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 Et la môme retrouva son chemin [Terminer eh]

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La connerie, c'est la décontraction de l'intelligence || Serge Gainsbourg

Original de Kana © ZeroChan
Bombay Bicycle Club - How Can You Swallow So Much Sleep | Syd Matters - I Might Float | Fiona Apple - Every Single Night

NOM : Joseph Isvegenn
PRÉNOM : Karl
ÂGE : Va sur ses dix-neuf ans
ORIGINES : Norvégienne
SEXE : C'est bien une femme
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle

STATUT : Universitaire
RÉGIME :  Interne
POSTE SPÉCIAL : Je suis toujours dans le groupe des "Tuteurs" apparemment !

CURSUS : Etude Artistique
SPÉCIALITÉ :Artiste des arts plastiques classiques - Tout type de peinture, dessine ses base au crayon, au fusain et au stylo encre, bodies painting, touche à tout.
GROUPE SOUHAITÉ : Artiste

RANG : Eh "La Reine des pigments" était habilement trouvé si je me souviens bien é

PRÉCISIONS :

- Pour cette môme, la peau est la plus belle des toiles à colorer.
- Elle jongle de coupe de cheveux comme de chemise.
- Plus gaga de son frère jumeau qu'elle, y'a pas.
- Un feutre traîne toujours sur elle au cas où.
- Elle ne se sépare jamais de son téléphone.
- Elle prend toujours son dîné vers quatre heures et son en-cas sucré à partir de vingt-et-une heures, elle est loin d'avoir décrochée de ses habitudes de petite Norvégienne.

ADRESSE A LAQUELLE ENVOYER VOTRE DOSSIER : Emilou !

➤ Physique

▷ Tu ouvres la bouche et tire la langue au miroir qui te fait face. Tu étires tes lèvres d'un rosé légèrement foncé, laissant deux rangées de dents blanches s'entrechoquer. Tu frottes une de tes canines, celle qui est plus pointue, du plus musclé de tes membres et dans un rire tu enchaînes les grimaces.

Tes mains glissent sur ton visage. Elles masquent momentanément ton éphélide légère et recouvrent ton regard. Étrange mélange de vert illuminé d'or lorsque le soleil s'y amuse, de long cils noirs accompagnent les orbes tandis que deux courbes sombres surmontent le tout. Manque de chance, tu t'es ratée une unique fois en redessinant ces dernières et depuis, tu as un sourcils plus court que l'autre mais tu t'en formalise pas vraiment.

Une mèche de cheveux te tombe devant les yeux et tu l'écartes derechef d'un mouvement ample. Tu souffles, pas encore décidée sur la façon dont tu vas arranger ta tignasse aujourd'hui. Tu ne sais jamais d'ailleurs, c'est pourquoi tu en changes souvent. Pour l'instant tes cheveux sont bouclés et te chatouilles nonchalamment les épaules. Mais demain comme dans deux semaine, ils pourraient être totalement raides, extrêmement court ou même devenir subitement long, on dit merci les rajouts. T'aimes bien faire deux trois mèches de couleurs parfois mais ta crinière ébène elle, ne te quitte jamais.

Dodelinant de la tête, tu recules histoire d'avoir une vue d'ensemble sur ce corps que mère nature t'as refourgué face au miroir. Absente tu passes tes doigts sur ta peau d'ivoire, héritage de tes origines et fronces du nez lorsque tu rencontres des zones au touché rêches. Ton corps n'est pas exceptionnel. Tu as des formes, t'es bien en chair sans être dans l'excès car ton état constant d’excitée te permet le maintient d'une certaine ligne. Après tout, tu as plus souvent le nez dans tes peintures que sur un terrain de sport.

Tandis que tu traces le contour d'un grain de beauté, tu atteins la bretelle de ton soutien-gorge dont le bonnet est tout à fait acceptable et tu soupires encore. Tu ne sais pas quoi mettre. Pourtant, tu possèdes un sacré foutoir dans ton armoire. Tu as de tout et tu trouves toujours le moyen d'accorder des choses qui non rien à voir ensemble, mais de manière général tu boudes les survêtements.

