XX Nom : Joseph Isvegenn XX Nom d'usage : Isvegenn XX Prénom : Karl XX Âge : Vingt ans XX Sexe : Utérus m'sieur. XX Nationalité : Double, Norvégienne et américaine XX Origines : Oslo en Norvège XX Orientation sexuelle : Fait l'amour à ses pinceaux mais lov les kikis
XX Statut : Universitaire XX Régime : Interne XX Poste spécial : Pas pour l'instant XX Camp : Volfoni sinon, Jordan va me manger ;w;
XX Cursus : Arts plastiques XX Spécialité : S’intéresse à absolument tout mais possède une préférence pour la peinture sur tout support. oui le chat de la concierge compte XX Groupe souhaité : CACA REVENANT D'OUTRE-TOMBE ! Artiste
XX Rang : Voir code hun. Or whatever, faite vous plaisir. Le zombie buté c'pas mal /PAN/
Code:
La Reine des Pigments
Divers & précisions
Acrylique séchée, fusain, chocofresh et trucs non identifiés se disputent ses poches XX Elle a presque fusionné avec son téléphone XX Elle prend toujours son dîné vers quatre heures et son en-cas sucré à partir de vingt-et-une heures, elle est loin d'avoir décrochée de ses habitudes de petite Norvégienne et ne le fera sans doute jamais XX Peut vous appeler à n'importe quelle heure XX N'utilise presque jamais la couleur noir en publique
• Histoire
Dans le petit coin du Minnesota:
Il est dix-huit heures passé, fin de journée. Les teintes rouge orangé du crépuscule se sont invitées et elles baignent maintenant la ville dans un contraste qui fait baisser les yeux. Dans ta rue, des gamins rentrent chez eux en traînant la patte. Ils veulent continuer à jouer entre eux, cela se sent aux grimaces qu'ils s'échangent. De haut de ton balcon tu observes ce spectacle, tapotant la rambarde, sans vraiment y faire attention, de ton pinceau.
Tu te sens nostalgique. Tu revois dans ces enfants l'images de ce que tu étais il n'y a pas si longtemps, une gamine qui embêtait son frère, câlinait ses parents et boudait pour un rien. Enfin, y a des choses qui non pas tellement changé. Tu fermes les yeux et caresse le bout de ton nez par les poils de ton pinceau. Quelques images de ta Norvège te reviennes en tête et tu laisses tes souvenirs t'envahir.
Des paysages sauvages aux montagnes neigeuse et aux forêts abondantes. La mer, des rivières et des ports bondés de rafiots mélangeant modernités et vieilles carcasses. Et ta ville, celle qui est à tes yeux la plus belle capitale au monde, Oslo. C'est parmi ses différents quartiers que tu as grandie, explorant les belles rues de l'ouest, l'Oslo médiéval et sa parties préférées, le vieux quartier ouvrier d'Oslo. Ta ville étais riche de diversités et c'est ce qui te plaisait.
Gamine, tes parents -Yulian Isvegenn et Hailey Joseph Isvegenn de leur nom- étaient un jeune couple unis, bienveillant envers ton frère et toi. Vous suiviez votre petite vie tranquillement, ponctué des multiples bêtises du duo que tu formais avec ton jumeau, des lubies toujours plus rocambolesques de votre mère et des soupires désespérés de votre père. Mais vous étiez bien comme çà, tout les quatre.
En grandissant, ton frère comme toi avez développés une faculté qui vous serait d'un grand recourt plus tard, celle d'être bilingue. Elle n'est pas sortie de nul part cette capacité, c'est ta mère qui depuis ta naissance te parlait régulièrement anglais. Tu rigoles doucement en te souvenant qu'a cette époque, tu ne comprenais pas pourquoi les parents des autres enfants ne parlaient que Norvégien. Il t'en auras fallu du temps pour assimiler que la raison provenait du métier mais aussi des origines de ta mère. Enseignante d'Anglais langue étrangère de sa profession, ta mère était originaire d'une petite ville du Minnesota. Autant dire que les regroupements familiale n'étaient pas qu'une partie de plaisir. Le choc des cultures était assez évident et la communication entre les familles chaotique. Mais les petits mômes que vous étiez avec ton frère le valiez bien.
Puis les années passant, quelque chose en toi c'est accrue et continue encore aujourd'hui, une des rares choses que tu ne partageais pas avec ton frère, une passion innommable pour les arts. Gamine jamais tu n'aurais pensé que les gribouillis dessinés ça et là prendraient une place si importante en toi. Passer une journée sans l'ombre d'un croquis devenait impossible pour toi, ce qui faisait doucement sourire ta mère. Mais ton père lui n'était pas si enthousiaste.
