• STATUT :: lycéen. • RÉGIME :: interne. • POSTE SPÉCIAL :: aucun. • CAMP :: neutre dans l'idée ; mais côté volfoni pour garantir sa survie. • CURSUS :: musique. • SPÉCIALITÉ :: topologie vocale, featuring une voix de ténor du feu de dieu. • GROUPE SOUHAITÉ :: solitaires.
• RANG ::
Code:
poor unfortunate soul • slytherin
petit ami de Quinn P. Peters, contre vents et marées •• muré dans un silence quasi-constant depuis la tentative de suicide de Quinn (elle est la seule à qui il ose réellement adresser la parole) •• ne s'est moralement pas remis de cette tentative •• associable au possible •• un peu dépressif sur les bords •• redoublant •• chanter est le meilleur moyen qu'il ait trouvé pour garder le moral au beau fixe •• chante sous la douche, accessoirement •• a longtemps fait du basketball, mais a arrêté à cause de vilains problèmes au dos •• à défaut de pouvoir jouer, il suit assidument les matchs de l'équipe de Volfoni •• fanatique refoulé de chansons Disney •• grand lecteur de romans fantasy •• un jour, Quinn lui a mis une fleur dans les cheveux et a trouvé ça particulièrement drôle. depuis, il ne s'en passe plus •• rêve de vivre en Italie •• parle italien couramment, qui plus est •• entièrement dévoué à sa petite amie.
of course i'll stay with you. no matter what happens. forever and ever.
physique ❞
un bon mètre quatre-vingt seize •• 70 kilogrammes •• silhouette svelte, malgré une paire d'épaules assez imposante •• sa constitution peut paraître faible, mais le bonhomme est musclé par quelques années de sport intenses •• à cause de sa taille et de sa pratique quasi-quotidienne du basket fut une époque, il a fini par développer des problèmes au dos ; il a encore mal de temps en temps •• traits particulièrement fins •• cheveux châtains assez longs, arrivant à peu près en bas de ses omoplates ; ils sont constamment attachés en queue de cheval basse •• adepte de la fleur dans les cheveux •• yeux verts émeraude •• regard doux et bienveillant, quoi qu'un peu terne depuis la tentative de Quinn •• oreille gauche percée •• style aristo-chic •• sur un coup de tête, à 16 ans, il s'est fait tatouer la phrase "Take me to Neverland" sur l'omoplate gauche •• en dépit de sa taille et de sa carrure assez impressionnantes, il n'a rien de menaçant, et c'est regrettable quand on a une belle à protéger.
caractère ❞
« — Dakota ? Le colosse italien qui fait du basket ? Bien sûr que je le connais ! D'ailleurs, je crois qu'il s'est tapé Andy récemment, non ? »
Dakota, c'était le type sympa et populaire. Le stéréotype du casanova italien qui enchaînait les conquêtes et les coups d'un soir sans but précis. Le parfait exemple du bobo-aristo qui brillait dans son école hors de prix et se rendait minable aux soirées. Le mec sociable, intelligent et drôle, avec qui on pouvait nouer des liens sans trop d'efforts. Le bon pote de tout le monde, celui qu'on invitait toujours en premier aux fêtes improvisées, le mec apprécié de tous. Dakota, c'était aussi un cliché. Celui de l'adorable enfant prodige devant papa-maman et messieurs-mesdames les professeurs qui, une fois les cours finis, draguait les minettes à la sortie du lycée, un joint à la commissure des lèvres. Mais pouvait-on réellement lui reprocher son attitude ? C'était un gentil garçon qui avait toujours baigné dans le milieu pourri de l'artistocratie new-yorkaise, et dieu sait que l'univers des gosses de riches était impitoyable : entre pression parentale et constante concurrence avec de charmantes têtes blondes tout aussi friquées que soi, on ne pouvait pas blâmer la débauche de ces pauvres ados en quête d'identité. Dakota, c'était également le sportif. Le basketteur doué que les filles venaient encourager avec entrain et passion, et qui fêtait les victoires de son équipe en la charmante compagnie d'une cheerleadeuse magnifique (jamais la même, faut pas déconner non plus). C'était le mec instable, entouré d'une flopée d'amis fidèles ou non, qui se pavanait toujours aux bras des plus belles filles de son lycée et qui fréquentait les bonnes personnes. Il avait l'argent, les nanas, d'excellents résultats scolaires, une vie sociale active et torturée entre sexe, alcool et drogues.
