Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.

Invité
Invité
Anonymous

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
Firmin




Infos
XX Nom : Lambert
XX Prénom : Firmin, Stéphane
XX Âge : 43 ans au compteur. Même s’il se plaît à dire encore 39 parfois.
XX Sexe : Masculin
XX Nationalité : Encore et toujours français
XX Origines : Néant total de ce côté-là. Encore plus français que la baguette.
XX Orientation sexuelle : Pansexuel mais aromantique

XX Statut : Professeur de Science et vie de la terre
XX Régime : Demi-Pensionnaire
XX Poste spécial : Jurys des concours au sein de l'académie
XX Camp : Volfoni. Quoique, est relativement neutre, ne fait pas de vague.

XX Cursus : Général
XX Spécialité : Fonctionne à l'humeur et fait des remarques assez crues à ses élèves
XX Groupe souhaité : Professeur

XX Rang : (…. Je sais paaas. Trouvez-moi un truc cool)

Divers & précisions
Porte toujours sa blouse blanche à l’académie XX Trouve que ça lui donne un air professionnel et scientifique XX Beaucoup de rumeurs courent à son sujet XX Aime placer des mots en français depuis qu’on lui a dit que c’était sexy XX D’ailleurs, aime bien jouer le stéréotype français à mort XX Sait jouer de la basse XX est un grand fan de David Bowie XX Lit beaucoup XX Boit beaucoup trop de café XX a une vie sexuelle très importante XX Aime jouer des rôles pour un soir XX Ment souvent XX Très tactile XX Prend énormément soin de luiXX Adore les bains XX Et est accro au sel de bain XX Se demande constamment comment il a bien pu arriver ici XX Vit au-dessus de ses moyens XX D'un naturel triste XX Roule en DS rouge de 1960 XX Alcoolique chronique XX Déteste les gosses de moins de dix ans XX A une peur bleue des chevaux XX Mais adore les insectes XX épingle les papillons XX Bordélique au possible XX Fonctionne à l’humeur XX Cuisine tout le temps ses plats XX Gros fumeur XX Peut-être le meilleur ou le pire des profs XX A un humour terriblement noir

• Histoire
1972. George Pompidou est au pouvoir. Le Parrain est au cinéma. Les Américains toujours au Vietnam. Et tandis que Nixon et Brejnev signe SALT I, une gamine de quinze ans à peine, Florence, donne vie à son premier gosse. Si elle avait pu, elle l’aurait jeté par la fenêtre. Elle aurait bien avortée clandestinement aussi. Mais Papa et maman sont des gens biens, des gens catholiques. Déjà qu’elle a couché avant le mariage, il ne faut pas en rajouter.

Mais elle ne peut pas être mère. C’est un fait indéniable. Ça nuirait à leur réputation.

Alors ils ont toujours fait croire que ce Firmin, né d’une mère encore enfant, était leur propre fils, faisant alors fi du préfixe petit. Évidemment, on lui cache la vérité. Une famille sans secret n’est jamais intéressante.

Il s’appelle Firmin Stéphane Lambert. Bien qu’un lourd secret pèse sur sa famille, ses parents par défauts l’élèvent comme leur fils. Et qu’on ne se le cache pas : Si Firmin avait écouté ses parents jusqu’au bout, s’il s’était refusé à lui-même, si jamais cette étincelle rebelle ne s’était éveillé en lui, embrasant alors l’essence qui enduisait leur cercle familiale, il serait alors marié, deux enfants, irréprochable et sobre, fumeur occasionnel et homme idéal sous tout rapport.

Enfant, il est étonnement calme et gentil. Le gosse fade et banal. Celui qu’on oubli de suite après avoir vu. Avec ses cheveux rebelles et ses genoux écorchés, on l’imagine grimper aux arbres après la messe, avec ses respectable amis François et Joseph, tous deux de bonne famille. Évidemment. Les gens biens avec les gens biens.

Firmin est bon élève en cours. Assez travailleur et sérieux, il a de bons résultats. Monsieur et Madame Lambert l’imagine faire de longues études. Quand on le félicite, il baisse le regard et rougit. Quand on le gronde, il s’excuse et promet de ne pas recommencer. Gentil garçon.