Pour lui les études primaient avant tout. Il visait haut, très haut pour ton frère comme pour toi, répétant sans cesse qu'il était hors de question que ses enfants galère dans la vie, vous foutant une pression de plus en plus importante et tu perdais sourire à apporter un bon carnet à ton géniteur. Vous n'aviez pas mot à dire sur votre future et doucement, au fond de toi de sombres sentiments grandissaient comme le ton entre tes parents qui ne voyaient plus votre éducation de la même manière.
Et puis il y eut ce fameux jour. Maintenant que t'y repensais, et Dieu seul savait à quel point tu avais ressassé tout ça, t'avais sérieusement déconné à ce moment là. La veille d'un contrôle t'avais pas plus révisé que ça, impatiente de pouvoir finir le portrait au fusain que tu avais débuté. Résultat des courses tu avais obtenu une note passablement dans la moyenne et la réaction ne c'était pas faite attendre. Les éclats de voix avaient facilement grimpés les échelons entre tes parents tandis que tu te mordais les lèvres pour ne pas en rajouter, ton frère à tes côté. Et tu ne sais plus précisément comment vous en êtes arrivés là, mais ton père eut un geste qui t'ébranla plus que tu ne le laisserai jamais entendre. Mue par la rage, ton père réduisit à l'état de rien tout tes rêves mit sur papier.
C'était pas un événement spécialement grave, mais toi ça ta marqué. Tu n'as pas plus suivis ce qui c'était passé ce soir là, tu t'étais simplement contentée de rester accrochée à ton jumeau. Mais ce que tu remarqua c'est l'ambiance qui changea radicalement. Fini la famille soudée. Et lorsque ton frère en rajouta une couche, ce fut la fin pour de bon.
Le divorce changea beaucoup de chose. T'étais complètement désorientée, ton frère décidant de rester au près de votre père la première année d'aidant pas. Tu as du t'adapter à un style de vie qui t'était étranger au sein d'un pays que tu ne connaissais que par ta famille maternelle. Supporter des mois séparé de ton jumeau avec pour seul moyen de liaison ton téléphone portable. Et enfin vire sans ton père. Bien que ta colère contre ce vieux buté restait intacte, il restait ton père.
La première année fut en bref la pire pour toi mais la vie reprit son cours. Tu passas tes années de lycée comme tu l'entendis, ne décrochant toujours pas de ton téléphone quand bien même ton jumeau était revenue à tes côtés. Et bientôt l'heure de passé à l'étape supérieure arriva. Pour toi il n'était pas envisageable de te séparer à nouveau de ta moitié, mais certainement pas au détriment de ta passion. Dans les environs un endroit vous sembla approprié pour conciliez vos envies, Volfoni.
Vendredi 13 décembre 2013
Toc, toc, toc fait le bruit de tes ongles contre ton téléphone. Celui-ci est inerte, aussi vide de vie que vide de la réponse que tu attends. Ton frère est pourtant quelqu'un de rapide pour ça, surtout lorsqu'il s'agit de toi, mais les dernières minutes qui viennent de passer ne sont remplies que de messages sans que ni tête, faisant juste office de spam sur le portable de ta moitié.
Toc, toc, toc fait le son de ton pied contre le mur. Ce dernier s'est vu offrir une seconde jeunesse sous tes bons soins, abandonnant son manteau de plâtre essoufflé pour une parure bien plus chatoyante. Sous tes yeux, les couleurs ne sont que valses entraînantes, se mouvant les unes avec les autres pour finalement s'unir çà et là lorsque deux âmes sœurs se sont finalement rencontrées. Leur joie de se retrouver ne peut se louper, elle rayonne dans tout l'appartement et sur toi-même en millions de petites tâches de couleurs, d'effusions de joie. Tu ne contiens pas ton sourire et l'euphorie post-transe transforme ton corps en lieu d'affrontement entre Muspellsheimr et Nilfheirm. Cette sensation tu veux la partager avec ton frère, mais le silence te barre le chemin encore une fois. Tu n'es pas bête, bien qu'étrange, tu sais ce que cela signifie. Lui aussi est en train de se faire dévorer par sa passion à jouer l'apprentie Ghostbuster.
Toc, toc, toc, fait la porte de votre appartement. Mais elle peut bien couiner autant qu'elle veut ça ne t'intéresse pas. Étrangement, ce genre d'instant d'inspiration dévorante te rend particulièrement égoïste. Ils sont tiens et tu ne les partages qu'avec très peu de personnes, poussant le vice jusqu'à considérer ton sport de chambre comme moins intime que ces moments-là.
Ton portable sonne et c'est un numéro inconnu qu'il te présente. Sans intérêt, vraiment sans intérêt.
Samedi 14 décembre 2013
C'est chaud. Sa laisse croire à un léger picotement pour révéler bien vite une brûlure ardente, se délectant de son tracé immonde au sein d'un corps froid.