« — Ça fait un bail qu'on a pas vu Dako' en soirée. Mais c'est vrai que maintenant, il a une copine. Ils sont teeeellement mignons ensemble ! »
17 ans et des poussières. Dakota était toujours le type populaire. Il avait toujours une flopée d'amis, de prétendantes, et un niveau scolaire irréprochable. Mais une belle aux yeux atypiques et à la crinière irréelle avait capturé son cœur. Il était amoureux, comme un fou, d'une créature fragile qu'il ne pouvait détériorer. Pour Quinn, il arrêta de fumer, de boire à outrance, de baiser de tous les côtés. Il devint le garçon sage et posé, amical et souriant, qui refusait poliment chaque invitation aux soirées. Son image au lycée n'en fut que plus rayonnante : le bad boy qui s'était métamorphosé pour les faveurs de sa douce était encore plus populaire qu'autrefois. Dakota était un homme heureux, fier, libéré de ses incertitudes et plein de projets pour l'avenir. L'air qu'il respirait était rempli d'optimisme et d'ambition. Il se voyait déjà dans une université de renom, en compagnie de sa Quinn, en tant que capitaine de l'équipe de basketball et meneur de sa promo. A cette époque, Dakota était insouciant.
« — C'est vrai que Morellini a redoublé ? Pas possible ... Si y'avait que ça, en plus ... »
Dakota a 18 ans. Sa vie ? Elle est au ralenti. Ses rêves, ses espoirs ? Anéantis. Il y avait eu ses problèmes de dos. Des douleurs insupportables, invivables, qui avaient définitivement mis un terme à sa pseudo-carrière de basketteur. Son moral s'était doucement effrité. Il commença à perdre des amis, des fréquentations, du soutien. Dakota n'était plus le sportif populaire : il était devenu l'élève intelligent mais pas intéressant, distant, qui semblait nostalgique d'une époque révolue. Et le coup de grâce. La goutte d'eau qui fait déborder le vase. Sans préavis, Quinn tenta de mettre fin à ses jours. Son moral le quitta. Sa joie de vivre aussi. Dakota foira complètement son année scolaire. Il rejeta les quelques amis qui étaient restés à ses côtés et se referma complètement sur lui-même. Sa confiance en lui ? Envolée. Il s'enferma dans les remords et les questions. Il avait été incapable de protéger la chose la plus précieuse à ses yeux. Sans même s'en rendre compte, Dakota sombra dans la dépression. Il n'avait plus goût à la vie et n'avait plus d'espoir. Sa confiance perdue assassina sa sociabilité. Les autres l'angoissaient, l'effrayaient, et il devint incapable de sortir de chez lui. Il se mura dans un silence saisissant. Dakota était un homme détruit, malheureux, au bord du gouffre. Mais une petite étincelle vint éclairer son monde de ténèbres et de peur. Le sourire de Quinn lui redonna espoir. Sa petite amie était sa bouée de sauvetage, mais aussi le plus précieux et le plus fragile des trésors. Pour elle, il se décida à aller chez un psychologue. Il remonta un peu la pente, rafistola son esprit torturé. Il n'était pas seul.
Dakota a maintenant 19 ans. Dakota est associable, silencieux, craintif et manque cruellement de confiance en lui. Mais Dakota est un garçon intelligent, gentil, sympathique, doux et profondément aimant. Et toujours riche, qui plus est. Il s'est trouvé une passion pour le chant, qu'il chérit chaque seconde sa vie. Il n'a pas hésité à changer d'établissement scolaire pour sa bien-aimée.
Une nouvelle vie. Pour se reconstruire. Ensemble.
histoire ❞
Respiration saccadée.
Mains tremblantes.
Gestes incertains.
Regard coupable.
Soupir hésitant, mais convenu.
Il porta le filtre orangé à ses lèvres et fit rouler son doigt contre la molette du briquet. La cigarette s'embrasa ; un mince filet de fumée s'échappa de la zone de combustion.
Dernier moment de doute, de réflexion.
Finalement, Dakota tira une longue latte et laissa la chaleur enivrante envahir son corps. Le goût singulier du tabac chatouilla sa gorge ; la douce sensation d'embrasement caressa sa trachée. Il recracha la fumée après quelques instants, réitéra l'expérience ; la nicotine commençait déjà à brouiller son esprit et le poids qui écrasait son estomac s'allégeait peu à peu.
