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 [DONE] Alex Brooks - Tu n'as encore rien vu.

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Nom : Brooks
Prénom : Alex Aidan
Âge : 16 ans
Origines : 'Murica!
Sexe : Garçon -si on le considère comme humain.-
Orientation sexuelle : Il ne sait pas, il s'en care.

Statut : Lycéen
Régime : Interne
Poste spécial au sein du pensionnat ? : skater crétin et perdu qui fait du street art et qui passe à peine les portes. Quoi, c'est trop?
Cursus choisi : Artistique, Art Plastique. (J'ai l'argument en béton, voir précision & histoire! )
Spécialité : Street Art
Groupe souhaité : Artiste

Rang : Allez y, kiffez.

Précisions : [inRP:]
*Il adore le bleu, mais déteste le violet.
*Il prête attention à tous les petits détails.
*Il a peur du noir.
*Il sourit tout le temps.
*Plus techniquement, il est regular, tourne au tail et serre beaucoup ses trucks. (Si vous comprenez ça, je vous aime. Fort)
*Il a un équilibre de merde, -sauf quand il fait du sport- et est parfaitement capable de se casser la gueule sur ses propres pieds.
*Il mange comme quatre.
*Il est tellement insouciant que j'emploie ce terme pour ne pas dire "irresponsable"
*Il a un tic de langage bizarre: il oubliee de lettres ou de syllabes, voir des mots. Ce qui fait que ses interlocuteurs se retrouvent parfois devant des phrases totalement dénuées de sens.
*Il a les bases de la basse et écoute du métal.


[HorsRP:] Laissez moi vous raconter l'histoire de ce personnage. Déjà, il est inspiré (très très très fortement) de quelqu'un existant, c'est pour ça que je ne modifierai sous aucun prétexte certains pans de sa personnalités, dont sa passion pour les arts visuels. Le personnage en lui même vient d'un autre forum, mais je n'ai pas pu l'exploiter à fond, de fait d'un différent avec le staff. Comme je tiens à ce perso, je le re-joue, et j'espère que vous l'aimerez autant que moi. Voila, ça c'était la partie explicative. Maintenant, je vais essayer de ne pas me faire lapider pour le « Arts Plastiques ». Argument premier, Alex ne peint pas sur toile avec des pinceau, mais dans la rue avec des bombes et des affiches, ce qui n'est pas la même chose. Argument second, cette facette de son caractère ne peut pas être dissociée de son caractère absurde. Argument dernier, les personnes que je connais sur ce forum vous confirmerons à quel point on aime Alex avec un crayon .
Adresse à laquelle envoyer votre dossier : xXx


       






Alex. Alex, Alex, Alex. Vous cherchez sûrement des adjectifs pour le qualifier, hein ?
Si je vous dis : titanesque, mécheux, et rider, vous y voyez un peu plus clair ? Non, du tout ? Bien, reprenons, donc.
Titanesque. Oui, ça, il l'est. Depuis qu'il est tout petit, repérer la classe d'Alex est facile. C'est le rang où un gamin dépasse d'au moins 10 centimètres des autres. En rentrant en 6eme, il mesurait 1 mètre 65. Aujourd'hui, à 16 ans, il culmine à presque deux mètres. Et, au profond désarroi des personnes chargées de l'alimenter, il ne semble même pas avoir fini sa croissance.
Enfin, si vous ne lisez que jusque là, vous vous imaginez une grande asperge, un ado dégingandé et filiforme. Mais non. Si seulement il n'y avait que sa taille, si seulement.
Alex est un mur. Un p*tain de mur infranchissable. Il est presque aussi large d'épaules que grand. Il a une carrure de catcheur, une silhouette de rugbyman, un gabarit de camionneur, une stature de videur de boite de nuit.
Tout est disproportionné, chez lui. La plupart des tailles XXL des magasins normaux sont trop petits pour lui, et il chausse du 47, ce qui est la dernière pointure chez DC. Quand on le voit de loin, il fait peur, ça, c'est clair.
Mais approchez vous un peu, regardez. Regardez le mécheux derrière le colosse.
Alex a un visage assez mature -ce qui colle tellement mal à sa personnalité. Tellement, tellement mal.- Il dégage de l'hormone de croissance masculine par tous les pores de sa peau hâlée, avec moustache et poils aux mentons mal rasés, quelques boutons occasionnels et voix baryton de la mort qui tue qui te nique les oreilles dès qu'il crie. Malgré ça, il est pas trop mal. On est d'accord, il vous fera ni fangirler ni exploser vos ovaires, mais si vous arrivez à distinguer quelque chose sous sa mèche châtain mal coiffée ultra longue, vous vous rendrez compte de son adorable sourire enfantin, de ses traits certes un peu lourds mais pas désagréable, de ses grands yeux bruns.
Parlons-en, de ces yeux, tiens. Ses yeux sont bruns, entourés de cils assez longs, et le reflet parfait de ce qu'il pense. Quoi qu 'Alex ressente, ça passera dans ses yeux, on lit en lui comme dans un livre ouvert... Quand il y a quelque chose à lire.
Et puis, un rider aussi. Pour les guignes totales en Anglais, un rider, c'est un « pratiquant ». Un pratiquant de ces sports tellement merveilleux, stupides et dangereux que sont les sports « extrêmes » : les sports de ride. En moins mystifiant : Alex est un fou de skate, de BMX, de scooter (trotinette), de rollers, de body board, de wake board, de wind surf, et on pourrait continuer longtemps comme ça. Retenez quand même le skate et le BMX.
Évidemment, ce genre de personnes, vous le savez, ne se fringuent pas comme n'importe qui. Non, tout est étudié pour permettre de pratiquer le plus possible : ses chaussures accrochent au grip de sa planche, ses t-shirt portent des slogans stupides style « Jesus was a freerider », son sac a des sangles pour accrocher sa board... Oui, il le sait aussi bien que vous, les profs (et certains élèves) ont quelques problèmes avec ce look. Mais Alex s'en fout.
Parce qu'Alex se fout de tout.