Il entre collège. Autre monde. Autre univers. L’Âge s’écrit désormais avec deux chiffres. On commence à avoir des préoccupations de grands. On se couche une heure plus tard, et on fait le mur pour aller jouer avec les copains. Les années passent sans qu’on ne s’en rende compte. Et dans cette enfance qui s’éteint lentement, Firmin entra au Lycée dans la section scientifique de son temps.

On n’est plus des enfants. Firmin est presqu’un homme désormais. La cigarette qu’il porte sans cesse au visage est là pour en témoigner. On travaille plus. On a d’autre préoccupation. On regarde les filles. On se demande si Valérie acceptera de sortir avec nous. Firmin, lui, n’en a encore que faire. On pense alors qu’il n’est pas mature, que ça viendra plus tard. En attendant, les filles ne l’intéressent terriblement pas. On le croit alors homosexuel, et sa famille commence alors à avoir honte.

Il décroche le bac mention bien. On est content pour lui. Il rentre à la fac. Et enfin, il commence à regarder les autres comme tout le monde. Papa Maman sont contents. Tous les jours, il lui demande quand une seconde Madame Lambert arrivera dans la famille. Mais lui ne pense pas à ça. S’il regarde les autres, ce n’est pas une vie avec eux qu’il veut. C’est juste le soir. A vingt ans, il fait sa première fois avec une jeunette de seize ans. Elle veut plus, lui s’enfuit le lendemain.

Ses études continuent, il réussit sans être le meilleur mais avec des résultats honorables. On est de nouveau content de lui. Firmin le sait bien qu’on n’en attend pas tellement de lui. Alors il fait ce qu’on lui demande, car il n’a pas de raison de désobéir.

A vingt-cinq ans, il continue encore ses études. Il sait ce qu’il veut faire. Des recherches en génétiques. Ça lui plaît, ce genre de trucs. Mais vingt-cinq ans, c’est aussi l’âge où il se met enfin en couple.

Il le dit à ses parents. En face.
On le croit entrer dans le moule.
Ils lui demandent le prénom de sa demoiselle.
Christophe, qu’il répond.

Alors c’est la gifle. On ne comprend pas quand ça a dégénéré. Pourquoi il n’est pas normal. Pourquoi il n’aime pas les filles. Il les aime aussi, répond Firmin. Nouvelle gifle, c’est impossible. Le ton monte, les mots partent. La seule à comprendre, c’est Florence, sa sœur, sa mère. Elle s’en fiche elle, tant qu’il est heureux. Et alors que Papa insulte son fils de pédale, elle prend sa défense. Les mots volent. Ce qui ne doit pas être dit est avoué. Il apprend la vérité sur lui et sur Florence.

Confusion générale. Firmin hésite. Il peut tout arrêter et devenir un gentil garçon comme il a toujours été. Il mentira, fera semblant, et tout le monde sera content. Mais non. Il ne peut pas. Alors il frappe son père. Et s’enfuit.

Le choc est important. Il n’appelle plus sa famille pendant un certain temps. Elle non plus d’ailleurs. Il se concentre sur ses études. Tellement. Pour oublier. Oublier sa faute. Son erreur. Trop de travail, si bien qu’il finit par rentrer dans le cercle des meilleurs. On aurait été fier de lui.

Puis un coup de fil. Florence.

Elle reste calme. Elle lui explique. Il comprend que ce n’est pas de sa faute. Qu’ils ont fait la même chose à Florence. Alors il se sent mieux.

Mais pas complètement. Car si accepter d’être avec Christophe est un pas, accepter qu’il n’a aucun sentiment amoureux pour lui en était un autre.

Tout ce qu’il voulait de nouveau, c’était le soir avec lui. Pas une vie.

Finalement, il le laissa tomber, au même moment il décrocha son doctorat de génétique. Il a alors vingt-huit ans. Il a encore la vie devant lui. Il est encore jeune. Il a des rêves plein la tête. Entrer dans un laboratoire, c’est ce qu’il veut.

