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 • Hanna Rosenwald •

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Ah.


Nom : Rosenwald
Prénom : Hanna
Âge : 18
Origine : Allemande
Sexe : Féminin
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Statut : Universitaire
Cursus choisi : artistique, arts plastiques.
Groupe : artiste.

Précisions : Hanna parle avec un léger accent allemand et n'essaye pas de le cacher. Il lui arrive souvent de s'emmêler entre les deux langues. Elle a une très mauvaise mémoire ( sauf pour les choses inutiles, à vrai dire. ) et emporte toujours un bloc-note (15x10 cm, a donc aussi tendance à choisir des vêtements avec des poches adaptés qui se ferment) et un crayon à papier sur elle. Elle n'y note jamais de choses importantes, seulement des détails, des mots-clés, voir des ressentis, souvent sous forme de gribouillis. Elle en change chaque mois, mais c'est sûrement la seule chose qu'elle ne perds jamais. Elle est aussi bordélique dans sa tête que dans ses affaires.


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Hanna n'a jamais vraiment porté beaucoup d'attention à son apparence, sans pour autant rentrer dans la catégorie « négligée ». Celle qui lui correspondrait le mieux serait peut-être simplement « naturelle ». Ses cheveux sont coupés inégalement, et si une de ses nombreuses mèches brunes – avec quelques reflets roux, à ce qu'il paraît – et ondulées décide de rebiquer, qu'elle rebique, si elle veux partir de travers, qu'elle parte de travers. C'est son problème, pour le moment qu'elle ne fait pas de nœuds – je me répète, mais elle n'est pas pour autant négligée –. Elle les laisse toujours détachés, sauf quand elle fait du sport – rarement.

Jamais de maquillage sur sa peau claire. En a-t-elle seulement besoin ? Elle n'est pas spécialement narcissique mais ne pense pas avoir quelque chose à dissimuler à grand coups de fond de teint … et quand bien même son manque évident de poitrine pourrait momentanément « s'arranger » avec on ne sait quelle poudre miracle ( ou attrape pigeon ), elle ne l'utiliserait pas. Tout simplement parce qu'après, c'est compliqué pour dormir correctement.

Ajoutez ça à sa finesse – fine, et surtout pas maigre – et vous avez … une planche à pain. Et faute de boobs, on va regarder plus haut. Ses yeux sont … bleus lagon. Et comme tout le monde, elle a son propre regard. Un mélange de neutralité lambda et de … quelque chose … décrire un sentiment ressenti par un regard peu être compris de façon relative, et cela dépendra de celui qui est regardé. Mais une chose est sûre, on ne peut y déceler aucuns sentiments négatifs – enfin, dans son état « de tout les jours ».

Dernier point, concernant tout ce qui est style vestimentaire, elle porte simplement ce qui lui plaît – comme la plupart du monde à Volfoni, certes – ( et heureusement pour elle, « ce qui lui plaît » ne veut pas dire tout ce qui est « sac » ou pyjama ) des choses simples, jamais trop lourdes surtout. Petite exception pour les robes : elle les aime mais ne les porte pas. Selon Hanna, elles sont faites pour être portées par les autres. Toutes ses tenues – s'il n'y en a pas sur son pantalon, elle aura forcément des poches quelque part en haut - ont des poches assez grandes, qui peuvent se fermer. Ceci uniquement pour ranger son bloc-note … jusque dans ses pyjama – non, pas la petite lingerie fine, seulement des vieux joggings avec des poches accompagnés des tee shirts « importables » : ceux de l'arrière arrière arrière grand mère, ceux que la machine à lavé n'a pas réussi à sauver … etc.







Hanna, vous ne la voyez pas beaucoup sourire, vous ne l'entendez pas souvent parler, vous ne la sentez pas souvent vivre. Ce n'est que la première impression, heureusement. Il est vrai qu'elle a l'air amorphe la plupart du temps, mais seulement de loin. Si on la regarde attentivement, on pourra remarquer qu'elle n'arrête jamais de faire quelque chose. Regarder partout sans vraiment faire attention à ce qu'elle voit ou être totalement obnubilée par un détail de l'objet le plus banal, jouer avec ses stylos ou gribouiller n'importe quoi, surtout. Voilà ses attitudes principales en cours théoriques – cours où elle n'a jamais excellé de part son manque d'attention évident –. Hanna a l'air d'un zombie, mais ressemblerait plus à … un écureuil paresseux. Le besoin de bouger, mais la flemme.

