir, parce que si papa revenait il n'allait pas te trouver – tu devais rester. Ton père ne reviendra pas. Tu ne les écoutais pas, tu ne voulais pas voir l'évidence mais tu avais quatre ans, Sloan, et tu as presque arraché la patte de ton ours tellement tu tirais nerveusement dessus. Les coutures ont craqué et un peu de mousse en est sortie quand par la vitre de la voiture qui t'emmenait tu as regardé disparaître au loin l'aire d'autoroute de la Forêt-Blanche.

« Comment tu t’appelles ?
– Sloan.
– Sloan comment ?
– Je sais pas.
– Et ton papa et ta maman, ils s’appellent comment ?
– …Papa et maman. »
La femme s’est retournée vers sa collègue, soupirant d’un air ennuyé. On va devoir le garder, il ne sait rien du tout. A partir de là tu as eu un nouveau lit, rangé dans un dortoir à côté de plein d’autres lits qui appartenaient à d’autres garçons comme toi. Mon papa va revenir, leur disais-tu plein d’espoir et certains te regardaient avec dégoût et mépris, surtout les plus grands, d’autres te bousculaient certains cognaient ta tête contre le mur blanc et toi tu grandissais, tu apprenais à ne plus pleurer pour ne plus qu’ils rient, pour ne plus que les dames les disputent ; parce que quand les grand se faisaient disputer ils te punissaient après, pour avoir cafté, alors tu souriais tout le temps et tout le monde pensait que tu étais content.

A l’école tu étais brillant, tu avais du mal à parler aux autres mais tu savais bien lire et tu adorais ton cours d’anglais. Tu levais toujours la main pour répondre et personne ne venait jamais te parler. Les professeurs t’aimaient, tu le sentais dans leurs mots, leurs gestes et les notes sur ton bulletin. Il est doué, ce gamin. Dans la cour tu t’asseyais sur une marche et tu regardais les autres jouer au loup ou au foot avec envie.
« Je peux jouer avec vous ?
– … Alex ! Y’a le petit qui demande s’il peut jouer. »
Alex t’a écorché du regard et a fait non de la tête. Non, a dit son sous-fifre avec fermeté.
Dans ton cahier de textes tu dessinais avec un bout de fusain trouvé sous ton bureau. C’étaient des animaux, hybrides et fantastiques, tous mélangés entre eux, des Girachatinosaure, des Loudragoniens. Des fleurs, aussi.

Une fille, bientôt.
« Je t’aime Sloan. »
– Je t’aime Liz. »
Un bisou échangé. Tu lui as pris la main, vous étiez cachés sous le toboggan mais les rires des autres vous ont trouvés, débusqués, leurs chansons moqueuses ont fait brûler tes joues et les siennes aussi ; vous vous êtes écartés vivement et plus jamais revus.

12 - 18

C’était tranquille de rêver à l’étranger. Tu lisais des livres en anglais, ils remplissaient le carton au-dessus de ta petite armoire ; tes livres ne restaient jamais bien longtemps en place puisque tu les empruntais tous à la bibliothèque du quartier. Ils te faisaient rêver et même quand tu ne comprenais pas les mots tu prenais toujours soin d’en emprunter avec des images, de belles images que tu t’appliquais à recopier sur les dernières pages de tes cahiers.

Les garçons de ton âge disparaissaient. Les filles, aussi. Tu étais devenu ami avec Claire mais elle est partie. De nouveaux parents. Personne ne t’emmenait, toi. Tu n’étais même pas sûr de vouloir quitter l’orphelinat. Tu n’avais qu’une maison et elle était ici, mais même si tu mourrais de peur qu’on t’emmène au loin tu voulais tellement y aller, tu voulais tant que les yeux des couples tristes se posent sur toi et s’illuminent de bonheur et regarde chéri, ce garçon là-bas mais personne ne te voyait jamais, tout recroquevillé que tu étais sous tes cheveux et tes lunettes et tes vêtements fades.