Froid comme la mort.
Et tu ne sais pas pourquoi la bile refuse de sortir alors que tu la sens clairement te taquiner la gorge.
Pour la première fois de ta vie, le blanc te fait horreur. Tout est trop blanc. Les murs, les jointures de tes mains, les tenus réglementaires, les sièges, le visage de ta mère, même les sourires des médecins te semble blanc. Froid. Mort. Tu aimerais tellement remplir cet espace, ne serait-ce qu'un peu, une simple touche de couleur pour te prouver que tout va bien. Mais le blanc hôpital t'impressionne.
Tu détestes cette couleur. Elle te nargue par sa perfection, partout et tu as l'impression qu'elle te compresse à l'étouffement.
La bile se fait désirer, mais les larmes elles, ne tarissent pas. Ta mère enveloppe tes mains des siennes, camoufle les jointures, voile le blanc. Elle ne saura jamais à quel point tu lui es reconnaissante pour ce simple geste. Pendant un instant, elle t'arrache à la triste vérité. Mais celle-ci est d'une jalousie maladive et elle te revient bien vite au visage. Tout ici, te rappelle la vérité.
Mais tu refuses d'y croire et chamboule tes pensées comme tu mélangerais ta peinture pour recouvrir le blanc support.
Tu ne peux pas y croire. Tu refuses, tu rejettes, tu te mors la lèvre au sang pour refouler la vérité si vilaine.
Une goutte de sang perle de ton menton et c'est un éclat carmin qui t'arrache à ta folie.
« ... d'ici là, nous ne pouvons établir un bilan complet au niveau cérébral. C'est... Ce type de coma... Progressivement, conduit le plus souvent à l'état végétatif du patient. »
Dimanche 15 décembre 2013
Vous êtes passé à l'appartement pour récupérer quelques affaires avant de partir. Un regard vous avait suffi pour comprendre que les prochains jours ne se passeraient pas l'une sans l'autre et un silence religieux vous gouverne depuis.
Ça fait un moment qu'elle est partie t'attendre dans la voiture, bien plus rapide que toi. Mais ce n'est pas ta faute, non. C'est cet endroit, ce mur coloré. Tu es comme un légume face à lui. Putain de légume.
Les couleurs te piquent les yeux. Elles se font l'assassin du peu de calme que tu avais récupéré et la créatrice de ta culpabilité. Où étais-tu lorsque ton frère avait besoin de toi ? Qui traçait cette courbe pendant que la peur le prenait au ventre ? Qui éclaboussait son côté du canapé, le sourire te déchirant le visage, alors que son propre sang lui entravait le souffle de vie ? Sœur misérable. Amie répugnante. Le mur qui te fait face semble se refermer sur toi comme un cercueil et ça te fait horreur.
Tu détestes l'idée même de la mort.
Avec rage, tu renverses matériel, décoration et peinture en cherchant l'objet qui se fait obsession dans ton cœur blessé. Tes mains trembles, tu te reprends à plusieurs fois pour effectuer de simples gestes, mais tu trouves finalement ton exutoire. Tu arraches le couvercle de ton acrylique noire, te casse un ongle qui pleure vermeille et y plonge les mains.
Tu vomis ta tristesse sur ce mur, tu pleures ta rage et cognes ta frustration en des tâches sombres. Partout. Tu fais le meurtre de l'un de tes enfants par désespoir, tu camoufles ton erreur sous tes sombres sentiments. Le pot de peinture vole et recouvre entièrement de ténèbres le cadavre de ta culpabilité.
La mort veut t'enlever ton âme jumelle, la mort prend les êtres aimés. La mort te fait peur.
• Caractère
La gaieté lui colle à la peau XX Championne de sociabilité XX Elle est un peu Gaston Lagaffe sur les bords et ça l'amuse XX Cache sa maturité sous ses aires d'enfant paumé XX D'une grande patience, elle se met rarement en colère XX Ne fait que ce qu'il lui plaît XX Elle prend la vie comme elle vient XX C'est une chieuse qui s'assume et il lui arrive de bouder comme un môme XX Elle ne possède aucun instinct de survie et voie le bien en chacun XX Complètement naïve XX Elle possède sa propre vision du monde et son esprit est aussi ouvert que le ciel est vaste XX Il lui arrive de répondre à côté de la plaque quand elle se perd dans ses pensées XX Victime d'insomnie XX Flippe facilement quand il est question de la santé des autres XX Elle n'est pas sportive pour trois sous XX Elle n'a aucun tact
• Physique
Ses canines sont plus pointues que la normal XX Elle possède un grain de beauté sur le côté supérieur gauche de ses lèvres que l'on confond régulièrement avec une tâche de nutella XX Sa peau est d'un ivoire tâché d'éphélide, un peu comme ses yeux vert par des éclats d'ors XX Ses cils sont long est détourne l'attention de ses sourcils inégaux XX Elle possède un foutoir d'ébène sur le crâne qui est sujet à de nombreuses expérimentations XX Pas bien grande XX Son corps est pulpeux, paraît que c'est mignon XX Elle a des ongles d'enfant XX Elle trouve toujours le moyen d'accorder des fringues qui non à priori rien à voir ensemble XX Elle est plus souvent peinturlurée que maquillée
• Derrière le tas de pixels
XX Pseudo : machin XX Âge : dog. J'ai rattrapé l'âge de Karl, misère. XX Comment as-tu atterri ici ? (ouais on se tutoie pour cette question) : à pied joint dès que mes exam ont rendu les armes. XX C'était long de lire tous les sujets annexes ? : nop m'sieur, un plaisir. XX Des trucs à changer ? : IL EST OU LE BUFFET D'ACCUEIL ? D8 seriously pour le code de validation ? 8'D XX Code de validation : XX C'est chiant les fiches, pas vrai ? : genre, trop pas.
