« J'ai fait la magique étude Du Bonheur, que nul n'élude. »

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Music~



Nom : Mustaine.
Prénom : Dorian.
Âge : 17 ans et toutes mes dents.
Origines : Britannique.
Sexe : Quatre fois par mois, hum. Homme.
Orientation sexuelle : Tout ce qui est beau.

Statut : Lycéen.
Régime : Interne.
Poste spécial au sein du pensionnat ? :  Mordu de la littérature~

Cursus choisi : Artistique.
Spécialité : Théâtre romantique.
Groupe souhaité : Artiste.
Rang : J'ai pas d'idées T.T

Précisions : Un vrai fan des sucreries ainsi que des serpents, d'ailleurs il a un tatouage au bras représentant un serpent.

Adresse à laquelle envoyer votre dossier : 455 Larkspur Dr., Minnesota Springs, MI 56431, États-Unis.


       






« Il n’y a que les esprits légers pour ne pas juger sur les apparences. Le vrai mystère du monde est le visible, et non l’invisible.  » -  Le portrait de Dorian gray -Oscar wilde.

La cigarette frissonnait entre ses longs doigts cadavériques fraîchement vernis d'un noir corbeau couleur qui le décrivait tant. Son échine était secouée par de légers frémissements et sa tête était tellement lourde qu'il avait l'impression de pouvoir la dévisser et la voir rouler à ses pieds. Une odeur de tabac nocif emplissait l'endroit, alcool, drogue, malaise. L'ambiance était sale et crasseuse, son esprit était las, tout comme ses sens qui étaient totalement ivres. Une abracadabrantesque lumière éphémère illuminait son regard. Une étrange lueur brumeuse, était-ce l'ombre bleuâtre du plaisir se remuant dans son regard ? Etait-ce le morne bonheur qu'offrait la drogue ? Lui même n'en savait rien, mais cherchait toujours à le savoir puérilement. Tel un élève diabolique encore au début du chemin. Il porta une seconde fois la cigarette à ses lèvres bleuies et agressées par le glacial de l'endroit. Un sourire sarcastique étira ses lèvres peintes, une énième fois, à la vue des lignes dansants sur son cahier. Et c'est donc, assis sur la table, qu'il déchira la feuille en plusieurs morceaux pris dans un fou rire dont la cause était inconnue, avant de jeter sa cigarette au loin....Seul le bruit de sirènes d'ambulance meublait le silence bien trop bruyant pour en être un.

Sentez vous cette odeur poussiéreuse, d'alcool et de tabac ? C'est qu'il n'est pas loin. Sa présence sentait le malaise, l'incertitude, le déséquilibre. Maintenant, imaginez vous, au milieu d'une pièce complètement en désordre, un homme la mine grise. Sa peau avait une teinte complètement pâle, une mer grisâtre paisible au toucher satiné. Dans le cas de Dorian, le terme beauté ne s'appliquait pas, à vrai dire, son apparence était tellement particulière que les mots tel que beau ou laid en perdaient presque leurs sens. Son ossature était assez épaisse, mais il était tellement mince que ses os se voyaient énormément, on pourrait facilement distinguer son thorax et tout ses os, voir toutes ses veines. Cela lui donnait un air de mort vivant, il savait cela parfaitement, mais ne s'en préoccupait pas plus que ça. Il ne s'est jamais réellement attardé sur son physique, aussi peu croyable que cela paraisse, il n'a jamais donné de l'importance à son propre physique même en étant très exigeant envers les autres. Pour lui, le monde était certes fait d'apparences, mais il en était l'exception.