Le collège, le lycée, c'est pas intéressant. Tu étais là, mais pas tout à fait. Les places près des fenêtres et du radiateur étaient occupées, donc toi tu étais dans la rangée du milieu, invisible, discret. Tu travaillais bien. Assez pour qu'on te stigmatise. Intello. Déjà, tu voulais partir. La France ne t'avait jamais mis des paillettes dans les yeux comme les Etats-Unis ; déjà tu étais piégé, attiré par l'image miroitante d'un futur meilleurs. Là bas tu aurais des amis, tu serais populaire, apprécié, fabuleux.

Déjà à cette époque tu bavais devant les magazines ou sur internet. Tu écoutais leur musique. Tu aurais voulu acheter leurs vêtements. Vivre dans leurs maisons. Avoir leurs chiens, leurs voitures, leurs cheveux. La France te déprimait. Mais tu continuais à étudier, d'une part parce que tout te semblait facile, d'autre part parce que les études étaient ta seule porte de sortie. Tu as connu les sombres jours de tout adolescent. Ta voix a atrocement changé. Tu n'osais plus parler. Ton visage acnéique te traumatisait le matin dans le miroir. Tu ne te coiffais plus et ne te lavais pas très souvent ; au contraire, curieusement, de la plupart de tes camarades de classe. Tous les amis que tu avais pu te faire à l'orphelinat était scolarisés dans d'autres lycées, plus ou moins heureux dans leurs familles adoptives. Il ne te restait plus que ces sortes de bourges mi-hautains mi-rebelles qui te donnaient envie de gerber sur leurs chaussures en cuir quand ils te demandaient de leur apporter leur plateau repas, le midi.

C'est pour toutes ces raisons que, dès que tu l'as pu, tu es parti. Tu as fui ton pays en n'en emportant que des mauvais souvenir, 18 ans, la majorité et une assurance toute relative en poche, tu as traversé l'océan, seul et déterminé. Le soir, tu bossais dans un MacDo. Le jour, tu étudiais dans une faculté banale. Tout allait bien trop vite dans ta tête, et tu remerciais sans cesse ton incroyable mémoire. Tu prenais de plus en plus d'avance sur le programme, excellait dans toutes tes matières, et tes profs te prenaient pour un surdoué, ce que tu n'étais pas vraiment. Tu étais juste heureux, enfin tu commençais à trouver ta place, enfin se dessinaient devant toi les contours d'une vie rêvée.

19 - 24

Tu as fini par passer certains concours en candidat libre ; les succès de sont enchaînés, tu étais une machine à réussir intellectuellement. Toujours des lunettes rondes, une coupe approximative et des vêtements gris, mais une vie intérieur enrichie par les litres de culture générale que tu enfournais quotidiennement. De concours en réussite, de réussite en concours, tu as fini par t'orienter vers la voie de l'enseignement. Le résultat naquit bientôt : un prof. Un prof flambant neuf avec des cernes sous les yeux et les cheveux gras. Non ; tu ne pouvais décemment pas te présenter comme ça à des élèves. Tu étais encore jeune. Tu savais à quel point les lycéens pouvaient être cruel. Monsieur Lamallière pue tellement.

C'est à partir de ce moment, du moment où tu as décroché ton premier emploi sérieux, que tu as commencé à agir de cette manière imperceptiblement féminine, perturbante. Tu as pris soin de toi. Ton teint a retrouvé son éclat sous l'influence de crèmes et de lotions diverses. Tes cheveux ont enfin bénéficié d'une visite chez le coiffeur et de shampoings doux et odorants. Ton corps maigre s'est étoffé, gorgé de bonne nourriture, et a pris quelques rondeurs agréables à l’œil - c'étaient surtout tes joues et tes lèvres, pleines et roses, que tu as été surpris de retrouver. Le salaire de prof n'était pas si élevé, mais heureusement suffisant pour subvenir à ces quelques luxes et à ces goûts uniques que tu commençais à développer.

Tes élèves t'appréciaient mollement sans t'aimer, et ça te convenait. A vingt-deux ans, tu t'es créé un blog et c'est là que tout s'est emballé. Tu as rencontré une fille, Kaitlin. Elle aimait les gribouillis que tu postais. Vous vous êtes aimés brièvement et tu as couché avec elle - une première fois décevante, tu y arrivais bien mieux tout seul. Puis vous vous êtes oubliés.

