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feat. Mai'
19 ans • Célibataire • Guitare&Chant • Bisex' • Solitaire
.Mon histoire
Toute histoire commence dans une ville, un lieu, une époque. Toute histoire, comme toute vie. Et pour l’Écossaise, son histoire commence par la migration de ses grands-parents dans le Minnesota, bien sûr, il n'avait pas l'argent pour monter leur affaire, mais l'homme de la famille entra dans une boucherie, assez bien payer, pour avoir une vie comme ils voulaient donner à leurs enfants. On parle ici d'un début heureux, d'un renouveau. Dans un début d’après-guerre, d'une société en plein rebond, tout allait bien pour la famille Lynch. Les grands-parents firent une famille qu'ils éduquèrent dans le respect, l'amour et la tendresse. Tout allait bien pour cette famille, plus le temps avançait, plus le grand-père se donnait à fond dans son lieu de travail, il en devint même propriétaire. Et puis, ce fut le père de Maiwenn qui en fut le propriétaire. Tout paraissait normal, pour cette famille qui gagner bien la vie. Même, elle paraissait heureuse, Maiwenn était née, une belle petite fille aux yeux sombres qui dés un sourire, les rendait heureux. Maiwenn fut leur trésor. Le genre de petite boule d'énergie qui rend heureux dés un sourire. L’Écossaise se développa dans une sorte de cocon d'amour et de tendresse, qui la rendait forte. Arrivée à l'âge de quinze ans, Maiwenn était une superbe femme à la chevelure brune, et aux yeux sombres, elle marquait les gens, vraiment. De par son regard, et aussi par sa maîtrise de la guitare, car fille unique, on céda souvent à ses caprices, apprendre la musique fut son premier, la guitare, son deuxième. Sa mère s'était battue pour qu'elle ait le meilleur des professeurs, car malgré qu'ils gagnaient bien leur vie, parfois, ils faisaient trop de dépenses qu'ils ne pouvaient se le permettre. Trêve de détails, revenons à ce jour de ses quinze ans. Ce jour-là, elle attendait son père, ils devaient aller tous deux au cinéma, voir un film d'horreur, ses préférés, mais on en a voulu autrement. Assise sur le comptoir, elle regardait les gens passaient par la baie vitrée, puis sans se rendre compte, elle vit son père debout, assez soûl. Surprise, son père lui déclara que la boucherie allait fermée, qu'ils n'allaient pas pouvoir l'envoyer où elle voudrait à l'école, et que surtout, fini la guitare. Pour Maiwenn, c'était la fin de son monde, la fin de ce que lui permettait d'être comme ses amies. Ce soir-là, il n'eu pas de cinéma avec son père, elle y était allée seule, erreur qu'elle n'aurait du jamais faire. Après la séance, alors qu'elle rentrait chez elle, on la coinça dans une ruelle, et vous imaginez bien la suite. Elle n'avait pas vu leur visage, mais leur démarche, oui. Une façon de marcher comme tous ses rejetons de la société, comme ses racailles. Après la fermeture de la boucherie, au niveau économique pour eux, ce fut une galère énorme, à tel point qu'ils durent presque tout vendre pouvoir rembourser leurs dettes, ainsi que les factures. Et surtout, elle n'avait rien dit à sa famille, de son viol. Elle vit avec cette blessure ouverte. Maiwenn, elle, ne voulait pas subir le même sort de ses parents, et surtout, intégrée cette école dont on lui parlait souvent : l'Academi Volfoni. Au début, elle aurait aimé aller en Écosse, son pays d'origine, mais tout l'argent accumulé pendant ses jobs de vacances ne le lui permettaient pas, alors, son choix dut se limiter avec cette académie. À dix-neuf, elle entra à l'académie, en coupant les ponts avec sa famille, comme pour un nouveau départ. Surtout en vivant dans ce quartier pour les plus démunis, et où être une fille n'était pas une chose facile.
.Mon caractère
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