« Geudzeuh, et pas Gôdz.

Gödze Deniz Samet. XX Nom : Samet. XX Prénom : Gödze Deniz. XX Âge : 26 ans. XX Sexe : Féminin. XX Nationalité : Turque. XX Origines : Turques. XX Orientation sexuelle : Dominatrice. XX Statut : Agent de maintenance. XX Poste spécial : Le balais. XX Camp : Neutre. XX Régime : Externe. XX Groupe souhaité : Personnel. XX Rang : J'suis venue sans idée. Faites vous plaisir, éclatez-vous, j'suis pas chiante 8D

Divers & Précisions.

« Geudzeuh », et pas « Gôdz ». Merde. Et si en plus, ils écorchent ton prénom pendant que tu passes le balais, ils sont bon pour se prendre une bonne droite. Tu n'aimes pas ça, alors ce n'est pas la peine d'en rajouter une couche. Tu pourras toujours leur faire une bonne grosse frayeur a cheval sur ton deux-roues. Parce que ta moto, c'est un peu ta vie tu sais ? En plus de Dieu, mais ça. C'est une autre histoire aussi. Tu n'es pas aussi pratiquante que tu devrais l'être, et que le demande la religion musulmane, et tu lui adresse la parole seulement quand ça t'arrange, mais ce n'est pas pour autant que tu n'y crois pas. Et puis, tu n'aimes pas non plus être comparé à ces fous. Ces personnes qui terrorisent le monde en faisant des choses que toi même tu ne comprends pas.

Sinon en bref. Tu parles turc. Et le dialecte louche qu'est l'américain. Et tu essaies d'arrêter de fumer.

Histoire.

« Je me souviens encore d'elle, courant dans les ruelles d'Istanbul alors qu'elle venait seulement d'apprendre à marcher. Vous savez, Gödze était une petite fille adorable. Souriante, énergique, et surtout on avait su lui apprendre le respect de l'autorité parentale. On ne lui pas grand chose. Si elle travaillait bien à l'école, il était rare que quelque chose lui soit refusé. Et finalement, sans que personne ne s'y attende, pas même moi, sa mère, Gödze à commencé à faire le yoyo. A sombrer pour ensuite remonter. Et sombrer à nouveau. »


Sa mère.


« Si vous l'aviez vu adolescente, jamais vous n'auriez pu penser que cette brute de femme se déciderait à se ranger. Elle a commencé à rejeter l'autorité de ses parents. Soit disant qu'elle n'était plus une petite fille. Mais tout le monde le sait, tant qu'on ne travaille pas pour s'assumer financièrement, on reste un gamin. Mais Gödze, elle en avait décidé autrement. A donner sa première fois au premier venu qui lui plaisait bien, à se caser avec plus abrutis que l'autre -et je ne parle pas de moi, c'était différent, d'accord ?-. Jusqu'au jour où elle venu me voir, une main sur le ventre, et l'autre sur la bouche. Je crois que j'ai laissé tomber ce que j'avais dans les mains quand elle m'a annoncé qu'elle était enceinte. Je voulais simplement la voir exploser de rire, et m'annoncer que c'était un canular. Mais non, on avait trouver le moyen de la foutre en cloque. Et là, c'était la merde. »


Le père de son "enfant".


« Gödze ? Ouais, elle était hargneuse c'te p'tite. Il lui en fallait pour l'arrêter, et la mettre au sol. En même temps, d'après c'que j'avais saisi, elle v'nait d'avorter, pas facile t'sais. J'crois bien qu'elle v'nait aux entrainement d'boxe après ses cours à la fac. L'droit, c'était bien ça ? Ouais, c'était ça. Mais tu vois, une fois les gants mis, l'droit elle en avait plus rien à foutre. La p'tite Gödze, ça s'voyait qu'elle v'nait pour s'défouler. J'crois qu'elle avait encore un copain à ce moment là ? J'sais plus trop. Parc'qu'un jour, elle venue en m'disant qu'elle partait. Apparemment, elle à échoué son école ? Peut-être que c'était ça ouais. T'sais, la mémoire et moi... Elle m'a dit qu'elle partait pour les USA, j'crois. C'est dommage. Elle était doué 'vec ses poings c'te gamine. »


Son entraineur.


« Tu parles d'un choix rentable. J'suis partie avec l'autre con, pour finalement me retrouver toute seule. Tu penses que c'est une vie, de finir sans fric au milieu d'un pays qu'on ne connait pas ? Tu passes ton temps à errer, à essayer d'apprendre la langue -merci les cours à la fac putain-, et surtout à trouver un boulot qui te permettra de te payer un petit truc pas trop dégueulasse pour vivre. Et puis, lorsque tu trouves, même si tu le détestes ton boulot, tu le gardes. Il devient aussi précieux que la prunelle de tes yeux. Et ça doit être ça le pire. Avoir un job précieux, mais qu'on déteste affreusement.

Alors oui, je passe le balais dans les couloirs d'un établissement. Oui, je déteste ça, plus que tout. Mais j'm'en suis peut-être pas si mal sortie que ça. J'aime me plaindre, c'est tout. »


Gödze.

Caractère.

« Tu parles d'une gamine. Encore plus agressive qu'une bête sauvage. Et une fierté à t'en faire bouffer les pans de tables. Qu'est-ce que tu veux marier ta fille lorsqu'elle intimide même les jeunes-hommes les plus braves du quartier ? Et puis, dites moi quel homme de bien voudrait d'elle. Tout le temps en train de grogner, de râler, et surtout de se plaindre. Dites moi qui voudrait d'elle, hein ? Et puis, le tact, c'est pas encore connu je crois, elle est va sans réfléchir, totalement brusque. J'en pouvais plus. Mais ça reste une femme, et elle parle. Tout le temps, très fort, pire que sa mère. Une femme quoi. Qui à la bougeotte, une pile électrique. C'est pas plus mal parfois, mais elle montre moins son côté mère. Parce qu'elle en a un, ouais. Ma fille, maternelle ? Moi non je l'aurais pas cru au début. Faut bien y regarder, derrière son rire vous savez.

Ma fille ? Je ne l'échangerais pour rien au monde. »


Son père.

Physique.

« Gödze ? C'est une putain de bombe ouais. Elle est certes pas très grande, et plus musclée que les autres filles en général, il n'en reste pas moins qu'elle est plus que baisable, même en étant habillée très court en hiver, la chaudasse. Bien plus que la plupart des putes que tu peux croiser dans les clubs et qui tordent leur cul dans tout les sens, et pourtant elles sont bien foutues elles aussi. Mais Gödze, quand tu vois son arrière-train, ses obus, et ses lèvres... Comment on dit déjà ? Ouais, bouche à pipe quoi. T'as juste envie de lui sauter dessus, tu comprends ? Je te laisse imaginer, l'envie qui te prends les tripes quand tu aperçois seulement sa peau sombre et si... Appétissante. Ses yeux clairs qui semble t'inviter, dommage qu'elle les cache derrière des lunettes opaques, soit dit en passant. Et sa crinière noire avec laquelle tu te vois jouer, ou la tenir. Après, ses oreilles percées, sa veste en cuir rouge qu'elle ne lâche pas et son tatouage en dessous du nombril, ce n'est que fantaisie. Supplément.

Prendre Gödze pour un morceau de viande, ou une poupée à assouvir les désirs ? Non. Jamais. Elle est trop agressive. T'en approche pas trop si tu penses comme ça, vieux pervers va. »


Un de ses ex petits-amis.

Derrière le tas de pixel.

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