Ses cheveux parfaitement lisses retombaient jusqu'à ses épaules. Une crinière aussi noire que la nuit, tellement que cette dernière semblait en tirer sa noirceur. Ils étaient souples, venant balayer son menton imberbe à chacun de ses gestes comme pour appuyer ses dires. Sa chevelure aux reflets violacés était ce qu'il aimait le plus chez lui. Quelques mèches rebelles lui servant de frange lui balayaient souvent la vue mais ne le dérangeaient que rarement. Son visage, avait quelque chose de destin, quelque chose d'énigmatiquement spécial. Avec ses traits fins mais appuyés, lui donnant un air charismatique. Ses sourcils étaient bien dessinés et fins, alors que ses cils étaient aussi noirs que l'ébène, contrastant avec ses pupilles d'ambre. Ses yeux semblaient être magiques, leur couleur, se dégradant vers le cuprique était des plus originales. Mielleuse, dorée et fière. Cette couleur qu'il avait hérité de sa mère. Dans son regard, s'étendait un labyrinthe inconnu, une forêt perdue entre les crevasses du temps. Une énigme que personne n'avait jamais osé résoudre. Ses yeux étaient très souvent maquillés d'un simple trait d'eye liner alors que son nez, fin et retroussé n'était point flagrant. Ses lèvres minces et bleutées se dé serraient souvent en un sourire hautain et dédaigneux mettant à nu son état d'esprit en ce moment précis. On ne peut ainsi dire si Dorian est banal ou ne l'est pas, vu qu'il ne cherchait pas spécialement à se donner un quelconque look en particulier. A vrai dire, il n'aimait pas vraiment se mettre dans une case "Gothique, Punk ou encore vintage". Il aimait être ce qu'il était, avoir son propre style à lui. Et lui n'aimait pas se prendre la tête pour ce genre de choses. Il ne s'habillait que d'une façon assez sobre. Vestes motard, chemises, jeans. Mais toujours dans les tons sombres. N'étant pas réellement fan des couleurs pastelles. Le jeune homme était un être à part, et cela se voyait rien qu'en contemplant son visage, il n'était pas beau, il n'était pas laid. Il n'était même pas normal, il était tout bonnement Dorian. Cet homme aux gestes très spontanés et aux phrases crues.

Les mégots traînaient à ses pieds, l'air las, il s'approcha de l'étagère un peu loin, afin de saisir un recueil, celui qu'il lisait bien souvent et qui le mettait de bonne humeur. Une lueur étrangère dans son regard intense.








Il vous est surement arrivé, de vous lever en plein sommeil, d'une de ses nuits sans rêve vous faisant presque aimer la mort. A minuit, ou à l'aube, à coté de vous, ces lettres que vous avez lues plusieurs fois, et ce roman que vous connaissez par coeur, ces vers que vous avez lus une centaine fois, non, des milliers et des milliers, sans vous vous en laisser. Eh bien, Dorian connaissait ceux là par coeur, étant un passionné de littérature mais surtout de poésie, il ne pouvait pas s'empêcher de les réciter encore et encore, passant sa main sur les feuilles comme pour sentir la trace de l'encre n'ayant pas encore sécher sur les feuilles, l'odeur des livres, de l'écriture...

Ô saisons, ô châteaux,
Quelle âme est sans défauts ?
Ô saisons, ô châteaux,
J'ai fait la magique étude
Du Bonheur, que nul n'élude.(Arthur Rimbaud)