Mais elle s’appelle Christelle, et elle est meilleure que lui. On lui donne la place, il n’y en reste plus pour lui. Il est perdu, ne sait plus quoi faire. Il se renseigne, on lui propose d’être professeur. Il accepte.

Alors les années passent. Son travail est ennuyant. Il n’a jamais voulu faire ça. De toute façon, n’aime pas les gosses. Mais on prend ce qu’il vient. Pour tenter de se résigner à son sort, il décide, sur un coup de tête, de se faire tatouer. Un serpent. Aucun signification particulière. Juste une envie.

Sa vie devient morose. Pour se consoler, il boit. Ça lui passe le temps, ça lui permet d’oublier et d’éviter d’avoir des regrets. Trente ans. Trente et un an. Trente-deux ans. Trente-trois ans.

Trente-quatre.
Trente-cinq.

Le même jour, pendant plusieurs années. La même routine imbuvable à chaque fois resservit dans le même verre. L’acool ne lui suffit plus, la cigarette non plus. Si parfois il touche à la drogue, c’est surtout le sexe qui le maintien éveillé. Là il trouve enfin ce qu’il a toujours voulu avoir. Des coups d’un soir. Il comprend qu’avec sa gueule de mec plutôt sexy, il peut trouver vite et bien. Mais il comprend qu’avec sa situation d’apparence stable, on va vite vouloir de lui plus. Alors il apprend à mentir. Il n’a pas été que Firmin, ce professeur dépressif. Il a aussi été Philippe, ce mari qui cherche à tromper sa femme. Louis, un bassiste dans un groupe de rock anciennement célèbre. Thibault, un riche homme d’affaire sans scrupule. Tout le monde. Il a été tout le monde.

Nouvelle routine, les années s’écoulent de nouveaux. Entre un coup et un verre, le temps passent assez vite après tout. Il atteint la quarantaine, et c’est là qu’il se rend compte.

Qu’a-t-il fait de sa vie ?
Pas grand-chose. On a connu pire. Mais on a surtout connu mieux.
Alors il plaque tout.

Marre de cette vie de merde qu’il n’a jamais voulu avoir. Et si lui aussi avait finalement le droit d’être heureux après tout ? La quête du bonheur n’a jamais été refusé à quelqu’un, pour peu qu’on se donne la peine.

Les États-Unis. Pourquoi là-bas ? Car il parle anglais, et que le Royaume-Unis est trop près de chez lui. Floride. Il y pose les pieds en août. Il fait chaud là-bas.

Professeur un jour, professeur toujours. Pendant deux ans, il revit en quelque sorte. Son nouvel environnement lui plaît bien, et même si la France lui manque, il se promet de ne pas revenir y habiter.

Il passe deux ans dans le même Lycée. Puis un jour, on lui annonce que l’Académie Volfoni rouvre ses portes. Une occasion en or. Il postule. Il est pris.

Et même s’il n’y est que depuis peu de temps, on connaît tous Firmin Lambert, le beau professeur de SVT, avec son accent et ses mots en français placés çà et là dans ses phrases. Trop vieux pour les élèves mais parfaits pour les autres professeurs. Les rumeurs courent un peu sur lui. Apparemment, il aurait couché avec la femme de ménage. Et il serait tatoué.

Et alcoolique.
Et toujours aussi triste.


• Caractère
Elle s’appelle Katherine et doit avoir un peu plus de la trentaine. Sûrement. Lui s’en fout, et ne veux pas savoir. Elle était juste là, sur le chemin. Ils ont parlés. Sympathisés. Ils sont venus chez Firmin.

Coup d’un soir.

Comme toujours.

Il est tôt le matin. Elle est encore dans son lit, lui est au balcon de son appartement, clope à la main, encore torse-nu. Fumer, c’est sa passion première. Depuis qu’il a quinze ans d’ailleurs. Certes, ça lui a un peu niqué la santé. Mais avec sa philosophie de bas-étage il s’est toujours dit « mieux vaut une vie courte et palpitante qu’une vie longue et chiante ». De toute façon, il n’arrivera plus à arrêter.

Il jette sa clope du haut du balcon. Son voisin du dessous râle. Lui le snobe hautement et se retourne dans sa chambre, laissant la fenêtre ouverte.