Tu passes d'un pied à l'autre et tes pupilles jonglent entre les différentes étagères pour finalement se poser sur ta coiffeuse. Après il faudra que tu te maquilles, ou peut être pas, tu ne t'es pas encore décidée. Mais une chose était sur, tu allais encore être en retard.


➤ Caractère

▷ Un pot à pinceau.
C'est comme ça que tu te définirais si on te posai un jours la question. Avec son pêle-mele de tâches vives séchées que l'on découvre suivant l'angle et le vernis recouvrant du récipient, cet objet est parfaitement à ton image toi et tes humeurs qui recouvrent tes craintes.

T'es une espèce d'explosion de couleur et t'aimes ça. Tu ris de tout, tu ris constamment. Principalement de tes bêtises mais tu ne te gênes jamais pour embarquer les autres avec toi. T'es toujours de bonne humeur, donc te voir rentrer dans une colère noire c'est plutôt rare. Et puis mine de rien tu sais te montrer mature quand il le faut, et puis il y a surtout très peu matière à te foutre en rogne. Tu ne fais jamais que ce qu'il te plaît et lorsque tu dis non, c'est non, que la personne en face de toi te sois supérieure hiérarchiquement ou non. On dit merci papa de t'avoir trop longtemps écrasé sous le poids de ses envies pour que tu te démènes pour faire respecter les tiennes à présent.

La vie ça va ça vient, tu la prends comme elle est et tu considères que si quelque chose se produit, c'est que cela devait arriver.

T'aimes bouder aussi. C'est plus de ton âge, tu le sais mais tu t'en fous. De temps en temps ça fait pas de mal et puis c'est un excellent moyen de casser les pieds aux autres. T'es une chieuse au caractère affirmé. Une grande enfant qui porte sur le monde un regard trop coloré.
T'as beau être une grande fille consciente de ce qui l'entoure, tu arrives encore à penser que personne n'est foncièrement mauvais parce qu'on a tous notre propre façon de s'exprimer, de se battre avec la vie. Une naïveté, une confiance en autrui qui te porte préjudice en général.

C'est pour ça que pour beaucoup, t'es quelqu'un de plutôt à part. Pour ne pas dire que t'as un grain. Oui t'as pas la lumière à tout les étages, t'as vision de ce qui t'entoure n'a pas de limite, ton esprit et aussi ouvert que le ciel est vaste. Ça te vaut des moments d'absence, où tu pars sur des monologues intérieures interminable sur un papillon qui vole du côté droit de la route. Les gens t'écoutes parce que pour une question basique t'es capable de sortir un beau ramassis de conneries, mais ce qu'ils ne savent pas c'est que tu dis ça tout à fait sérieusement.

Mais quoi qu'il arrive, tu prends tout avec un sourire malicieux et une blague totalement décalée. Enfin. T'as beau dire, il arrive des jours où ton jolie minois perd de cette étincelle qui te caractérise. Adieu pétard ambulant et bonjour le mur froid. Un proche qui t'inquiète, la batterie de ton portable qui lâche, ta réserve de nicotine à sec ou, la pire des situations, la panne d'inspiration, ce genre de choses te donnent grise mine et te rende de mauvais poils.
T'es triste, maussade. Et tu fais clairement comprendre aux autres que tu veux la paix.

Mais y'a une dernière équation dans ta vie. Celle qui en prend une majeur partie. C'est ton frère jumeau. Ton petit frère. Ta moitié à toi. T'en es folle, complètement accro. C'est pas ta muse mais il en est pas loin. Il fait la pluie et le beau temps dans tes humeurs. T'es pas quelqu'un de violant en soi, une gamine tactile et battante certainement, mais pas une personne qui balancerai ses points à tout va, mais ça uniquement si on touche pas à ton frère.