Cela devait bien faire un an et demi que le jeune homme n'avait pas touché à une cigarette. Depuis le début de sa relation avec Quinn, plus exactement. Lorsqu'il avait rencontré cette charmante artiste en devenir au détour d'un quartier new-yorkais, le coup de foudre avait été immédiat ; mais sa santé fragile nécessitait un traitement tout particulier. Dans l'espoir de préserver sa moitié, il avait pris la décision de stopper net la fumette. Tout simplement.
Étrangement, la sensation du cylindre bicolore entre ses doigts et l'ardent baiser de la nicotine ne lui avaient pas manqué. Les premiers mois de sevrage avaient été durs — la tentation avait plusieurs fois failli compromettre sa résolution —, mais pour sa belle à la crinière platine, il avait définitivement mis un terme à sa consommation abusive de clopes quotidienne.
Jusqu'à aujourd'hui.
Sa longue dépression suite à la tentative de suicide de Quinn n'avait pas été en mesure de l'inciter à replonger dans la fumette.
La tentation permanente au sein du cocon familial non plus, d'ailleurs : ses parents se permettaient d'engraisser leur tabagisme en liquidant des paquets entiers de cigarettes italiennes hors de prix. Mais jamais le spectacle de ses parents clopes au bec ne l'avait tenté à retoucher à la nicotine.
Un petit moment de détresse : c'est tout ce qu'il lui avait fallu pour piétiner ses efforts et le pousser à s'acheter un paquet de clopes dans la pharmacie du coin. Il se sentait coupable, pitoyable, mais pourtant, il se laissa tenter par une seconde cigarette.
Il y a quelques années de cela, Dakota aurait été surexcité à l'idée de débarquer en cours d'année dans un nouvel établissement scolaire. Il avait été ce gars cool et sociable qui, en marchandant quelques cigarettes et autres bouteilles d'alcool fort avec d'autres élèves, arrivait à se mettre la moitié de l'école dans la poche.
Sa condition sociale aidait un peu, aussi. Lorsqu'on pouvait se vanter d'avoir un père issu de l'aristocratie turinoise et une mère haut-placée à la mairie de New York City, il allait sans dire qu'une flopée de sympathiques personnes aux intentions peu louables venaient vous coller aux baskets pour profiter un peu de votre argent.
Mais maintenant qu'il était réduit à une simple loque avec zéro confiance en elle et une peur panique du contact avec les autres, l'intégration s'annonçait un peu plus difficile.
Il écrasa son second mégot sous la pointe de son pied. Son cerveau, oppressé par le stress, lui quémandait de rallumer une troisième cigarette, mais une petite partie restée rationnelle lui soufflait de ne pas céder une nouvelle fois à la tentative. Ses yeux las se posèrent sur le paquet qu'il tenait dans sa main ; il l'enfonça dans sa poche et poussa un soupir lourd en regrets.
Quinn ne serait pas contente si elle apprenait qu'il avait recommencé. Il lui avait promis de ne pas réitérer les abus de l'adolescence, malgré le stress, la pression extérieure ou plus globalement l'environnement de Volfoni. Lorsque sa tendre petite-amie avait décidé de changer d'établissement et de partir pour la Floride, il l'avait suivi farouchement — que pouvait-il faire d'autre après tout ? Ses parents n'avaient pas été très difficiles à convaincre ; la scolarité était bien moins chère dans l'académie floridienne que dans son école newyorkaise pour jeunes bourgeois.
Et puis le tabac n'était pas très bon pour la voix. Depuis que le jeune homme s'était découvert une passion — et un talent — pour le chant, il s'était mis en tête de percer là-dedans, plus tard. Ça avait commencé avec quelques chansons entonnées devant des Disney regardés pour faire passer la déprime ; puis c'était devenu un passe-temps un peu bizarre pour faire passer le temps — certaines personnes allaient frapper des gens dans la rue, lui chantait, chacun son truc — ; pour enfin aboutir à une drôle d'addiction acclamée par sa famille et sa petite-amie.
Il n'était pas certain que la clope et sa voix de ténor fassent bon ménage.