Alex est... Argh, mais comment vous décrire ça ?
Il est complètement, totalement et désespérément perdu.
Comment dire ça autrement ? Contemplez le, debout au milieu de la classe, fixant le plafond. Il n'est pas stupide, non. C'est que toutes les préoccupations d'un ado normal -les notes, les profs, la drague, la réputation-. Tout ça, il s'en cire éperdument. Il est totalement déconnecté des priorités et des réalités normales. Ce qui compte pour lui, c'est ses graphs, son skate et ses potes.
Plus un tas de choses inutiles et débiles.
Pour lui, un ballon coincé dans un arbre, ça compte. Un stylo planté dans le faux plafond, ça compte. Un enfant qui court après un autre, ça compte. Sur les murs, il représentent les choses qui compte à ses yeux. Suivez ses tags, et vous vous rendrez compte à quel point il vit dans un monde parallèle.
La plupart du temps, c'est un mollusque, en état de mort cérébrale non stop, comme s'il suivait éternellement un cours chiant à crever. Il ne pense à rien. Il flotte, il barbote tranquillement dans un océan de vide. Rien, nulle part. Il est bien, comme ça.
Il est monstrueusement mou. Il a un temps de réaction monstrueux. Entre le moment où vous l’appelez et le moment où il se retourne, vous avez le temps de mourir trois fois. Il reste planté, les bras ballant, à regarder un oiseau qui passe, et il en est tellement heureux.
Des fois, au milieu de ce vide, il y a une idée, une pensée, une question. La grande majorité du temps, elle n'a strictement aucun rapport avec la situation dans laquelle il se trouve et est totalement dénuée d’intérêt.
"Les singes se marient-ils? Comment fait-on pour déjouer une meute de loups enragés? Si on boit des cartouches d'encre, est ce qu'on a la langue bleue?" Ce genre de trucs.
Ce mec est bourré d'incohérences plus absurdes les unes que les autres. Il est mou, sauf quand il fait du sports. Il a une voix d'homme adulte, mais un vocabulaire et une syntaxe de gamin de quatre ans.   Il a un physique de braqueur de banques, mais une âme d'enfant.
Il est émerveillé, effrayé, enchanté par n'importe quoi. Il est remplie à ras-bord d'une candeur gamine et innocente. Il adore les Disney, il pleure quand Mufasa se fait écraser par les b...gnous et il rit comme un bossu aux blagues carambars. Il est d'une tendresse ahurissante et a un besoin permanent de calins et de gentillesse.
Il est profondément gentil, aussi. L'une des seules choses qu'il déteste est de voir les gens pleurer. Il ne comprend simplement pas le mauvais. Crachez lui à la figure autant que vous le voudrez, il ne comprendra pas et continuera de vous sourire. Vous vous lasserez plus vite que lui, croyez-moi.
Encore une incohérence : sa mémoire. Sa mémoire à l'image de sa taille. S'il a mangé des frites de 13 décembre à 20 heures 02, il s'en souviendra encore deux mois après. Pendant les interros, il replace à l'instinct les phrases qu'il se souvient avoir entendu en cours. Ça marche plutôt pas mal, car il a un excellent instinct.
N'essayez pas d'avoir une conversation normale avec lui, c'est impossible. La moindre parole est susceptible de le faire dévier sur quelque chose de carrément improbable. Il n'a absolument aucune notion du second degré, si bien que si vous lui dites « J'étais mort de rire », vous êtes un revenant. Une discussion avec lui, c'est comme chatroulette : vous ne savez pas où ça va partir mais vous êtes pratiquement sûr que vous allez vous amuser.
Enfin, Alex dessine bien, même s'il n'a rien à carrer de la peinture à l'huile. Lui, ce qu'il aime, c'est les bombes.