C'était magnifique, celà reflétait tant son état d'esprit, mais aussi, ses ambitions. Les saisons..Les saisons passées sans ne rien avoir commis et qu'il est grotesque de se rendre compte de ses défauts, et avec du recul. Qu'il est absurde de se rendre compte que notre temps eut été vide et sans réel intérêt, que l'on n'a commit guère de bonnes actions. Et que le peu d'actions que l'on peut classer en étant assez "bonnes" ne furent qu'apaisement pour sa conscience, faute de l'amertume de la culpabilité ou tout simplement un moyen de booster son ego. Dorian avait compris que dans cette vie, rien n'est à notre portée. Il n'existe guère de bonheur total, ni de délivrance totale. La perfection n'était pas à sa portée, hélas. L'être humain est bourré de défauts, lui, réalisait qu'il avait des défauts, mais aussi des qualités qui faisaient sa fierté bien qu'il n'aimait pas réellement parler de lui même. Le bonheur, n'était guère son but dans la vie, le bonheur il l'avait trouver dans ces petites choses aussi infimes qu'elles paraissent mais qui lui faisaient plaisir. Il trouvait son bonheur dans ce qu'il lisait. Ce monde était raté, à ses yeux ce monde était fichu et tout avait été dit d'une manière ou d'une autre,  il ne restait rien à dire. Dans la poésie et littérature, il avait lu des textes, il en avait lu plusieurs depuis sa plus tendre jeunesse, des milliers de poèmes sur l'amour, l'amitié, le bonheur. Ces choses métaphysiques qu'il ne pouvait pas voir de ses yeux, qu'il ne pouvait pas sentir de ses sens. Alors, il s'était décider d'être en quête de l'expérience, de faire tout expérience avec son propre corps et non se contenter de ses lectures. Lui était ambitieux, lui travaillait en secret et son intérêt pour l'humanité c'était accrût grâce à ses muettes recherches. En vérité, la soif d'apprendre de Dorian était assez incroyable. Mais c'était plus une soif d'apprendre sauvage et négative, le menant parfois à de dangereuses pratiques. Etant marginal, Dorian n'aimait guère ce que les autres trouvaient intéréssant, et c'est dans la brume que tout devient magnifique à ses yeux. Etant un grand amateur de la beauté, le jeune homme s'exprime très ouvertement, voir même crûment et peu même être cassant de temps en temps. Il est vrai que son esprit n'est que très raffinés, ses paroles le sont moins, voir beaucoup moins. Il a toujours été blessant dans ses propos sans pour autant chercher à l'être. Mais il partait du principe "Il n'y a que la vérité qui blesse".

Dorian est quelqu'un de très cruel envers lui même, en effet, il est très dur envers sa personne, il ne se donne pas le droit de perdre, étant très mauvais perdant. Il agit souvent d'une manière puérile, ou bien de temps en temps. Son état d'esprit et caractère ne sont que très complexes. Il a aussi une soif de choquer sur dimensionnée, là où il va, Dorian est du genre à aimer attirer l'attention. Etant un amateur de la beauté, mais aussi un artiste, il n'est que très exigeant dans ses demandes, un peu fantastiques et irréalistes même parfois. Il vénère la beauté, tout ce qui est beau, le ferait presque même pleurer. Mais étant fier jamais il ne montrerait ces facettes de sa personnalité à qui que ce soit. Il est ce genre de personne terriblement énigmatiques, fascinantes, voir même... incomprises et difficiles à saisir et à cerner. C'est pourtant un inquiêt et nerveux, cherchant à comprendre puérilement tout ce qui l'entoure. Comme un petit enfant, très émotif voir hypersensible, cherchant en vain des réponses à ses angoisses métaphysiques. Il se protège souvent derrière un mur de glace, un masque qu'il s'était forgé avec le temps de peur d'être blessé, un masque qu'il ne laissera jamais tomber. Masque de cynisme et ironie, blessant ainsi tout ceux autour de lui afin de les protéger. En vérité c'était plus par flemmardise qu'autre chose, ou même par pur égoïsme de ne pas partager ce coté de lui même avec les autres. Pourtant, il est lâche, il l'a été plusieurs fois, lâche envers lui même et les autres, préférant prendre la fuite à faire face à ses propres problèmes.