Il décréta mentalement que ce paquet nouvellement acheté serait "le paquet de secours" ; celui dans lequel il piocherait en cas d'extrême urgence, en somme. Restait à définir ce qu'était un "cas d'extrême urgence" pour lui.
Une douleur au niveau de son estomac attira son attention.
A trop réfléchir, le stress était revenu.
Et merde.
i was dead until the moment i met you. i was a powerless corpse pretending to be alive.
BEHIND DA SCREEN
• PSEUDO :: Caramelle ou Bakaramelle, au choix. :3 • ÂGE :: 17 ans dans à peu près un mois. • COMMENT AS-TU ATTERRI ICI ? :: Quinn m'a forcée. :c (comprenez plutôt qu'elle cherchait un forum et que je me suis incrustée dans sa recherche. voilà voilà.) • C'ÉTAIT LONG DE LIRE TOUS LES SUJETS ANNEXES ? :: Nah, ça va, j'ai connu bien pire. xD • DES TRUCS À CHANGER ? :: Rien qui me saute aux yeux, à voir par la suite. • C'EST CHIANT LES FICHES, PAS VRAI ? :: Ça l'est pas à la base. Ça le devient quand on décide de la coder soi-même. Ou qu'on veut pondre un truc de l'espace. LÀ, ça devient vraiment chiant. xD PUIS MON HISTOIRE ELLE EST CACA ET JE VOUS ZUT OK. ET OUI JE METS CETTE PARTIE AVANT LE CODE CAR SINON ÇA ME DÉFORME TOUT BLBLBLBL. • CODE DE VALIDATION ::
Jushirô Himeruya ᎷᏒ
Âge du perso : 52 ans Activité : Directeur Spécialité : Participer aux conneries des élèves Fonction : Directeur Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre Avatar : Louis Weasley - Harry Potter (mouaif)Messages : 479 Date d'inscription : 10/02/2013
Bon ben ben c'est une très bonne fiche que voilà. J'avoue, on en a vu des tas, des gosses de riche populaires étou mais Dakota il est bien. Tu parles bien du fait que ce genre de personnes à famille influente, ça a davantage d' "amis" intéressés que sur lesquels on puisse compter, et puis bon, y'a de la recherche qui a été faite pour le background du perso et c'est toujours quelque chose que j'apprécie beaucoup 0/* Une spécialité pas random aussi, c'est cool et puis TOO MUCH DISNEY VDRVFGFTG non mais c'est génial, ça t'ouvre plein de possibilités de lien, avec Justin par exemple ou avec la famille Febo Da Fozca pour faire un gang d'italiens. Si si la mafia Y'a juste un truc que je trouve dommage, c'est que tu ais autant orienté ta fiche autour de la relation entre Dakota et Quinn. Bon, je comprends bien qu'elle soit méga importante à ses yeux, mais du coup tu parles beaucoup d'elle et ton personnage a par moments l'air "pensé pour elle". Le fait qu'il passe du jour au lendemain de tombeur à chevalier servant est -à mes yeux- un peu craqué du slip et pas méga méga crédible -surtout sur un coup de foudre. Enfin bon, c'est le seul reproche que je peux faire à ta fiche, à part ça tout est impeccable.
Ah ouais, et avec Salva on s'est tapé une barre en lisant "c'est tout ce qu'il lui avait fallu pour piétiner ses efforts et le pousser à s'acheter un paquet de clopes dans la pharmacie du coin" en mode "Olol, dakota il fume c erbe oméopatik pour ékrir 1 truk pareï ??? xpdr" et puis après on a cherché et effectivement, aux States on achète les clopes en pharmacie ._. J'ai perdu foi en l'espèce humaine pour la 97463435679898 ème fois.
Ah ouais, et même si t'as très très bien justifié le fait que Dakota soit dans le groupe des solitaires, je l'aurais plus vu dans les normaux. Parce que les solitaires on les remarques pour leur solitude latente et ils sont donc connus, d'une certaine manière, alors que lui j'avais plutôt l'impression qu'il était du genre à se faire oublier maintenant. Enfin bon, t'as très bien justifié comme j'ai dit et puis après c'est peut-être qu'une impression personnelle, donc solitaires. Je baratine pour rien, pardon.
Sur ce, plein de bisous d'amour sur toi et amuse toi bien 0/*
dakota ☆ can you sing with all the voices of the mountains ?