Alex est né à New York.
New York, la statue de la liberté, le tourisme, Wall Street, tout ça...
Mais les quartiers populaires et les vies étranges, aussi.
Sa mère était une femme seule, et pas spécialement heureuse. Alex ne connaîtra jamais son géniteur, sûrement un jeune New-Yorker bourré qui a fait une connerie un soir de cuite et ne l'a pas assumée.
La connerie en question, elle est née dans un hôpital pas très friqué, d'un quartier pas très friqué.
La connerie en question, c'était un gamin débordant de joie de vivre, malgré l'air fatigué de sa mère et avec l'affection de ses grands parents maternels, résidant dans le Minnesota, qu'il allait voir de temps à autres.
Alex aimait tout, tout le monde, toujours. Même maintenant, ses voisins se souviennent de lui. Maladroit, gaffeur, dyslexique, porteur de trouble, mais terriblement attachant.
Il commence à dessiner très jeune, sur les tables de l'école. Rendons à César ce qui appartient à César : ça n'a rien à voir avec les gribouillis des autres gamins. Il dessine bien, on lui dit, il le sait.
Il n'y a qu'une chose qui le gêne : sur les tables de l'école, seuls les écoliers peuvent voir ce qu'il fait. Et quel est l’intérêt de dessiner si ce n'est pas pour parler avec les autres ?
Cette question le perturbera jusqu'à ses douze ans, un jour des grandes vacances, où il zonait avec ses amis au skatepark. C'est un des grands qui lui montre sa voie : il sort une bombe de peinture et s'attaque à un mur.
Intéressé, il s'approche. Ils discutent, il apprend. Le grand l'invite à le regarder faire une autre fois. Puis une autre, une autre, encore une autre. Il regarde, puis il aide à tenir les pochoirs, puis il porte le matos, puis il fait le guet. Alex est maintenant quasiment toujours dehors, aidant les street artists du mieux qu'il peut. Il apprend vite les règles de bases, devient vite plus qu'un simple assistant : il est un des leurs à part entière.
Il grandit avec ses bombes de peintures et son skate. Sa mère, trop prise par les soucis financiers, ne se soucie que peu de la passion de son fils, et ses notes correctes la conforte dans ses position.
Au collège, Alex est fier de lui : il connaît le bruit des roues de la planche en pleine nuit, le plus vite possible avec le matos sur le dos, l'adrénaline piquante quand on se rend compte que les flics sont toujours derrière nous, le vent dans la face alors qu'on veut juste aller plus vite pour les semer dans ces quartiers qu'on connaît par cœur. Mais ce qu'il aime bien, lui, c'est voir ses œuvres, sur le chemin de l'école. Il sait que ses arbres multicolores et ses traces de pas fluos sur le trottoir ne tiendront pas beaucoup plus de quelques semaines : la pluie et la municipalité se chargeront d'eux. Mais c'est une fierté de les voir, ne serait-ce que quelques jours, et de s'asseoir sur un banc avec les autres street artist réunis pour l'occasion, regardant les gens s'étonner, s'insurger, s'émerveiller devant leur travail. N'importe quelle réaction le ravi : après tout, c'est le but, non ?
Son pseudo se fait un peu plus connu, car son travail est bon. Il a le droit à quelques résultats sur google images, et désormais, il n'assiste plus personne.
Malheureusement, un soir, il se fait chopper. Ses amis et lui n'ont pas remballés le matériel assez vite, il est déjà sur sa planche, mais trop tard : suivez nous jeunes hommes s'il vous plaît nous avons à parler.
Le sermon est interminable. Aucun des deux camps n'est convaincu de ce que disent les policiers et tout le monde veut juste que ça se termine vite. Ce qui se serait passer si Alex n'essayait pas d'argumenter. Toutes les personnes normales savent que quand on est au poste, on ferme sa gueule, on essaye de planquer ses bombes de peinture, et on acquiesce. Sauf Alex. Il s'évertue à expliquer qu'ils font ça pour rendre la ville plus colorée et moins ennuyante, que c'est de l'art, pas du vandalisme. Le pire, c'est que les policiers sont d'accord avec lui. Ils auraient largement préféré attraper à la place des faiseurs de tags moches, et laisser filer ces gamins qui mettent un peu de bonne humeur dans la ville et dont ils vont parfois admirer les œuvres en sortant du boulot, mais le hasard a voulu que ce soir ils feraient leurs travail à contre cœur.
Sauf que l'histoire s'envenime un peu, quand on découvre la relation entre la bande de street art et une autre bande beaucoup moins bienfaisante. Évidemment, cette relation ne passe pas par Alex, mais par des membres beaucoup plus âgés. Malgré cela, tout le monde devra passer la nuit au poste.
Au matin, la mère d'Alex est folle.
Elle refuse d'entendre les explications de qui que soit : son fils a passée une nuit au poste, elle en a complètement raté son éducation. Les relations mère/fils déjà distantes se détériorent. Elle lui interdit de sortir le soir, elle lui confisque son matos, elle planque sa board. Ça allait rapidement mal se finir quand enfin quelqu'un fait quelque chose.
Ce quelqu'un, c'est Mamie, qui propose d'éloigner Alex de New York, si ça fait tellement peur à sa mère. Elle connaît un bon établissement, où les petits enfants d'une amie sont déjà allé. Il y un internat, comme ça il ne sera pas obliger de faire tous les trajets tous les jours, il reviendra chez ses grands parents le week end, et une section artistique, comme ça il développera son talent autre part que sur les murs.
Alex n'a rien contre, tant qu'il peut revoir ses potes de temps en temps, au vacances. Sa mère n'a rien contre, tant que ça l'éloigne de New York. L'établissement n'a rien contre, vu les bons bulletins fournis, à part s'il commence à faire des conneries sur les murs.
Et comme personne n'a rien contre, il débarque à Volfoni.