Puis ce fut Loïs.
Loïs fumait alors toi aussi.
Loïs aimait la France alors toi aussi.
Pour lui plaire, tu as soudainement embrassé tes origines, agissant comme le fabulous frenchie que tu te devais d'être. Vin rouge, baguette de pain, séduction, accent, parfum, vêtements. Ça t'as pris du temps. Six mois environs. Tu portais de ces trucs ! Plein de couleurs. Plein de joie. La joie ne t'allait pas vraiment mais tu postais des choses plus intéressants et plus personnelles sur ton blog parce que tu savais que Loïs te suivait. Tu as menti allègrement, au quotidien, tu t'es inventé une vie en France, des amis à visiter, tu l'as emmené dans des restaurants français et tu as décrété que rien ne valait la vraie cuisine de chez toi. Tu as commencé à parler français à ton chien quand tu savais que Loïs t'observait. Et puis, ça t'a plu, ce jeu. Ma petite croissant, disait Loïs avec un sourire, et toi tu rougissais.

Loïs n'était ni une femme, ni un homme, c'était un de ces êtres divinement androgyne et confus ; une illusion d'optique vivante, maquillé mais viril, délicat et fragile, agressif, solaire. Mais toi tu savais que c'était un homme parce que le 3 avril précisément il s'est déshabillé pour toi devant toi avec toi tu as vu son torse plat et tu l'as aimé. Tu aimais ne pas savoir tu aimais son mystère et tu aimais l'aventure mais tu aimais encore plus l'exclusivité, le secret dévoilé et ce que tu prenais pour de la confiance ; tu l'aimais.

Loïs voyait en toi. Il connaissait ta fragilité sous ta petite écorce frêle. Il jouait avec. Il te faisait pleurer et il disait qu'il aimait ça. Face à lui tu n'étais encore qu'un gamin propulsé trop vite dans l'engrenage infernal de la vie, englué dans votre relation comme une mouche dans une toile mais une mouche qui ne se débat pas. Tu priais pour que ton araignée vienne te dévorer chaque nuit et qu'elle ne s'arrête jamais.

Pourtant, il a bien fallu qu'elle s'arrête. Deux ans plus tard, il t'a dédoublé. Il t'a appris que la douleur et le sourire ne pouvaient jamais aller de pair. Grâce à lui, tu as compris que la douleur ne pouvait pas être cachée en dedans, elle devait juste partir, mourir. Loïs est l'être qui t'as fait le plus de mal, mais aussi celui qui t'as fait le plus de bien. Il t'as appris à vivre et à souffrir. Au final, peut-être qu'il t'a aimé un peu lui aussi. Tranchant comme une lame effilée il a scindé en deux l'essence de ton être, il a pris la douleur et il l'a mangée.

Tu ne saurais pas exactement décrire le processus. Ça s'est fait lentement, ça a pris deux années. Des révélations, des doutes et des chagrins. Des moments ou tu t'étouffais comme s'il t'avait arraché les poumons. Mais un jour tu a appris à travers les autres que tu n'étais plus toi. Vous semblez aller mieux, Mr. De La Forêt-Blanche. Tu semblais. Tout le temps, tu semblais. Tu n'étais plus que paraître, et bientôt ce paraître a pris le pas sur ton intérieur et tu ne savais même plus si tu faisais juste semblant d'être heureux ou si tu l'étais vraiment. A chaque rejet de Loïs, tu apprenais de mieux en mieux à dire Ce n'est pas grave, et même si ça sonnait comme une faute, une erreur, il n'y avait personne pour te dire que ce que tu faisais n'était pas bien, personne pour te sortir de cette relation et c'était bon.

Personne sauf Loïs.
Il t'a laissé.
Ça t'a fait mal.
Tu as essayé de tout enfouir... et puis tu t'es rappelé que tu ne pouvais pas.
Ton explosion de douleur, tes tremblements, ta respiration qui s'en allait et échappait à ton contrôle, tu t'en rappelleras toute ta vie. Le temps qu'il t'a fallu pour calmer cette crise là ne peut même pas être évalué. Tu étais ailleurs.