Sa chambre. Ses passions sont visibles directement. Pas bien rangé. On dirait une chambre d’’étudiant d’antan, avec ses éternels posters et disques vinyles de David Bowie sur les murs, ses vêtements sales sur le sol et une nana quelconque dans le lit. Ça pue l’alcool et le tabac ici. Pas étonnant.

Son regard se pose sur sa bibliothèque. Des tas de livres sur les sciences en tout genre, particulièrement la génétique. Ca le déprime autant que ça le réjouit de voir ses saloperies là. Il adore la science. Il n’a pas un foutu doctorat là-dedans pour rien. Un doctorat. Docteur en génétique. Il n’a jamais voulu être prof. Et ne le veut toujours pas.

Boulot de merde.
Heureusement qu'il aime vraiment ça, la science. Ça lui permet de tenir en tant que prof et de ne pas raccroché.

Son regard croise la glace. Plutôt bel homme, il se trouve. Même si on peut difficilement lui donner un âge précis. Son regard lui donne un âge terriblement avancé, celui d’un homme déjà foutu et mort. Son corps, celui d’un quarantenaire séduisant, ce qu’il montre. Son attitude, celui d’un gamin paumé. Ce qu’il est, encore incapable de se prendre en main, qui fréquente les lieux bizarres, pense qu’à l’alcool et au sexe, se croit éternel alors qu’il brûle la vie des deux côtés.

Un bruit. Elle se réveille. Lui soupire. Il aurait voulu qu’elle se soit déjà barrée. Elle ouvre les yeux, lui sourit. Lui regarde encore dans la glace. Se préfère à elle, c’est certain. Du bout des lèvres, lui murmure.

« Tu vas peut-être partir, non ? »

Le non prononcé en français, comme toujours. Sale habitude, rien que pour plaire aux femmes. C’est sexy, qu’on lui dit. Il ne comprend pas pourquoi, mais en joue salement.

Le visage de Kathy se crispe, elle crie. Lui reste impassible, daigne la regarder. Elle est belle, dans sa colère. Il est sensible à la beauté. C'est ce qu'il recherche chez les autres. Facile, il voit la beauté partout. Tant qu'on cherche à plaire, ça lui va. Il continue de la regarder. Elle s’attendait à quoi ? Ce n’est pas parce qu’on couche qu’on veut forcément quelque chose d’autre. Elle doit penser cela cependant. Mais que voulait-elle ? Un possible lendemain ? Qu’ils se foutent en couple ? Se marie ? Aient des gosses ? Firmin ne veut pas de ça. Il n’a jamais ressenti ce besoin de se mettre en couple. Il n’a jamais été amoureux. Alors puisqu’il ne peut pas se fondre dans une société basée essentiellement sur la famille hétérosexuelle avec des gosses, société qui a tenté de le guérir alors qu’il n’était pas malade société qui ne l’a jamais lâché et pourri jusqu’au bout, il attend.  Il la regarde ramasser ses affaires. Elle lui jette une de ses chaussures au visage. Elle passa par la fenêtre. Elle s’enfuit en criant.

-Salaud !

Toujours pas un mot du Firmin. Salaud. On lui a dit cela tellement de fois. Tellement de fois qu’il a fini par y croire. Et ça le rend triste. Terriblement triste.


• Physique
Une glace. Il se regarde. Il se trouve beau. Pas parfait, mais beau. C’est déjà ça.

Il aime sa taille. Un mètre quatre-vingt-cinq. Parfait, selon lui. Assez grand mais pas trop pour ne pas être une grande perche. Sa corpulence. Fin, mais tout de même un peu musclé. Il s’entretient, c’est indéniable. Il s’aime physiquement. C’est déjà ça. Il regarde son tatouage. Parfois il l’adore, parfois il regrette. Un serpent qui s’enroule des hanches aux côtés. Bleu vert foncé, sans autre couleur. Bien exécuté en tout cas.