Jushirô Himeruya
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Jushirô Himeruya
Âge du perso : 52 ans
Activité : Directeur
Spécialité : Participer aux conneries des élèves
Fonction : Directeur
Poste spécial : Professeur d'escrime du cursus Théâtre
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BIENVENUE ALEX 0/

Aha, j'ai ri en voyant le "J'ai l'argument béton !". Tu sais, on lit les fiches avant de dire non, quand même, t'inquiète pas. xD
D'ailleurs c'te fiche, parlons-en un peu avant que tu n'ailles gambader avec tes petits camarades. Je n'ai qu'une chose à dire : Oh mon Dieu ! Un homme, un vrai ! /paf/ Voilà, c'est fait. C'est complètement subjectif mais j'adore ton personnage. Une histoire simple, bien menée, sans rebondissements bidons, originale avec ça. Et dieu merci, tous les grapheurs ne sont pas des délinquants. Quant à tes descriptions, elles sont très complètes ET TU AS CORRIGE LE "BOEUFS" 0/* Félicitations ! Non mais tu mets de la bonne musique (selon Sigrid), tu nous fais une fiche impeccable et tu es sympa, on va pas te dire non pour les arts plastiques, on est pas si bêtes.
Pas vraiment de points négatifs, à part deux ou trois fautes d'étourderie qui traînent mais osef. En fait, je crois que ce commentaire va être l'un des plus courts, car je n'ai rien à dire ni à redire. C'est rare en ce moment, que des membres nous fassent des fiches aussi bonne,s sans qu'on ait à demander de modifications, alors, ben, voilà. Effectivement, personne n'a rien contre le fait que tu débarques à Volfoni, j'en suis même très heureux, alors te voilà validé mon cher petit.

Si tu as la moindre question ou remarque, n'hésite pas à nous le dire et j'espère vraiment que tu te plairas ici. ♥

Tu dormiras donc [https://academievolfoni.forumactif.org/f123-dortoirs-masculins]ici[/url] en semaine. Pour l'instant tu es tout seul mais cela ne durera pas j'espère. Tu peux toujours demander un transfert ici.

Viens signaler ton avatar ici : une fois fait, plus personne ne pourra te le piquer !

Envie de rejoindre un club ? Ton rang personnalisé te plait pas ? Il suffit de cliquer !

Tu veux participer au bal ? Premiers arrivés premiers servis, venez postuler ! Viens y faire un tour ! ▷

Trois sondages à remplir pour nous aider à faire évoluer le forum. Indispensable ! L'arrivée sur le forum - Les idées pour les events - Et l'invasion de prédéfinis !

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N'hésite pas à voter et à ramener tes amis sur le forum. Plus on est de fous, plus on rit !
 
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