Histoire

▷ Il est dix-huit heures passé, fin de journée. Les teintes rouge orangé du crépuscule se sont invitées et elles baignent maintenant la ville dans un contraste qui fait baisser les yeux. Dans ta rue, des gamins rentrent chez eux en traînant la patte. Ils veulent continuer à jouer entre eux, cela se sent aux grimaces qu'ils s'échangent. De haut de ton balcon tu observes ce spectacle, tapotant la rambarde, sans vraiment y faire attention, de ton pinceau.

Tu te sens nostalgique. Tu revois dans ces enfants l'images de ce que tu étais il n'y a pas si longtemps, une gamine qui embêtait son frère, câlinait ses parents et boudait pour un rien. Enfin, y a des choses qui non pas tellement changé. Tu fermes les yeux et caresse le bout de ton nez par les poils de ton pinceau. Quelques images de ta Norvège te reviennes en tête et tu laisses tes souvenirs t'envahir.

Des paysages sauvages aux montagnes neigeuse et aux forêts abondantes. La mer, des rivières et des ports bondés de rafiots mélangeant modernités et vieilles carcasses. Et ta ville, celle qui est à tes yeux la plus belle capitale au monde, Oslo. C'est parmi ses différents quartiers que tu as grandie, explorant les belles rues de l'ouest, l'Oslo médiéval et sa parties préférées, le vieux quartier ouvrier d'Oslo. Ta ville étais riche de diversités et c'est ce qui te plaisait.

Gamine, tes parents -Yulian Isvegenn et Hailey Joseph Isvegenn de leur nom- étaient un jeune couple unis, bienveillant envers ton frère et toi. Vous suiviez votre petite vie tranquillement, ponctué des multiples bêtises du duo que tu formais avec ton jumeau, des lubies toujours plus rocambolesques de votre mère et des soupires désespérés de votre père. Mais vous étiez bien comme çà, tout les quatre.

En grandissant, ton frère comme toi avez développés une faculté qui vous serait d'un grand recourt plus tard, celle d'être bilingue. Elle n'est pas sortie de nul part cette capacité, c'est ta mère qui depuis ta naissance te parlait régulièrement anglais. Tu rigoles doucement en te souvenant qu'a cette époque, tu ne comprenais pas pourquoi les parents des autres enfants ne parlaient que Norvégien. Il t'en auras fallu du temps pour assimiler que la raison provenait du métier mais aussi des origines de ta mère.
Enseignante d'Anglais langue étrangère de sa profession, ta mère était originaire d'une petite ville du Minnesota. Autant dire que les regroupements familiale n'étaient pas qu'une partie de plaisir. Le choc des cultures était assez évident et la communication entre les familles chaotique. Mais les petits mômes que vous étiez avec ton frère le valiez bien.

Puis les années passant, quelque chose en toi c'est accrue et continue encore aujourd'hui, une des rares choses que tu ne partageais pas avec ton frère, une passion innommable pour les arts. Gamine jamais tu n'aurais pensé que les gribouillis dessinés ça et là prendraient une place si importante en toi. Passer une journée sans l'ombre d'un croquis devenait impossible pour toi, ce qui faisait doucement sourire ta mère. Mais ton père lui n'était pas si enthousiaste.

Pour lui les études primaient avant tout. Il visait haut, très haut pour ton frère comme pour toi, répétant sans cesse qu'il était hors de question que ses enfants galère dans la vie, vous foutant une pression de plus en plus importante et tu perdais sourire à apporter un bon carnet à ton géniteur. Vous n'aviez pas mot à dire sur votre future et doucement, au fond de toi de sombres sentiments grandissaient comme le ton entre tes parents qui ne voyaient plus votre éducation de la même manière.

Et puis il y eut ce fameux jour. Maintenant que t'y repensais, et Dieu seul savait à quel point tu avais ressassé tout ça, t'avais sérieusement déconné à ce moment là. La veille d'un contrôle t'avais pas plus révisé que ça, impatiente de pouvoir finir le portrait au fusain que tu avais débuté. Résultat des courses tu avais obtenu une note passablement dans la moyenne et la réaction ne c'était pas faite attendre. Les éclats de voix avaient facilement grimpés les échelons entre tes parents tandis que tu te mordais les lèvres pour ne pas en rajouter, ton frère à tes côté. Et tu ne sais plus précisément comment vous en êtes arrivés là, mais ton père eut un geste qui t'ébranla plus que tu ne le laisserai jamais entendre. Mue par la rage, ton père réduisit à l'état de rien tout tes rêves mit sur papier.