Et quand tu en es ressorti vivant, plus rien n'a pu te faire mal, pas après ça.

25 - 26

La brunette du jeudi soir était jolie. Sarah Smith. C'était une élève de l'Académie Volfoni, la seule qui avait répondu à l'annonce que tu avais passé dans le journal local pour proposer de l'aide en français, l'argent commençant à manquer maintenant que tes goûts de luxe s'étaient révélés. Elle avait commencé à apprendre cette langue à l'université seulement et peinait maintenant à se hisser au niveau de ses camarades. Toi qui aimais les cheveux blonds, tu reconnaissais que pour elle, tu voulais bien faire une exception à tes critères esthétiques. Tu la regardais travailler si vite et si bien, et bientôt le jeudi devint le petit plaisir de ta semaine ; le moment de retrouver un adorable bijou aux lèvres badigeonnées de gloss rose, un chignon artistique au sommet du crâne.

Le long fleuve tranquille de ta vie attendait patiemment que quelque chose bouge. Dans quelques semaines le vieux professeur de français de l'Académie Volfoni allait partir à la retraite et tu étais déjà sur le coup, tout était près pour ton transfert. Tu ne l'avais pas dit à Sarah, même si avec elle tu pouvait parler de tout et de rien, de musique et de cinéma, de chiots et de shampoings, une fois, tu t'en souviens.

Un jeudi soir comme un autre elle avait avancé sa bouche brillante sous ton nez en même temps que son décolleté rond et le haut de ses petits seins blancs ; donc tu l'avais embrassée après avoir remarqué le petit nœud de ruban noir sur son soutien-gorge.

Quelques minutes plus tard le soutien-gorge était par terre et vous dans le canapé et ce schéma se répéta exactement tous les jeudis soir. Elle marchait à quatre pattes vers toi la bouche en cœur et demandait j'ai bien travaillé, professeur ? avec son adorable accent. Elle parlait la langue que tu avais appris à aimer malgré toi, appris à transmettre à une bande d'ados surexcités sous le soleil de Floride.

Vous riiez comme deux idiots avec vos jeux de mains ; deux ados en retard qui se découvraient à l'envers et tu l'enlaçais en te disant que c'était comme ça que tout aurait dû commencer.

Mais tout ce qui commence finit ; et le jour où tu es entré pour la première fois dans l'amphithéâtre et où tu l'as vue assise là sur une rangée à côté d'un blond tu as levé les sourcils et soupiré légèrement.

Personne ne sort avec ses élèves, alors tu l'as quittée le lendemain.

Never trust a hug



It's just a way to hide your face...

#never trust a hug #doctor who #best show ever #despite all his flaws i truly love moffat #and i know i'm not the only one

Caractère


Tu apparais comme quelqu’un de très simple et à l’aise, où que tu sois. Un verre de vin rouge, un bon bain, des bougies parfumées, une lumière tamisée ou de la bonne nourriture et de la vieille musique et tu es content ; ça fait plaisir à tout le monde de connaître quelqu’un comme ça, un peu bizarre, marrant aussi, toujours rieur et partant pour passer du temps avec les autres. Tu apprécies tellement de choses dans le monde (surtout les choses chères) que tu sembles ne jamais t’ennuyer, à esquisser des formes au fusain sur ton calepin, à tresser des bracelets brésiliens en plein cours ou juste à te balader les mains dans les poches ou l’air heureux ; et surtout tu ne sembles jamais seul.

C’est faux. Tu es seul. C’est ta plus grande peur sortie des profondeurs de ton enfance ; la frayeur d’être abandonné reclus indésirable. C’est pour ça que tu es prof, au final, pour avoir toujours avec toi un groupe de jeunes à prendre sous ton aile, une sorte de famille qui t’oubliera dès l’année prochaine mais que pour un an voire deux tu vas pouvoir aider soutenir instruire. Tu prends bien trop à cœur ton rôle de prof parfois, surtout depuis que tu es passé du lycée à l’université. Tu as encore du mal à saisir qu’ils sont plus vieux, plus matures, et que tu dois les laisser se débrouiller seuls. Toujours à fourrer ton nez dans leurs affaires en espérant les aider, comme s’ils étaient tes gosses.