Curieux, indépendant, Dorian a une faculté d'adaptation hors du commun. Cépendant, il a un peu les nerfs à fleur de peau, capable de se maîtriser à merveille mais aussi de se laisser emporter dans des élans de folie et de colère. Peu patient et intolérant, il connait des accès de colères et il peu dépasser certaines mesures. Il est aussi à noter que Dorian est plus tenté par le principe du plaisir que celui de la réalité. Il déposa doucement le recueil à coté de lui, prenant soin de ne pas le faire tomber vu son état. Il s'assit ensuite sur son lit, puis s’allongea en fixant le plafond l'air mélancolique, penseur, se tracasser pour toutes les petites choses les plus futiles, c'était bien lui. Ses pensées dirivaient d'un sujet à l'autre.








Dorian ne dort pas, Dorian ne dort plus, il fait de l'insomnie. Lorsqu'il fermait les yeux, il ne voyait rien, absolument rien. Il ne voyait que le noir ici et là, et ça lui convenait parfaitement. Cela faisait environ trois jours qu'il ne dormait plus, qu'il ne savait que faire. Il en avait fortement envie, mais il n'y arrivait guère. Cela durait, cela arrivait souvent, ce n'était pas très grave, parce qu'il en avait l'habitude, en vérité, même par habitude, il ne dormait que très peu trouvant cela être une perte de temps. Mais cette fois ci, c'était différent, c'était douloureux. Et le peu qu'il dormait était pendant les cours ou à des heurs variées, et c'était justement à cause de ça qu'il faisait de l'insomnie. Le temps, le temps le terrorisait, il en avait peur, affreusement peur, comme si son défunt se trouvait entre les tic-tac de la pendule. Comme si les lettres rouges peintes sur son horloge électronique étaient écrites de son propre sang. Il l'obsédait et il se passait lentement, une journée pour lui équivalait à une année et il s'ennuyait, il s'ennuyait horriblement. Il prenait bien souvent son crayon, mais rien ne venait, il n'avait plus envie d'écrire, plus envie de parler, il n'avait envie de rien et l'ennui le rongeait de l'intérieur. Il voulait que quelque chose se passe, mais il ne se passait rien. Dans sa vie, rien ne se passait et ce depuis sa naissance. Vous vous êtes surement attendu à ce genre de scénario bien trop compliqué, où la mère est prostituée, où il est orphelin et encore où il ne semblait être la victime ou avoir la vie parfaite. C'était faux, la vie de Dorian n'était guère ainsi, sa vie était certes faites de mal mais de bien aussi. Non, même pas, sa vie n'était faite de rien, sa vie était vide, monotone. Affreusement monotone...Et il ne supportait pas ça. Il prit le cadre photo sur sa commode entre ses mains, et le regarda longuement sans réellement le voir. Il représentait son père, sa mère, et lui à ses cinq ans, le sourire aux lèvres.

Son enfance a été des plus normales, étant fils unique, d'un père et d'une mère britanniques déménageant à ses quinze ans aux états unis. Il se rappelle encore de la première fois où il avait découvert les joies de la lecture. Il se rappelle encore de cette journée ensoleillée d'Août, à la maison de son grand père. Son âge ? Il l'avait oublié, seul le souvenir du soleil brûlant sa peau et d'une doucereuse chaleur lui rappelait cet évènement. Encore et encore, ce jour là, quand il avait découvert la bibliothèque de son grand père pour la première fois. Lui, avait une très bonne relation avec son grand père. Il se rappelle encore la première fois qu'il avait lu ce roman, celui qui changea sa vision des choses. Depuis, il commença à se poser des question. Sur son existence, sa vie, la raison de son être. Et chaque petite chose, mais cesont les choses insignifiantes qui ont le plus d'importance dans une vie. Depuis, il ne s'en lassait pas et sa passion pour la littérature s'accrut. Il passait énormément de temps à lire, à écrire aussi. Mais cela ne lui suffisait pas, c'est donc là qu'il avait découvert, ce que c'était le théâtre. Lire les oeuvre, mais aussi en faire partie. Voyager dans le temps, cela lui permettre de s'évader, de s'éloigner vers diverses dimensions, et surtout, de vivre toutes les histoires qu'il n'a jamais eu la chance de vivre. D'être dans le rôle de l'héros, parfois de l'ami, d'autres de l'ennemi. Il éprouvait une certaine jouissance inconnue à faire cela. Tant de sentiments qu'il ne connaissait pas, tout cela le rendait fou de joie. Il aimait faire ça, et décida donc d'en faire ses études à l'académie Volfoni. Il se rappela ensuite de choses futiles, comme son premier baiser, sa première fois, sa première cigarette.  

