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 ▬ At the touch of love, everyone becomes a poet, Sir. - Sohil

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Thème musical



Nom : AMENARDIS
Prénom : Sohil
Âge : Dix-huit ans
Origines : Égyptien aux origines indiennes
Sexe : Garçon
Orientation sexuelle : Hétérosexuel

Statut : Lycéen
Régime : Demi-pensionnaire
Poste spécial au sein du pensionnat ? : Tuteur pour les élèves en difficulté de dernière année lycée

Cursus choisi : Sportif, dans le domaine du basketball
Spécialité : Il est très bon pour mettre des paniers (en revanche, pour les dribbles et l'esprit d'équipe c'est autre chose).
Groupe souhaité : Sportif

Rang : Donnez moi un surnom, please ! 8D

Précisions :
- très arrogant
- célibataire
- a peur des ascenseurs et des grenouilles
- ne peut s'empêcher de critiquer les autres
- se vante beaucoup
- cède toujours pour les beaux yeux d'une fille
- tombe facilement amoureux fou
- fleur bleue et romantique, sauf qu'il ne fera jamais le premier pas
- joue avec le tissu de son turban quand quelque chose le tracasse ou qu'il s'ennuie
- dévisage tout le monde
- adore qu'on le regarde ou qu'on parle de lui en général

Adresse à laquelle envoyer votre dossier: Intercepté par Sigrid ♪









J'aurais toujours ces gens qui me diront tout le temps de bien me laver, de me coiffer le mieux possible, de me tenir droit et de bien me brosser les dents trois fois par jour. J’ai toujours pensé que l’apparence était comme la seconde peau de notre âme, et qu’elle reflétait juste ce que nous gardions à l’intérieur de nous. C’est pour ça qu’un malade était bouillonnant, tout chose et pâle comme un linge, le visage livide et les yeux vitreux. Mais franchement, pourquoi est-ce qu’on accorde autant d’importance à quelque chose qu’on appelle la seconde peau de soi-même ? Sérieusement ? En fait, je sais pas à quoi sert mon petit discours, si c’est pas pour embêter le monde. A rien. Je mesure un mètre quatre-vingt cinq pour soixante six kilos. Je suis une grande asperge, svelte et légèrement musclée. Ou un escogriffe. En gros, je n'ai pas l'air très robuste et c'est vrai qu'exceptés quelques-unes, les dépenses physiques ne sont pas mon truc. Dans ce cas-là, on pourrait me comparer à un crayon dont le capuchon serait un turban. C’est la première chose que remarque tout le monde : je porte un gros turban sur ma tête. Ce n’est pas pour la religion que je le garde sur mon crâne, mais surtout pour les coutumes et en particulier mon grand-père qui serait furieux si j’arrêtais de le porter. Il n’est pas aussi coloré que ceux que portent les hindous en général, mais je préfère, car c’est déjà moins voyant. Et depuis que quelqu’un l’a pris pour un bandage à cause de sa couleur pâle, j’ai trouvé ça marrant que son utilité soit confuse pour les autres. Là-dessous, se cachent des cheveux bruns, que j’aurais aimé avoir plus foncés, et que je cache car je ne les aime pas. JE DÉTESTE MES CHEVEUX. C’est aussi pour cette raison que je ne défais pas mon turban quand il y a foule. J’ai la peau basané, ce qui est normal car mon teint et mes origines se valent autant. Mes yeux sont noisettes et paraissent éteints lorsque je fixe quelque chose. Quand je souris, ils se plissent beaucoup plus que les gens en général. D’ailleurs, j’ai deux petites fossettes qui forment une entaille sur chacune de mes joues, qui m’ont toujours donné un air de gamin que je n’aime pas du tout. J’ai une bouche fine et un nez mince, un chouïa pointu. Mon style vestimentaire se résume à des vêtements décontractés, comme des chemises blanches et des pantalons sombres, ainsi que des converses ou des baskets. Mais jamais, ô grand jamais, on ne me verra sans mon turban. La plus grande promesse de ma vie. La manière dont je me présente a toujours été originale, car elle n’est ni décidée, ni décontractée, ni intimidante ni «normale». Ma façon de marcher me fait passer inaperçu et me donne l’aspect discret que je n’ai pas souvent. Et pourtant ma démarche est assurée et je n’hésite pas une seconde à poser un pied puis l’autre. Même si cette posture devrait me donner l’air sympathique et chaleureux, au contraire. Je parais froid et distant, car il me manque quelque chose. Je crois que c’est parce que je ne souris jamais aux gens.







Il y aura toujours ces gens qui me diront de rester moi-même quoi qu’il arrive et de ne pas changer pour faire plaisir à quelqu’un. Ouais, j’y ai jamais vraiment cru. J’ai toujours su remarquer ces gens, ceux qui disaient ça, qui balançaient ces idées en l’air ; et ceux-là n’étaient pas des gens sincères, n’étaient pas des gens honnêtes et vrais. Pourquoi donner un conseil si c’était pour ne pas l’appliquer à soi-même ? Finalement, je me suis demandé si quelqu’un dans le monde était vrai. En fait, comment le savoir ? Parce que la mentalité humaine est déjà bien bête pour comprendre. Ces gens que tout le monde aime, que tout le monde adule, que tout le monde admire, ne sont-ils pas eux-mêmes malhonnêtes dans leurs actions ? C’est comme être paranoïaque. Tout le monde a peur du regard des autres, alors tout le monde fait comme il peut pour se sentir apprécié. Mais si personne n’est vrai, est-ce que ce ne serait qu’une impression, cette sensation de supériorité qui nous parcourt pendant quelques secondes lorsque nous accomplissons quelque chose ? J’appelle ça de la fierté, d’autres appelleront ça comme ils veulent. C’est pour ça que chaque fois qu’on me demande de me décrire dans mon caractère et mes pensées qui me viennent de l’intérieur, j’hésite un long moment avant de me lancer. Tout le monde est imprévisible, mais personne ne le sait vraiment. J’ai ce sale esprit de contradiction gravé en moi, et on ne peut pas dire qu’il me facilite l’interprétation de quoi que ce soit qui vienne de mes sentiments. Je me compare souvent aux gens qui ont un cœur de pierre, qui font comme s’ils ne ressentaient rien, qui font les indifférents, tout ça. Ils me font penser à de jeunes adolescentes pré pubères en phase de remise en question. Car en fait, c’est un peu ça ! Dans certains moments, on ne se reconnaît plus, parce qu’on est conscient que ce n’est pas nous ! Alors on se cherche, alors on trouve une solution digne de l’imbécile qui a inventé la machine à couper un camembert en deux parties égales. On s’invente un personnage, on le joue, comme dans une pièce de théâtre, en espérant qu’un jour, en se réveillant, on se dira que ça y est, on a retrouvé notre propre personnalité. J’ai toujours eu peur de devenir comme ces gens. Mes parents m’ont déjà assez prévenu, car comme on peut le penser, j’ai retenu l’essentiel –haha, j’aurais pu déblatérer là-dessus encore longtemps si je ne m’étais pas enfin arrêté- et l’essentiel m’a retenu. Au pire, si je ne suis pas moi-même, est-ce que ça change quelque chose avec les relations que j’ai avec les autres ? Nan, rien du tout, car eux ne se doutent de rien. Ils pensent que c’est moi. Et peut-être que je pense que c’est eux aussi. Bref, avant de tomber dans un cercle vicieux qui n’en finirait jamais, j’allais dire que je suis… Un chouïa bavard ? Mon extravagance un peu trop poussée cache en fait mon caractère d’introverti et de gars un peu trop réservé pour être écouté par qui que ce soit. Je me cache derrière un masque totalement différent, derrière des vannes et des mauvaises blagues ridicules, derrière ce qui pourrait être moi, en fait. Je me déteste quand j’ouvre la bouche pour dire quelque chose, pour critiquer ou clasher un innocent. Pourquoi est-ce que je fais ça ? Aucune idée. Pour me donner de l’importance peut-être, mais c’est pathétique. J’en suis conscient, et pourtant je suis un tel incapable que je n’arrive pas à contrôler mon propre moi… Je suis également un garçon qu’on n’approche pas facilement et qui ne s’approche pas facilement. Les rares moments où j’adresse la parole à quelqu’un sont ceux où je dis des bêtises. Arrêter de faire ça ? Pas possible. En y mettant de la bonne volonté, peut-être que j’y arriverais. Mais je l’ai dit, la contradiction emprisonnée à l’intérieur de ma personnalité m’empêche de faire ce que je voudrais faire. En fait, il faudrait ne jamais rien me dire. Car quand il s’agit de transgresser une règle (quelle qu’elle soit), je peux devenir, ouais, très sympathique avec d’autres gens qui seraient du même avis que moi. Il suffit qu’ils aient quelques points communs, et hop, je suis à l’aise même en leurs présences. Car au départ, je suis un mec qui n’apprécie pas franchement la compagnie, et je ne dévoile jamais beaucoup mes sentiments affectifs envers quelqu’un d’autre. Par exemple, je n’aime pas tellement les câlins, les embrassades amicales ou les poignées de mains que je trouve ridicules. Je joue au petit rebelle alors que j’ai bon fond. Je réponds aux autres, je cherche toujours à avoir le dernier mot, à créer la chute qui fera que la discussion sera close. Si je devais me mettre une étiquette sur le front, je dirais que je suis désagréable, simplement et honnêtement. Mais si ce n’est pas vraiment moi, est-ce que je suis honnête ? Encore une fois, tellement incapable que je n’arrive pas à répondre à la question. Le plus étonnant dans tout ça, c’est que je suis fleur bleue. Mais du genre vraiment très fleur bleue, le grand romantique qui tombe facilement amoureux. Sauf que je n’ai pas la technique du petit blond qui commence à écrire des poèmes à sa dulcinée tellement il se sent inspiré, non non. Moi, j’ai un autre secret. Je ne dis rien. Rien du tout. J’essaie d’être indifférent devant la personne que j’aime, qu’elle ne se doute de rien, juste pour que mon personnage ne soit pas foiré à cause de ce foutu sentiment qui pourrait tout gâcher. Quelques fois, en sachant que je passe à côté d’une magnifique histoire, je me sens tout triste. Car les autres croient que des gens comme moi ne tomberont jamais amoureux. Parce qu’ils n’ont pas de cœur ? Ben si, j’en ai un. Si je le dis. Alors pourquoi tous ces clichés ? J’en sais rien. Encore une fois, tellement incapable que je n’arrive pas à me comprendre tout seul. Et je me répète. Et je tourne autour du pot aussi. Et je suis chiant.








Des fois, comme ça, en pleine conversation, j’aime bien dire que je suis né en Égypte, parce que ça a l’air de faire rêver les gens. Je sais pas, quand ils pensent à là-bas, ils croient tout de suite que tout le monde a été pharaon un jour ou connaît tous les passages secrets des pyramides. En fait, je n’y ai pas vécu longtemps. A peine les deux premières années de ma vie. Même si mes parents sont hindous, nous avons habité à Louxor (également là où je suis né) un bon moment pour le travail de mon père. Nous sommes une famille aisée mais qui reste modeste, en fait nous n’avons jamais eu de problèmes d’argent mais nous avons tout de même été mutés là-bas un petit moment avant de revenir habiter en Inde. Mes parents se connaissent depuis qu’ils sont petits, et j’ai toujours trouvé ça extrêmement romantique qu’ils soient les rares amours d’enfance à s’être mariés et à avoir eu des enfants. Ma mère a également des origines indiennes, mais du genre Indienne d’Amérique (référence à Pocahontas, tout ça), alors que mon père est né à Mumbay et la plupart de ses parents et cousins sont originaires de là-bas aussi. Du coup, j’ai la nationalité égyptienne mais je ne me considère pas comme l’ancêtre des pharaons dans leurs sarcophages. Enfin, certains disent que passer deux ans, surtout quand on n’est qu’un bébé, nous inculque quand même la culture du pays où nous sommes. Bien sûr que j’aime l’Égypte, puisque c’est là que je suis né, et bien sûr que j’adorerais y retourner. Mais je ne me souviens de rien qui me vienne de là-bas. J’étais beaucoup trop petit.

Nous sommes rentrés en Inde, où j’ai été à l’école pour la première fois quand j’ai eu trois ans (en fait, comme une personne normale. Quelle banalité). J’ai vécu sans me poser de questions pendant longtemps, très longtemps, tellement il n’y en avait aucune à se poser. Je me souviens très bien du jour où j’ai rencontré mes grands-parents pour la première fois ! Comme ils habitent dans les hautes montagnes, donc loin des villes et des côtes, je n’ai pas souvent eu l’occasion de les voir. Je me rappelle de tout, ce jour-là. C’est un dimanche, car maman m’a dit de m’habiller le mieux possible et que nous irions peut-être nous balader après la visite chez les grands-parents. Grand-mère est plus que jolie quand nous arrivons, elle sent à la fois le thé que maman prépare tous les soirs, le chocolat que je mange à l’école, et les fleurs qui entourent le pâté de maison ; je n’hésite pas avant de me blottir dans ses bras. Grand-père, lui, est grand et baraqué, il m’impressionne. Il sent le charbon et ses joues sont mal rasées, il porte un turban sikh sur sa tête et me parle déjà de religion. Je n’ai que quatre ans, mais je comprends quand même ce qu’il me raconte. « Sohil, Sohil ! Plus tard, il te faudra porter ce que j’ai sur la tête. Tu seras comme moi !
- Pourquoi tu en portes un ?
- C’est un turban sikh, haha. Il est très important pour la religion, mais surtout, sans ça sur la tête, tu n’es plus vraiment toi ! Il termine ton identité, tu sais. C’est comme si il te manquait une main. Tu ne serais plus toi, pas vrai ?
- Oui », ai-je répondu en haussant les épaules.
En fait, je crois que j’ai été plus traumatisé par ce qu’il m’a raconté cet après-midi là qu’autre chose. Ni mon père ni ma mère n’ont entendu ce qu’il s’est passé, et, manifestement, au fil du temps qui passe, j’oublie un peu cette histoire de turban, de religion et d’identité. Il ne se passe pas longtemps avant que je devienne un garçon brillant à l’école. Il y a juste quelque chose pour lequel je me débrouille très mal, c’est le sport. J’ai toujours été un flemmard et courir n’est pas mon truc. Tant pis, j’ai manqué la plupart de mes cours de gymnastique pendant mes années à l’école primaire.

En entrant au collège, je porte déjà le turban. C’est arrivé du jour au lendemain, comme ça. Grand-père m’a offert un long tissu et m’a demandé ce que c’était. Je n’ai pas su répondre alors il me l’a attaché autour de la tête, et là, bim, j’ai compris que je ne suis vraiment moi seulement lorsque j’ai ça sur la tête. Et il n’est pas juste question de religion là-dedans, je crois. Bref, je me trouve aussi plusieurs passions. Tomber amoureux d’une dizaine de filles (haha, je pense que ce n’est même plus une passion… Je suis trop romantique et me crois dans un roman à l’eau de rose, tellement je suis fleur bleue. Moi, être une fille ? Nan.), la natation, et puis surtout le basketball ! Mes parents sont heureux de voir qu’enfin le gros fainéant que je suis arrive à se défouler et à faire du sport tout en étant heureux. J’ai eu pas mal d’amis, mais ça n’a pas grande importance en fait, car ce n’est pas quelque chose sur quoi je compte énormément pour réussir dans la vie. Ce que j’ai toujours voulu devenir, c’est profiler. Ou être analyste comportementale expert en criminologie, vous préférez ? Enfin, comme dans la série, quoi. J’en ai parlé à mes parents vers l’âge de treize ans, et ceux-ci m’ont assuré qu’il me fallait faire des études aux Etats-Unis dans de grandes écoles pour faire ce que je veux. Les U.S.A? Je ne me suis pas vu y aller maintenant, et tout seul qui plus est. Mais toute ma famille m’y a encouragé et, vraisemblablement, ils m’ont convaincu d’aller y faire mes études. Où ça ? Le mieux que nous avons trouvé a été une académie. Je n’y serai pas «seul» et j’arriverai sans doute beaucoup plus qu’ici à me concentrer. En gros, voilà, j'arrive, tu vois.



Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
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PAS BIENVENUE ! D8

Non mais je rêve, t'as zoné sur le forum pendant plus d'un mois avec Andreas en rechignant à nous finir une malheureuse fiche, et là tu reviens comme une fleur et tu nous fais.... ça ! Non mais c'est un scandale, vraiment.
J'adore cette fiche putain. Ouais je suis grossier, mais elle est vraiment cool. J'étais curieux de voir comment tu allais justifier ton turban alors que tu pouvais simplement dire qu'il ne le portait que pour certaines occasions, c'était... drôle. Oui, ta fiche est drôle, même si ton personnage ne l'est pas vraiment. On a bien l'impression d'avoir un espèce d'ado mal dans sa peau mais au lieu de te la jouer hyper sérieux tu présentes ça avec humour, et ça passe merveilleusement bien. Franchement, je trouve ton personnage très attachant et intéressant, et original avec ça. Bon, je vais pas épiloguer ni me répandre en compliments sinon tu vas prendre la grosse tête et t'arriveras plus à attacher ton turban. Et oui, ton commentaire est court, navré hein, mais je suis avare de compliments et je ne vois rien à critiquer sur ta fiche alors... Aha ! Si y'a des petites fautes qui traînent comme "je ne me considère pas comme l’ancêtre des pharaons". Ah bah non, vaut mieux pas, sinon ça veut dire que tu as plusieurs milliers d'années mon chou et il y a peu de chances que tu ais survécu jusqu'à nous, "descendant" était le mot qui convenait. Voilà voilà, une ou deux étourderies me semblent, mais vraiment pas grand chose, une excellente orthographe (ou alors je suis très fatigué) et un style à la fois clair, efficace et léger. Pour moi c'est parfait.
Bien sûr que t'es validé jeune homme.

Juste, sur ta feuille de personnage, le champ "spécialité" correspond à ton poste dans l'équipe, alors pense à le remplir pour que je puisse te noter dans ton équipe ♪
Et je ne te souhaite pas de te plaire ici, si tu te plaisais pas, tu serais pas revenu pas vrai ? Et même si tu commences à nous connaître, n'hésite pas à nous demander si t'as la moindre question.
Voilà voilà !

T'as pas de maison, t'es à la rue s'pèce de clochard ! Viens commander ton carton ici

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