Ces gosses que tu n’auras probablement jamais puisque même si tu pourrais sortir avec n’importe qui les femmes te laissent un peu perplexe, un peu déstabilisé et trop différentes pour pouvoir partager quoi que ce soit d’intime avec elles.
De toute façon, tu ne partages rien d’intime avec personne. La plupart de tes nouveaux collègues t’apprécient parce que tu es jeune, intelligent, beau, motivé. La plupart de tes élèves t’apprécient parce que tu n’es pas du genre autoritaire ou castrateur.

Celui que les gens voient en toi, aiment en toi, c’est Sloan-qui-rit. Sloan-qui-pleure n’a pas refait surface depuis deux ans et tu aimes cette nouvelle paix ; tu t’es pris à ton propre jeu et maintenant tu adores être l’homme un peu excentrique, l’homme de bonne humeur, le français fier des clichés de son pays.

C’est peut-être même ta vraie personnalité maintenant parce que ça fait si longtemps oh si longtemps que tu as laissé derrière toi le jeune homme sale surdoué déprimé qui se réfugiait dans ses livres et ses cahiers pour ne jamais se rendre compte de combien il était seul.

Maintenant, tu le sais. Tu es seul.
Mais au moins tu réussis à être heureux.

Physique




#179 cm #67 kg #brun #yeux verts ou même mordorés #beaucoup de couleurs #des rayures horizontales #jaune citron #bleu azur #rose pastel #vert amande #des pantalons qui laissent voir les chevilles #des hauts qui laissent voir les clavicules ou une épaule #des RayBan #des bracelets en cordelette multicolore aux chevilles ou aux poignets #une peau parfaite #des mèches tordues bouclées #pas musclé #pas poilu au menton ni sur le torse et les chevilles #des Vans ou des Converse #une sacoche de PC

Précisions





#ed sheeran #i see fire #omg vraiment désolée pour les grésillements c'est atroce

Icarus




MY PUPPY’S SO CUTE I WANNA EAT IT *acts like a tennage girl*

#puppy #pomsky #cute #dog #god icarus i could really eat u up


Infos


XX Nom : De La Forêt-Blanche
XX Prénom : Sloan
XX Âge : 26 ans
XX Sexe : ♂
XX Nationalité : Français + Américain
XX Origines : Français
XX Orientation sexuelle : Bi
XX Statut : Professeur
XX Régime : DP
XX Spécialité : Français
XX Groupe souhaité : Professeurs

IRL


XX Pseudo : Adam.
XX Âge : 16 ans.
XX Comment as-tu atterri ici ? (ouais on se tutoie pour cette question) : On m'a montré ce forum à son ouverture, y'a deux ans, parce que je cherchais un forum sympa pour repartir sur de bonnes bases avec le RP. C'était la meilleure idée de ma vie de m'inscrire ici et d'entrer "Adam Wiest" dans le champ "Pseudo". Merci ♥️
XX C'était long de lire tous les sujets annexes ? : Non, c'était même plutôt agréable à relire.
XX Des trucs à changer ? : EL ADRITORE !
XX Code de validation : iciii kihihi ♪
XX C'est chiant les fiches, pas vrai ? : Non.

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Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
Âge du perso : 52 ans
Activité : Directeur
Spécialité : Participer aux conneries des élèves
Fonction : Directeur
Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre
Avatar : Louis Weasley - Harry Potter (mouaif)
Messages : 479
Date d'inscription : 10/02/2013
ᎷᏒ

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Grospiaf ._.
« Encore parmi nous ihi »

✓ Yfgvtfgcvcgv !


POUF TA VIE.




Je voulais me contenter de ça mais vu que tu veux visiblement un commentaire constructif je vais te constructiviser.