Puis, d'un coup, il trouva tout cela ridicule, il déposa le cadre photo sur la commode, et ferma les yeux pour voir et encore une fois ses formes vertes et bizarres se remuer, comme dansant dans un bal, puis s’enfuyant. Il s'ennuyait, énormément, il était tout simplement las de vivre, de sourire chaque jour, d'envoyer balader les autres des fois. Parfois même il se demandait si il existait réellement. Mais il y'avait aussi ces petits moments de plaisir, qui le comblaient de chaleur et bien être. Il voyait les jour se passer, pareils, il était heureux. Si le bonheur serait d'être en bonne santé et avec ceux que l'on apprécie. Mais, tout celà ne lui suffisait pas, et il en voulait plus.

Tout était noir, ici, était noir, là bas aussi. Mais ça ne le dérangeait pas, car il n'avait connu que cette uniformité qui le mettait hors de lui.

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« Yop la boum tralala ♪


Bon bon, tout d'abord, je suis heureux de voir que tu as finalement réussi à terminer ta fiche, toi qui disais avoir des difficultés avec les histoires.
Pour moi, il y a deux trois choses à corriger pour que tu sois validé, mais rien de fondamental dans ta fiche, ne t'en fais pas.
Tout d'abord dans la forme, fais attention aux termes que tu emplois qui sont parfois inadaptés. Je pense que le fait que le français ne soit pas ta langue maternelle doit jouer là dedans, mais (même si j'aime pas du tout ton style x) ) tu fais peu de fautes et tes phrases sont tout à fait correctes, c'est plus un problème de relecture je pense. J'ai aussi trouvé des endroits où il manquait des mots, donc il me semble que ce sera facile à corriger.
Par exemple "Son visage, avait quelque chose de destin" ou "Il est vrai que son esprit n'est que très raffinés, ses paroles le sont moins,". Attention également à ne pas te contredire. Tu dis que Dorian est complexe à comprendre, puis qu'il est très simple puis de nouveau qu'il est difficile à cerner. Je trouve que le mieux est encore de se garder de ce genre de jugements, tout comme de dire qu'il est "fascinant", c'est assez narcissique, car c'est aux autres de le trouver fascinant ou non. Tu peux dire qu'il l'est, narcissique, et que c'est ainsi qu'il se voit, mais je trouve un peu maladroit de décider pour les autres de la manière qu'ils ont de percevoir ton personnage.

Ensuite, et là cela demandera sûrement de rallonger ton histoire, je ne vois absolument pas ce que ton personnage vient faire à Volfoni. Ton histoire ne détaille pas vraiment la vie de Dorian mais cela me semble suffisant, par contre il est vraiment important que tu notes pourquoi il vient à l'académie, quelle qu'en soit la raison. Puisque tu m'as dit que tu aurais voulu qu'il existe un cursus littérature et que tu avais mis Dorian en théâtre par défaut, tu peux très bien dire qu'il lui est arrivé la même chose, peut-être parce que ses parents l'ont envoyé à Volfoni un peu malgré lui, ou peut-être pour lui éviter un centre correctionnel si il a fait quelques bêtises, ou après avoir été renvoyé de son ancien lycée... à toi de voir.

Voilà voilà, je ne pense pas que cela te causera beaucoup de problèmes, mais bonne chance tout de même pour ces quelques modifications ! Pense à prévenir dès que tu as terminé, que je passe te valider.
https://academievolfoni.forumactif.org
 
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