Genre c'est la même Karl que dans la première version ou rien à voir '-' ? Bienvenue en tout cas !
Invité Invité
Sam 18 Avr - 1:23
hunhunhun
Wouep les jeunes c'est bien moi ! Et pour un retour .... définitif. non c'pas des blagues. AZY PQ VOUS VOUS MOQUEZ ahem.
Merci KKsey /o/
J'vais certainement prendre l'ancienne fiche de Karl et modifier un peu l'bordel histoire de remettre ça au goût du jour (et de tout ce qu'il s'est passé aussi gnuf.)
Des bisous sur vos fesses, j'espère que vous avez été sage
Invité Invité
Sam 18 Avr - 14:11
Oh mais c'est magnifique ça ! Content de te revoir
Invité Invité
Dim 19 Avr - 23:20
Re-bienvenue parmi nous Karlita ♥ (mon ex-coloooc en plus avant que je disparaisse et toi aussi du coup !!!) Contente de te revoir également !
Invité Invité
Lun 20 Avr - 0:23
Merci beaucoup Kasey et Rebby ♥
(DAMN REBBY TOI AUSSI TES REVENUE ? ON DOIT AVOIR DES PROBLÈMES DE DÉPENDANCE SÉVÈRE)
Well, fiche complète ♥
Invité Invité
Lun 20 Avr - 17:17
J'me rends compte que Kasey ne te parle pas forcément, j'étais Elyas avant de partir et de revenir moi aussi
Jushirô Himeruya ᎷᏒ
Âge du perso : 52 ans Activité : Directeur Spécialité : Participer aux conneries des élèves Fonction : Directeur Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre Avatar : Louis Weasley - Harry Potter (mouaif)Messages : 479 Date d'inscription : 10/02/2013
D'ailleurs à ce sujet et avant tout, on en a discuté InZeStaff et la prochaine fois on n'acceptera que tu te réinscrives avec Karl si tu la gardes telle quelle (donc tu peux bien évidemment la modifier). Tu es déjà partie deux fois sans jamais beaucoup RP avec elle et en reprenant à chaque fois la même histoire donc on aimerait que tu refasses une fiche si d'aventure tu disparaissais à nouveau Pas pour t'embêter hein, juste pour que tu partes avec un perso "propre" au lieu de reprendre toujours le même. Voilà voilà. Mais tu ne disparaîtras pas cette fois, n'est-ce pas ?
Alors déjà c'est vraiment sympa que tu ais rajouté de l'histoire, gnihihihi. Bon, c'est tragique et tout ça mais je suppose que le projet c'était de se débarrasser du jumeau un peu encombrant alors parfait. Fais attention quand même, tu fais des fautes d'accords et c'est un peu dommage parce qu'on voit que tu fais des efforts sur tes phrases, à part ça, rien à signaler. C'est triste mais pas pleurnichard, ça permet aussi de voir une facette de Karl que l'on ne voit pas en RP... et c'est aussi un petit problème je trouve, c'est à dire que ton histoire n'est pas vraiment assortie au perso, du moins ne reflète pas vraiment la manière dont elle est jouée, mais c'est parce que je suis tatillon, ça va très bien, ne t'en fais pas. Par contre, tu te concentres vraiment là dessus et du coup c'est très flou en ce qui concerne Volfoni (c'est vraiment ce qui m'embête en fait). L'école a changé de site, mais tu ne dis pas comment ça s'est fait, comment ça s'est passé pour Karl... ce sont des choses qu'il aurait été bon de préciser dans ta fiche, je compte sur toi pour en parler en rp
Allez zouh ! T'es validée quand même mais réfléchis bien à Karloute quand même, histoire que tu ne t'ennuies pas avec elle à force de la récupérer/abandonner/rerécupérer .3.