C'était pas un événement spécialement grave, mais toi ça ta marqué. Tu n'as pas plus suivis ce qui c'était passé ce soir là, tu t'étais simplement contentée de rester accrochée à ton jumeau. Mais ce que tu remarqua c'est l'ambiance qui changea radicalement. Fini la famille soudée. Et lorsque ton frère en rajouta une couche, ce fut la fin pour de bon.

Le divorce changea beaucoup de chose. T'étais complètement désorientée, ton frère décidant de rester au près de votre père la première année d'aidant pas. Tu as du t'adapter à un style de vie qui t'était étranger au sein d'un pays que tu ne connaissais que par ta famille maternelle. Supporter des mois séparé de ton jumeau avec pour seul moyen de liaison ton téléphone portable. Et enfin vire sans ton père. Bien que ta colère contre ce vieux buté restait intacte, il restait ton père.

La première année fut en bref la pire pour toi mais la vie reprit son cours. Tu passas tes années de lycée comme tu l'entendis, ne décrochant toujours pas de ton téléphone quand bien même ton jumeau était revenue à tes côtés. Et bientôt l'heure de passé à l'étape supérieure arriva. Pour toi il n'était pas envisageable de te séparer à nouveau de ta moitié, mais certainement pas au détriment de ta passion. Dans les environs un endroit vous sembla approprié pour conciliez vos envies, Volfoni.



☱ De l'autre côté de l'écran

Un petit mot sur vous ? Bonjour/Bonsoir monsieur, j'ai un grain mais je le vie bien ~
Comment êtes-vous arrivé jusqu'à nous ? Par la voix de la conscience /o/
Pourquoi avez-vous décidé de vous inscrire ? Parce que ce forum est génial, les membres fantastiques et que je devais revenir ;w;
Qu'est ce qui, selon vous, mériterait d'être modifié ? Ahem, le fantôme en haut à droite, il me fait peur..
Présence x/7 ? 5/7 en moyenne
Autre chose ? Je suis de retour bande de sales gosses en jupette 8D

Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
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Activité : Directeur
Spécialité : Participer aux conneries des élèves
Fonction : Directeur
Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre
Avatar : Louis Weasley - Harry Potter (mouaif)
Messages : 479
Date d'inscription : 10/02/2013
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Alors TOI !

On pensait que tu nous avais abandonnés, qu'on était pas assez bien pour toi, qu'on puait ou qu'on était trop poilus, je sais pas... Mais en fait, non ! Et en plus t'osais pas revenir ! C'est du joli ça, genre on est méchants, genre on allait t'insulter et te lancer des noix de coco... Non mais je rêve. J'imagine que c'est pas la peine que je commente ta fiche une nouvelle fois, tu sais ce qu'on en a dit, c'est dans les archives, et de toutes façons on s'est attachés à ton personnage et... et... voilà. C'est un commentaire inutile, mais nécessaire me semble, pour que tout le monde sache qu'on FAIT PEUR même aux anciens membres. Preuve en est qu'ils osent pas revenir. Mais ils reviennent quand même finalement, et j'en suis très heureux.
Bon retour parmi nous ma jolie ♥


Et voilà, t'es encore à la rue comme une grosse clodo ♥ Viens récupérer un toi (pas en carton) ici choupette.

Viens signaler ton avatar ici : une fois fait, plus personne ne pourra te le piquer !

Envie de rejoindre un club ? Ton rang personnalisé te plait pas ? Il suffit de cliquer !

Trois sondages à remplir pour nous aider à faire évoluer le forum. Indispensable ! L'arrivée sur le forum - Les idées pour les events - Et l'invasion de prédéfinis !

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N'hésite pas à voter et à ramener tes amis sur le forum. Plus on est de fous, plus on rit !


BON RETOUR A LA MAISON ♥

 
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