C'est un étrange mélange entre un esprit déconnecté et trop omniprésent. Ce qui l'intéresse vraiment, ce sont les détails, mais elle n'est pas du genre à se plaindre non plus. Même si ça n'est absolument pas évident à deviner, elle est perpétuellement de bonne humeur et il est très dur – et stupide – d'essayer de l'en sortir. Elle n'est pas non plus du genre à chercher les emmerdes, ni même à y répondre. Ce ne serait qu'une perte de temps. Elle n'en est pas pour autant hautaine et se prend pas non plus pour quelqu'un de supérieur, c'est simplement un fait : s'énerver ou répondre à un pic serait simplement une perte d'énergie vaine et inutile.

En ce qui concerne les goûts, elle aime surtout le sucré. Des chocolats chauds en hivers aux pastèques d'été, tout y passe dans cette catégorie. Côté musique, elle n'en écoute pas vraiment mais … préfère les trucs calmes, on va dire. Les choses que tu peux mettre en fond pendant que tu peins sans que ça te dérange pour autant.








Le lit était enseveli sous des masses de cartons pleins, et je commençais à me demander si j'allais pouvoir finir pour le soir … ou si j'allais devoir dormir par terre. Pas que ça ne me dérangeais plus que ça, mais c'était mon dos qui aurait été gêné, déjà assez épuisé par des heures de déballage de vêtements.

Cartons après cartons, la pièce prenait forme … et prenait en quelque sorte vie. Je n'avais pas emmené que de quoi m'habiller, mais aussi toute sorte de choses aussi inutiles les unes que les autres. Ces choses qui font d'une chambre une chambre.

Il n'en restait finalement plus qu'un. Pas d'inscription particulières.

Je l'ouvre … et tombe sur des kilos de bloc-notes usagés. Je ne me souvenais pas en avoir utilisé autant …

Depuis quand avais-je commencé à écrire dessus, d'ailleurs ?

Sans me soucier de savoir qui avait eu assez de temps à perdre pour les ranger par ordre chronologique, je prenai le premier et commençai à feuilleter les pages du cahier, simplement intitulé « 2002 » …

Première page, un bonhomme de neige rouge.

C'était vers sept ou huit ans sûrement. Un accident. Il y avait un poteau sur la route où nous roulions, il nous est rentré dedans. Les deux autres personnes devant moi, je ne les ai plus revues. Qui étaient-elles, déjà ? Ça n'a pas d'importance. Tout ce qui compte, c'est que la neige était magnifique, ce soir-là.

Deuxième et troisième pages, des écritures illisibles … ou incompréhensibles. Aussi incompréhensible que cette langue inconnue qu'était l'anglais lorsque j'ai écris, lorsque j'ai changé de pays, et même de continent.

Quatrième, un mouton bleu.

Quelques temps plus tard, une semaine ou trois mois, c'est la même chose, il y eut … une dame. Une dame qui savait tricoter. Elle m'a emmené chez elle. Pourquoi ? Je ne lui ai jamais posé la question. Ou bien j'ai oublié la réponse. Quoi qu'il en soit, je gribouillais par terre, sur les murs, sur les meubles, et elle tricotait sans jamais me remarquer. Ou peut-être étais-ce moi qui l'ignorait.

Un jour, la vieille dame … ça y est, je me souviens. Ma grand mère. Ma grand mère m'avait offert un pull « de la même couleur que mes yeux ».

Cinquième page, des gribouillis abstraits et informes. Sixième page, un dessin étrangement appliqué pour quelque chose de fait à cet âge et dans un bloc-note ordinaire : des arbres, une forêt sûrement, et une petite fille en rouge qui se fait visiblement égorger par un grand chien gris … autrement dit, un loup.