Sa peau. Beige pâle. Joli teint. Parfois un peu de cerne. Qu’importe, ça lui donne un air mystérieux. Son visage, finement ciselé. Les traits masculins mais pas grossiers. Une mâchoire un peu trop carrée et anguleuse. Un menton tout aussi carré. Son nez, peut-être trop marqué mais bien droit, bien défini. Sa bouche. Ni trop fine, ni trop épaisse. Il ne sourit que très peu réellement, se contentant toujours d’esquisser un vague sourire. Quelques poils de barbes, ça lui donne un style négligé qui lui sied tant. Il est déjà pas mal à la base, mais il sait s’arranger au mieux. Il veut plaire. Ça marche.

Ses yeux. Bleus gris. Expressifs. Tristes. Semblant avoir tellement vu et vécu. L’air fatigué, c’est certain. Assez grand sans trop l’être. Perdu dans le vide.

Ses cheveux. Mi- long. Ondulé. Épais. Brillant. Il use et abuse de soin et de shampooing. S’ils semblent négligés, c’est encore tout un art. Noir, on peut cependant déjà y voir des reflets gris malgré sa petite quarantaine.

Ses vêtements. De la marque. Du Luxe. Avec un salaire de prof, il ne devrait pas. Classe, mais pas trop. Un juste milieu. Un équilibre qu’il a mis du temps à trouver.

Il s’aime. Les femmes l’aiment. Son physique, il ne s’en est jamais plaint. Heureusement. Il a déjà assez de problèmes comme ça.  


• Derrière le tas de pixels
XX Pseudo : Jane
XX Âge : 15 ans
XX Comment as-tu atterri ici ? (ouais on se tutoie pour cette question) : J’étais là y’a… Un bout de temps. Puis y’a eu le gros nettoyage. J’avais promis de refaire une fiche itout mais… Mais…. Pas taper.
Puis quelqu’un m’en a reparler pour une raison bien conne et je me suis dit « ouesh pourquoi pas ? »
XX C'était long de lire tous les sujets annexes ? : Ouais.
XX Des trucs à changer ? : Nooop
XX Code de validation :
XX C'est chiant les fiches, pas vrai ? : Boaf. Ca dépend. J’aime juste pas l’histoire.
© Volfoni
Invité
Invité
Anonymous

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
Je veux le même prof de SVT irl EL ADRITORE !
Tu gères j'adore tellement.
Bon courage ♥️
Invité
Invité
Anonymous

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
Blblblbl merci encore ♥

BREF j'ai finit ma fiche sinon. Jm'excuse déjà pour les fautes d’inattentions et un bug de fiche que je ne parviens pas à fixer. Jsuis pas douée QwQ
Invité
Invité
Anonymous

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
Je... Les bulles, le style, la discussion, l'avatar... On se connaîtrait pas toi et moi ? eve

Sois la bienvenue aussi ♥ On t'aime fort ♥
Invité
Invité
Anonymous

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
Danail V. Dragomir a écrit:
Je... Les bulles, le style, la discussion, l'avatar...On se connaîtrait pas toi et moi ? eve

... Jme sens presque vexée là ;W;
Évidemment qu'on se connait! Nan mé oh!

.... Et Merci sinon ♥
Invité
Invité
Anonymous

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
J't'aime. ♥
Invité
Invité
Anonymous

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
Blblblblblbl J'espère pour toi que tu m'as reconnu.
Moi aussi jt'aime sinon ♥
Hasard
ACCRO AU MCDO
Hasard
Âge du perso : On ne demande pas ça à l'entité du chaos D8
Activité : Buveur de café
Spécialité : Le café le café le café 8D
Fonction : Deus Ex Machina
Messages : 3144
Date d'inscription : 19/01/2013
Localisation : Au McDo comme les gros.
ACCRO AU MCDO ♥

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
T'étais qui espèce de toi ? D8
Bon, je te mets ta couleur, ce qui veut dire que tu es validé. Par contre, je n'ai pas le temps de faire ton commentaire (ni ce soit, ni dans la journée, et peut-être même pas demain) mais sache que tu peux d'ores et déjà faire ta vie sur le forum et que je l'écrirai plus tard, d'accord ? Désolé pour la gêne, on est pas mal occupés en ce moment x)
https://academievolfoni.forumactif.org
Invité
Invité
Anonymous