Bon, alors la forme de cette fiche est très jolie, très chiadée et agréable à parcourir (même si j'aime pas trop les scrolls) (uhu) (casse couilles). Et bien évidemment qu'il n'y a pas de problèmes avec ton lecteur, ce serait même possible de faire une fiche uniquement enregistrée, hein ._. C'est moins facile à valider, mais c'est tout. Bwref. Donc déjà y'a du positif de ce côté, et le fait que t'ais mis photos, textes, paroles, musiques et co, c'est vraiment cool. Pas la peine de le justifier cela dit (dans ton enregistrement je veux dire) (tu rends pas un devoir) (tu fais ce que tu veux) (naméoh), j'ai vraiment l'impression que... j'sais pas, on dirait que tu t'excuses de ce que tu fais mais y'a vraiment pas de quoi. D'abord c'est une très bonne idée et ensuite c'est bien fait. C'est sûr qu'un lecteur qui permette de se rendre directement à tel ou tel endroit aurait été plus pratique mais ça rentre dans le souci technique plus que dans le souci de fond.
Bah tiens on va parler du fond. Il y a quelque chose qui n'est pas cohérent, je trouve, c'est le fait que Sloan parte étudier aux USA à dix-huit ans. Les universités américaines sont chères (compte en moyenne 3000 euros l'année pour des universités publiques, donc ça paraît très très bizarre que Sloan se barre comme ça, alors qu'il doit pouvoir se loger, payer ses assurances et cie en plus de son université. Et oui et oui, les sous ça pose toujours des problèmes.
Ce serait donc pas mal de le vieillir un peu je pense, de quelques années où il aurait travaillé pour économiser uhu. Enfin, c'est toi qui vois. Comme ta fiche est bien et même très bien, je refuserai pas la validation pour ça, mais voilà, c'est le truc pas très logique.
Après, je ne suis personnellement pas franchement fan des enfants abandonnés et tout le bazar mais ça passe pas mal et c'est bien répercuté sur le caractère de Sloan et sur sa vie en général sans pour autant que ça devienne le centre de ses pensées c'est... bien fait. Trouvé-je. Donc voilà. Je ne sais pas trop quoi te dire sinon que j'ai vraiment aimé ton histoire, que j'ai écouté plusieurs fois tes précisions et que je me suis bien amusé sur ta fiche 0/*

C'est rare.

A la base j'aime pas les fiches.

C'est du masochisme de faire ce boulot.

Aha.

Je t'aime.


Sloan De La Forêt-Blanche
Monsieur❧ ℓ'Ꭿrchiduc
Sloan De La Forêt-Blanche
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Monsieur❧ ℓ'Ꭿrchiduc

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Ooow merci pour la constructivisation ♥️

Chiadée, par contre, je comprends pas.
Genre, vraiment pas. Vu le contexte, ça doit être positif, je suppose  Ô joie !
(Le scroll c'est parce que je sais pas coder et que je savais pas comment faire rester les Infos/IRL en haut tout en allongeant l'autre partie xD)

Pour la question de l'âge... Ouais, je savais que ça clochait un peu et tout. Mais après, déjà qu'il va sortir avec un p'tit jeune (OUI, exactement, même si je devrais pas le dire au directeur paske c'est contre la loi toussa toussa) j'avais pas trop envie de le vieillir, surtout que je me sens pas vraiment de jouer un vrai adulte, niveau maturité d'écriture, etc.
Donc, oui, ça coince quelque part, et j'en suis désolée. On va dire qu'il a gagné sur un jeu à gratter avant de quitter la France, voilà /PAN/ Non mais après c'est aussi vrai que si je commence à essayer de rendre tout extrêmement parfait je vais jamais pouvoir m'amuser IRP. De base je savais absolument rien sur les uni américaines, par exemple... ><

Quant à l'histoire de son enfance et de Loïs et de Sarah, je sais que je verse un peu dans le cliché, tout comme pour le fait qu'il porte le nom de l'aire d'autoroute où il a été trouvé... encore plus en sortant avec un de ses élèves, donc... Je me porte bien avec ces lieux communs, du moment qu'il y en a pas trop et que ça n'empêche pas ma validation ♥️

Merci d'avoir pris le temps de faire un petit pavé et merci de t'être amusé aussi :'D Chuis contente que ça ait pas été pénible keur

Je vous aime monsieur le dirlo EL ADRITORE !
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