La vieille dame m'avait conté une histoire. Celle d'une enfant qui part apporter à manger et à boire à sa grand mère malade qui habite de l'autre côté d'une forêt, et qui rencontre un loup sur son passage. Je n'ai jamais aimé cette histoire. Si la petite fille en rouge était si vertueuse que la légende l'indique, le loup, aussi cruel soit-il, l'aurait épargnée. Forcément.

Le petit chaperon rouge était en réalité une sal#pe.

Je change de carnet, me remémorer les injustices des histoires enfantines n'étant pas mon occupation préférée. Je range « 2002 » quelque part au fond du premier tiroir de mon bureau, suivi de « 2003 », et sors « 2004 » :

Les deux premières pages représentent un ciel. Tout bête, comme n'importe qui doit en avoir dessiné au moins une fois dans sa vie, un ciel de conte de fée.

Troisième page, des cartons, des cartons et encore des cartons. Déjà vu ? Oui, un déménagement. Pour aller où ? Je ne savais pas encore. Mais peu importait, puisque le ciel me suivrait forcément.

Quatrième page : du vert, du bleu et du marron placé n'importe comment sur la pauvre feuille innocente qui n'avait rien demandé. Les couleurs de la campagne nouvelle dans laquelle je venais d'atterrir.

Cinquième page, une inscription, une seule phrase. Elle était écrite à l'encre rose, avec soin, sans fautes et dans un anglais fraîchement maîtrisé : « I hate school. ». Ce n'était spécialement l'école en elle-même que je haïssais tant à cet âge, mais ceux et celles qui s'y trouvaient, tout âges confondus.

Je survole le reste. Depuis cette page, la quasi totalité des dessins représentent des allégories de liberté déjà vues et revues, telles que l'oiseau, ou une fois de plus, le ciel … Tous ont été dessinés en classe, détail sans réelle importance que j'ai oublié et dont j'aurais peu de chances de me rappeler.

Je range 2004, et beaucoup d'autres.

Je remarque que petit à petit, les bloc-notes ne se comptent plus en années, mais en semestres, puis finalement en mois. Lentement, les dessins d'enfants se transforment en quelque chose de plus aboutis et les idées se précisent, se regroupent, s'emmêlent et … forment quelque chose de totalement insensé.

En rangeant les quatre derniers, j'en fis tomber par maladresse. Celui-ci s'ouvrit de lui-même lorsqu'il toucha le sol, laissant entrevoir quelque chose de relativement simple, dessiné au crayon à papier, comme la plupart de mes notes à cette époque et encore aujourd'hui.

Une simple rose, sans couleurs, comme celle que j'avais posée sur le cercueil de ma dernière parente. Je range le petit cahier parmi les autres sans particulièrement prêter attention à l'illustration dont je ne me souviens même plus.

C'était le dernier carton.

Je sors mon bloc-note du mois de la poche de mon pull et commence à dessiner ce qu'il me passe par la tête. Ça vient naturellement, sans avoir à réfléchir. Une fille banale qui trouve un carnet au milieu d'un tas de cartons. Cinq minutes après, l'esquisse et terminée, et je l'oublie, comme à chaque fois.

À ce moment, je ne comprenais même pas moi-même pour quelle raison, du jour au lendemain, j'avais décidé de m'inscrire dans cette université à la renommée grandissante. Ou peut-être l'avais-je seulement oublié, ça revient au même.


Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
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Activité : Directeur
Spécialité : Participer aux conneries des élèves
Fonction : Directeur
Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre
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Bienvenue à toi ~
Je suis bien content d'avoir pris le temps de lire ta fiche. Je trouve très chouette l'idée des blocs notes. A la fin, je me suis demandée si Hanna n'avait pas des problèmes de mémoires, mais genre, une maladie ou un truc dans le genre.
En tout cas, fiche parfaite, sans fautes, du moins, je n'en ai pas aperçu. Donc : Fiche + Bien = Validation.

Ta chambre a été créée ICI : il s'agit de la chambre N°001, que tu partages avec Sigrid Oleksander. Tu peux demander un transfert ici.

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