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
OUAIS IL EST OU MON COMMENTAIRE? D:

Ahem merci pour la validation, j'attends cependant gentiment ma critique (ouiui j'adore les critique XD)

Bref merci de m'avoir validée si vite ouo

(Et j'étais Meredith Eliacin pour info huhu)
Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
Âge du perso : 52 ans
Activité : Directeur
Spécialité : Participer aux conneries des élèves
Fonction : Directeur
Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre
Avatar : Louis Weasley - Harry Potter (mouaif)
Messages : 479
Date d'inscription : 10/02/2013
ᎷᏒ

Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
gg petit moineau !
« iiiiiiiiiiil est des nôôôôtres ! »

✓ Tu es validé !

VOILA
BON
Désolé du retard, hein, on a été grave occupés ces derniers temps et y'a que maintenant qu'on trouve un peu de temps pour faire deux ou trois trucs ._.'
ENFIN on n'est pas là pour parler de la vie des admins, même si elle est fantabuleuse à n'en pas douter.

Meredith. OMG.
Chérie, ce que tu as pu progresser, c'est fou.
Entre ta toute première fiche, celle de Meredith et Firmin, il y a presque un monde et c'est agréable, très agréable de voir que tu as pu progresser à ce point. Pas qu'on en doutait très franchement, t'as toujours aimé et pris en compte les critiques, mais c'est rare de retrouver les gens quoi, un an plus tard, pour voir leur évolution. D'ailleurs merci d'être revenue, tu sais que tu seras toujours la bienvenue.
Mais là j'avoue ne pas savoir quoi dire sinon bravo. Firmin est un bon personnage, assez différent de ce qu'on t'a vu joué pour le coup, mais plutôt bien géré et surtout, surtout très intéressant dans son traitement. Je sais pas si je suis le seul à penser ça mais l'écriture que tu as pris dans son histoire lui convient COMME UN GANT, et c'est génial de voir ça à ce point. Vraiment, félicitations !

Firmin est un prof haut en couleurs qui a tout à fait sa place à Volfoni (parmi les profs dépressifs, mal dans leur peau ou enflures hein), il est inclus dans la vie du forum, il a une vie de 40 ans (merci, merci pour ça, j'en ai marre des "vieux jeunes" qui sont encore des merdeux dans leur tête) et toute sa fiche est très harmonieuse, pas redondante, et ma foi fort sympathique. À titre personnel j'aime à savoir comment il est perçu à Volfoni, qu'il a toujours sa blouse sur le dos, qu'il plaît... C'est bien qu'il puisse déjà exister au sein de l'école même s'il n'est pas là depuis longtemps.
J'avoue toutefois que le côté sex bomb qui couche partout sans avoir d'attaches me fait un peu soupirer, parce qu'on le voit beaucoup en ce moment et qu'en général, ce n'est ni très bien amené ni très utile au personnage. En l'occurrence, pour Firmin ça va. Je trouve ça cohérent, ma foi pas trop craqué, et même s'il y aurait eu moyen de faire autre chose pour souligner son côté dépressif y'a quand même du bon et c'est pas si grave que ça. Ouais c'est chipoter, je sais, j'm'en fous EL ADRITORE !

Sinon y'a rien à dire. Je suis toujours assez bluffé de te voir avec ce genre de personnage, et aussi bien rendu. Si c'est la première fois que tu en fais et qu'il te convient, sache que tu peux très bien t'améliorer avec !
Sinon voilà. Tout est très bon, ça fait plaisir d'avoir un nouveau prof, et j'ose espérer que ça va déjà sur le forum 0/
Contenu sponsorisé


Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.  Empty
 
Un jour, on s'est aimé. Et ce jour, c'est demain.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» On aime ou on n'aime pas, c'tout - Dakota Emerson
» Demain j'irai.
» Nul ne sait de quoi sera fait demain. Pour cela, il faut le vivre. | Hélio Ohara
» Max - Si tu n'as pas ce que tu aimes, aime ce que tu as
» elle n'aime plus les sentiments → henri

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Académie Volfoni :: « - Hors RP :: Floride :: Présentations :: Présentations validées-
Sauter vers: