Le début d'une colocation. [Alexander Lahaie & Zenko Kuromiya]

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Voila quelques jours qu'Alex a pris sa place dans la chambre numéro un. Dans ce long couloir, c'est la première sur la gauche, quand on sort des escaliers. On ne peut pas se perdre. Le premier jour, avec ses valises, quand il passa le pas de la porte, il constata que les chambres pouvaient accueillir trois personnes. La sienne en tout cas, il ne savait pas si cela été les cas de toutes les pièces qui prennent des élèves pour les longues nuits de l'année. Alexander avait rapidement déballé ses affaires, des cartons ont été déposés la en avance par une agence de déménagement. Cette chambre, maintenant, est le lieu qui lui servirait de maison. Il en avait une avant, mais allant à l'école et donc, n'ayant plus de revenu, il était plus simple pour lui d'entrer en interne au lieu de faire des allers retour en ville, loin, en plus.

Donc voilà comment il entra dans cette chambre. Lumineuse, spacieuse, sympathique. Il était vraiment le premier, aucun lits défait, aucun placard remplis, il était seul. Mais pour combien de temps ? Boarf, ce n'est pas important.  Au bas de son lit traînait déjà deux manettes. Si on suis le fil, on peut trouver au bout une xbox.. Dès la première heure elle été de sortie la fourbe. Un carton est encore en plein milieu, la flemme l'ayant assailli a force d’ouvrir, vider, ranger et tout le train train. Pour venir à cette école, la route avait été longue et il s'était endormis, habillé, tôt dans la soirée de sa première journée. Les suivantes, il a prit le temps de découvrir les lieux, et aujourd'hui, samedi, quinze heure, il est assis sur son lit, le regard sur le mur, là ou un poster d'assassin's creed semble discuter, ou assassiner son emploi du temps du trimestre.

Plongé dans ses pensées, notre jeune homme joue avec un tee shirt qui traînait sur son lit. Un tee shirt qu'il devrait mettre, vu que rien n'est sur son dos. Mais au fond il s'en fou, il est seul, et quand bien même il y eu quelqu'un, entre homme on s'en fou. Il faut savoir qu'il aimerait beaucoup que personne n'arrive, que cette chambre pour trois ne devienne qu'une chambre pour une personne. Il pourrait agir à sa guise. Peut être aurait-il du prendre un appartement plus près. Peut être. Mais pour le moment, il est tranquille et baille.

C'est à ce moment là que l'on frappe à la porte. Enfin, c'est ce qu'il pense. À moins que la porte se soit ouverte subitement. A sa montre, les aiguilles indiquent seize quinze. Les yeux sur la porte, il ne sait s'il doit se réjouir ou soupirer à la vu de sacs.
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LE DEBUT D'UNE COLLOCATION;

feat Alexander Lahaie;


Ah ! Bordel ! Putain de sacs ! Quoi je suis vulgaire ? Je parle très bien là ! Et c'est pas ma faute ! Mais là, j'ai cinq sacs sous les bras, et y a personne pour m'aider à les porter ! Même pas le type qui me guide jusqu'à ma chambre ! Lui, je le retiens. Mais je vais éviter de frapper le personnel dès le premier jour, alors je me contente de le fusiller du regarde de manière très explicite. Il le remarque. MAIS C'EST QU'IL SE FOUT DE MA GUEULE CE CON EN PLUS ! C'est mort, lui, je me le fais avant la fin de l'année !
Et puis d'abord, quitte à me laisser me débrouiller seul, pourquoi me refiler un guide ? C'est pas la première fois que je viens de ce lycée. Ok, je suis toujours en première année. A 18 ans. Mais y a de l'espoir, ma moyenne augmente de deux points par année redoublée. Au bout de cinq fois, ça va finir par être rentable. Même si je pense que j'ai atteins mon maximum de redoublement pour cette classe. Enfin bon bref, je les connais, les dortoirs, quoi.
Mais c'est la première fois que j'ai la chambre 001, maintenant que j'y pense. Pas que ce soit trèèèèèès important -à vrai dire je m'en fous, je sais même pas pourquoi mon cerveau l'a remarqué- mais bon, ça m'occupe l'esprit à autre chose qu'à maudire mon accompagnateur. Non mais sérieux, mec, casse-toi, je sais qu'il faut monter ces putains d'escaliers, et je sais que la chambre 001, c'est la première chambre à gauche. Non seulement je suis pas nouveau mais en plus c'est putain de logique !
Finalement, on y arrive, il me pointe une porte du doigt avec marqué « 001 » en gros dessus et me dit que c'est là. Sérieux, j'aurais pas deviné sans toi mec, merci. En plus ton soutien m'a été indispensable pour monter mes bagages. Franchement, je t'oublierais jamais. Pour de vrai. Je suis pas prêt d'effacer ta sale gueule de ma mémoire avant de te l'avoir complètement refaite.
Bon, ok, si j'avais pas autant de sacs, aussi, ç'aurait été plus facile. Mais, c'est pas ma faute ! J'ai un sac complet d'affaires de cours, de révisions, et tout le tralala, que mon père a empaqueté lui-même rien que pour mes beaucoup yeux. Et bien sûr, j'avais pas le droit de le refuser. Ensuite, j'ai deux sacs de vêtements, par ce que les sweats, ça prend beaucoup de place, et qu'on reste pas qu'une semaine ! Un autre sac avec mes affaires de sports, bien sûr, incontournable. Et le dernier rempli d' « effets personnels », comme dit mon père. Je crois que ça veut dire des trucs qui t'appartiennent, dont tu te sers, qui sont pas des vêtements ou du matériel obligatoire. Un truc comme ça. Enfin bref.
Le surveillant -il était toujours là- toque pour moi -délicate attention, connard- et se tire -enfin ! T'aurais au moins tu ouvrir la porte ! Non mais je vous jure ! C'est par ce que j'ai une gueule de délinquant ? Discrimination ! C'est pas ça qui va m'aider à apprécier la société, tu sais ? Va te faire... Non, là, je dérape. S'il a frappé, c'est qu'il y a déjà quelqu'un. Si je continue à m'exciter comme ça, je vais l'agresser avant qu'il ait rien fait, et il y a quand même de fortes chances qu'on reste ensemble tout l'année -à moins qu'il demande à changer de chambre et que ça le lui soit accepté. Moi je sais qu'on dira non, j'ai déjà essayé- alors autant pas commencer sur des bases hostiles. Surtout s'il est aussi bourrin que moi, même c'est pas trouvable, d'après mon père.
J'ouvre la porte comme je peux -en manquant de me casser la gueule en le faisant- puis j'entre en chancelant. C'est une chambre pour trois. Mais il n'y a qu'une seule personne pour l'instant. Et il me dévisage avec insistance. Quoi, t'as jamais vu un ours avec cinq sacs de voyages ? D'ailleurs, est-ce que je le connais, lui ? Je crois pas. Il doit avoir un an de plus que moi -génial, encore un endroit où je suis le benjamin ! Y a qu'en cours que je suis le plus vieux. Un peu trop, d'ailleurs. Faudrait peut-être que je « bosse » plus sérieusement. Enfin bref. Je remarque une console à côté. Un geek ? Quoi que, il est un peu tôt pour le classer. Beaucoup de mecs avaient une Xbox chez eux. Moi compris.
J'étais tout remonté d'énervement en entrant, mais maintenant que la source de mon agacement s'était tirée, je soupirai à m'en vider les poumons. Mine de rien, c'était assez intensif de monter toutes mes affaires comme ça. Je dois avoir une tête de zombie. Même ma voix st effacée. J'ai dû la perdre à force de me retenir de gueuler tout à l'heure.

    « Yo. »

Je lève mon bras le moins chargé en signe de salutation, et me dirige au pif vers un des deux lits pas encore occupé en laissant tomber mes affaires aux sol -tant pis pour les trucs fragiles- et m'affale sur le matelas encore bien bordé -mais pas pour longtemps. Une minute. Donnez-moi une minute de repos, et après je me présente convenablement.



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C'est à ce moment là que l'on frappe à la porte. Enfin, c'est ce qu'il pense. À moins que la porte se soit ouverte subitement. A sa montre, les aiguilles indiquent seize heure quinze. Les yeux sur la porte, il ne sait s'il doit se réjouir ou soupirer à la vu de sacs. Une montage de sacs sous et sur un homme qui semble avoir le même âge que lui. Bien, il ne sera pas avec un gamin pré pubère qui fait ses dents. Mais non, il est gentil le Alex.

En voyant la tête de son nouvel ami, il sourit. Rouge fureur, un peu ruisselant de sueur. Le souffle court. Et bien, était-il monté seul ? Pourquoi ne pas avoir fait plusieurs voyage avec un tel chargement. Pendant que notre homme se pose ses questions, plus ou moins futile, le jeune homme pénètre dans la chambre pour aller s'affaler, tel un ours après une bonne potée de miel, sur le lit qui l'accompagnera cette année. Sans ménagement, les sacs touchèrent le sol dans un fracas sourd. Quelques tintement d'objets apparemment fragiles se firent entendre. Alex laisse ce bœuf reprendre son souffle et se lève pour aller refermer la porte qui grinçait seule dans l'entrée. Une fois la poignée enclenchée, il réponds à son salut.

    «  Hey. »

La première rencontre est... comment dire : Fatidique. Elle est la base d'une relation. Mais Alex s'en fou. Il aurait pu avant, être content d'avoir quelqu'un à présenter à d'autre, mais il se contente de lui sourire gentiment.

    «  Personne ne t'as aidé pour tes bagages ? Ou faire deux voyages ? »

Il aurait su, si on l'avait appelé, il aurait pu lui venir en aide. Lui même avait fait deux voyages pour monter ses affaires. Le tee shirt tournant autour de son index, il reprend le chemin vers son propre lit. Du pieds il poussa une chaussure vagabonde et s'affala à son tour sur son lit. Il était fatigué et un bâillement fut un témoin important. Pourtant, la nuit avait été longue, entre les ailes chaleureuses de Morphée. D'une voix un peu éteinte, tellement qu'il douta qu'il l'eu entendu, il se présenta.

    « Moi c'est Alexander. Alexander Lahaie, j'suis à l'université et j'ai 21 ans. Et toi ? »

Puis, pour se rendre serviable, il l’informa, pointant du doigt un meuble blanc dans le coin de la pièce.


    « Si t'as soif, y'a de l'eau là-bas ».
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LE DEBUT D'UNE COLLOCATION;

feat Alexander Lahaie;


J'entend l'autre fermer la porte. Ah ouais, c'est vrai que je l'ai laissée ouverte... Oh et puis merde. Moi, je me repose. Ouais, par ce que, avant la montée des escaliers chargé comme un bœuf -oh putain j'ai utilisé une figure de style- y a eu le voyage. Vous savez, dans le bus pas confortable du tout, qui te fatigue à mort mais te laisse pas t'endormir. J'ai des courbatures, génial... enfin, ça partira vite, et puis je suis pas une chochotte.

    « Hey. »

Hein ? Quoi ? Ah oui, c'est vrai, on se salut quand on se voit pour la première fois de la journée. Je relève la tête, pour pas qu'il ait l'impression de parler au lit, quand même. Il sourit. Bon, ben au moins il a l'air sympa. Il joue avec son tee-shirt aussi. Chacun son truc.

    « Personne ne t'as aidé pour tes bagages ? Ou faire deux voyages ? »

Hn. Trop aimable de me le rappeler... Je grogne dans mon oreiller. Avec un peu de chance, s'il est pas parano, il le prendra pas mal. Mais il a pas fini de parler, alors il reprend en retournant sur « son » lit.

    « Moi c'est Alexander. Alexander Lahaie, j'suis à l'université et j'ai 19 ans. Et toi ? Si t'as soif, y'a de l'eau là-bas. »

Il me montre du doigt l'endroit concerné. Oh putain merci. Je me lève avant toute chose pour aller boire. Ça fait du bien. Et j'ai chaud, aussi. Je ne me gène pas pour enlever mon sweat, puis mon tee-shirt, lui il l'a déjà fait... En même temps, je répond à la dernière question, pour me présenter un minimum.

    « Zenko. Zenko Kuromiya. J'ai 18 ans. »

Je marquai un temps en jetant mon tee-shirt sur mon lit.

    « Lycéen. »

Non, je vais pas lui donner ma classe... Non, pas dès le première jour. Je vais passer pour un con. Enfin, c'est vrai que j'en suis un, mais bon.
Je me rassois en soupirant d'énervement.

    « Et non, on m'a pas aidé. La direction m'a refilé un guide pour pas que j'me perde dans un endroit que j'fréquente depuis quelques années, mais a pas été foutue de lui préciser de m'aider à trimballer mes sacs. Et ça lui ai pas venu à l'esprit à lui non plus, l'enfoiré... »

Je serre les poings en m'imaginant lui décoller une droite. Ouais, ça serait le pied. Mais c'est pas faisable. Dommage.

    « Et je fais pas assez confiance aux gens ici pour laisser la moitié de mes affaires en bas pendant que je monte le reste. Par ce que personne les aurait surveillées, bien sûr. Tch... »

Je me retourne vers mon camarade de chambre. Lui aussi a l'air fatigué. On se comprend au moins pour ça, hein ? Je me laisse tomber en arrière sur mon lit. Je me rend compte qu'au souvenir de l'autre enflure qui n'a pas été foutu de m'aider, mon ton est devenu très agressif. Je me calme un peu.

    « Désolé, mais ça m'a assez énervé... déjà qu'il en faut pas beaucoup ! -je te préviens déjà- Et puis j'suis un peu fatigué, là... Rien contre toi, hein. J'voudrais pas m'brouiller avec celui qui je partage la chambre dès l'premier jour... »

Ouais, j'ai déjà fait ça. Et après, c'est très chiant. Alors évitons de recommencer cette année.

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Du coin de l'oeil, il observe l'homme, nommé Zenko, à ce qu'il disait. L'eau semble lui faire du bien, ce qui est bien normal. Souriant, amusé, il se redresse sur son oreiller et le regarde se mettre à l'aise, enlevant les couches de tissus qui l’empêchaient d'avoir moins chaud. Son âge est presque comme le sien, il doit être en fin de lycée, très certainement. Alors il connaît les lieux comme sa poche.
Quand il aborda le point de l'aide qu'Alex avait abordé un peu plus tôt, sa vois prit un son plus glacial, agacé, énervé. Et bien, une armée d'écureuils armés l'avait attaqué en chemin ? Ah. Un guide seulement. Il ne devait pas être très futé a ce qu'il entendait.

Alexander le laisse parler, distrait enfin par une activité plus bruyante que le vent sur la vitre. Content de cette activité qui lui change de ces derniers jours, il regarde le comportement de son camarade de chambre. Rien qu'en l'écoutant, notre français appris plusieurs choses à son sujet. Un petit sanguin, une confiance à gagner – ce qui n'était pas vraiment important pour lui -, et de longues phrases.

L'adolescent posa les yeux sur lui, alors qu'Alex réprimait encore un bâillement. Ce que cela peut être agaçant. Zenko retombant sur son lit, il sembla se détendre, un peu. Notre brun le constata au son de sa voix. Et aux excuses prononcées, évidemment. Loin d'être un Sherlock Holmes, il est observateur et ne se borne pas à voir ce qui se trouve autour de son nez.


    «  Je comprends. Alors tu devrais peut être te reposer avant de t'installer. D'ailleurs que j'espère que t'es pas bordélique. Enfin, pas trop quoi t'vois. Juste comme ça. »

Attrapant une bouteille d'eau posée sur sa table de chevet, il s'hydrate avant de passer une main dans ses cheveux.

    « Quand bien même tu t’énerverais contre moi, je ne suis pas du genre à me laisser faire. Crois moi. »

Dans sa tête, des scènes de l’année dernière repassent, un faible sourire satisfait et triste s'affichant quelques brèves secondes sur son visage. Mais pour changer de sujet assez rapidement, il demande à l'homme.

    «  Si tu veux pas dormir, j'peux t'aider à déballer ses affaires. C'est plus court, à deux. »

Il dit cela par expérience. Seul, à son arrivée, les cartons et sacs de tissus ont mis plusieurs jours avant d'être complètement éventrés. Une main sur le ventre, l'autre derrière la tête, il attends la réponse de ce Zenko.

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feat Alexander Lahaie;


    « Je comprends. Alors tu devrais peut être te reposer avant de t'installer. D'ailleurs que j'espère que t'es pas bordélique. Enfin, pas trop quoi t'vois. Juste comme ça. »

Je lui jette un coup d’œil en travers. C'était quoi, ça ? Un ordre camouflé ? De l'impératif subtil ? Une autre figure de style de merde dans ce genre ? En tout cas, j'aime pas ça.
J'ai pas le temps de répondre, il boit un peu et continue. Ouais, autant qu'il dise tout ce qu'il a à dire là maintenant, je répondrais en bloc aussi.

    « Quand bien même tu t’énerverais contre moi, je ne suis pas du genre à me laisser faire. Crois moi. »


Nouveau coup d’œil de travers. Eh, là aussi ! Il me provoque ou quoi ? T'inquiète mec, tu vas pas avoir à me chercher longtemps !

    « Si tu veux pas dormir, j'peux t'aider à déballer ses affaires. C'est plus court, à deux. »

Quoi ? Lui aussi il passe du coq à l'âne comme ça ? C'est la nouvelle mode cette année ? Hm... Peut-être qu'il me provoquait pas vraiment, tout à l'heure, alors... Peut-être que je suis un peu trop parano. [HRP : No way?]
Je me redresse. Ouais, de toute façon, je suis trop énervé pour dormir, là.

    « ... S'tu veux. »

Je me lève et vais vers mes sacs. C'est vrai qu'ils traînent encore misérablement au milieu de la chambre. Je commence par les transférer sur mon lit. Alors, à droite, les vêtements, ensuite, les affaires de sports, puis les « effets personnels ». Le sac de cours il reste par terre.


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Nouvelle musique °w°'.




Il dit cela par expérience. Seul, à son arrivée, les cartons et sacs de tissus ont mis plusieurs jours avant d'être complètement éventrés. Une main sur le ventre, l'autre derrière la tête, il attends la réponse de ce Zenko.  Une réponse qui mis plusieurs secondes avant de lui parvenir. IL ne semblait pas vraiment enchanté de l'aide proposé. Est-ce que Alex se comportait d'une façon déplacé ? Trop familière ? Des questions dont il se foutait au fond mais qui se posèrent à lui par habitude, par éducation, si l'on puis dire.

Car oui, Alex était seul, avant et cela lui convenait. Il ne se sentait pas vraiment d'avoir quelqu'un d'autre dans les pattes. Encore plus proches que ces parents n'eurent pu l'être, avant. Lanuit, il lui arrive encore de faire des cauchemar, de se réveiller, comme s'il avait fait Lyon-Paris en courant, de pleurer dans la nuit. Des choses que son statut d'homme ne lui permet pas de laisser voir à n'importe qui. Quand il eu pris conscience de ce que la présence de Zenko allait engendrer, il soupira. Cette année ne serait finalement pas de tout repos.

Certaines fois, il pressent quand sa nuit sera mouvementé, alors peut être ira-t-il autre part. Et qu'importe si cet individu s'en rends compte.

La réponse de Zenko peu enjouée lui donna l'occasion de sortir de ses pensées et aussi de se lever. Dans un bond agile, il fu debout et pris place à coté de lui. Les sacs éparpillés s'étaient regroupé autour du nouveau. S'approchant du sac qui contient apparemment les vêtements, Alexandre le prends avant d’ouvrir une armoire allouée pour l'occupant de ce lit.

    «  T'as une façon d'ranger tes fringues ? »

Question con, vous en conviendrez mais selon la personne, l'armoire ressemble à rien ou à pas grand chose. Une armée, quelle soit composée d’écureuils ou de Koala n'aura as la même allure, non ? Puis en vu de sa suceptibilité, il ne voulait pas le froisser en en faisant de même avec ses fringues. - notez le jeu de mots hein... -

Puis pour lancer la conversation, pour faire connaissance, hein, il demande :

    « Tu passes ton diplôme cette année alors ? »
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feat Alexander Lahaie;


    «  T'as une façon d'ranger tes fringues ? »

Je relève la tête. … Ben. Comme tout le monde, non ? Les sous-vêtements d'un côté, les pantalons d'un autre, etc... C'est plutôt con comme question. Enfin, d'un autre côté, c'est sympa d'avoir demandé, ça me montre que j'étais peut-être un peu trop parano plus tôt en pensant qu'il me cherchait. Enfin, c'est pas nouveau ça.
J'hausse les épaules.

    «  Tant qu'je m'y r'trouve. »

Ça devrait être possible, j'ai pas une garde-robe de cinq mètre de long. Je replonge quand mes affaires. Tiens, je me rappelais pas avoir amené un réveil. Ma mère a dû l'incruster dans mon sac. Bon, c'est pas grave. Je le pose à côté de mon lit. Même si je m'en servirais pas.
Je vérifie que j'ai bien pris le chargeur de mon portable, par ce que sinon, je suis dans la merde. C'est bon, je l'ai. Faut dire que j'ai fais mes bagages au dernier moment -comme d'habitude- alors, ça m'arrive souvent d'oublier des trucs. Heureusement, en général, ils sont pas très importants.
Je vais vers le bureau qui m'est à partir de maintenant attitré pour y poser mon bordel -que je ne prend même pas la peine de sortir de mon sac, pour l'instant.

    « Tu passes ton diplôme cette année alors ? »

Je pose violemment mon sac sur le bureau. Ahem. Le mauvais sujet à aborder. Je suis pas du genre à raconter des bobards. Mais j'aime pas qu'on se foute de ma gueule non plus. Enfin, l'un des cas est plus facile à régler que l'autre.
Je me racle la gorge en espérant ne pas avoir cassé des trucs dans mon sac. Faut vraiment que j'apprenne le self-control. Un jour.

    « Hem... Pas... vraiment... »

Ouais, je suis un gros cassos qui en plus de frapper les p'tits n'est pas foutu de passer la première année de lycée. J'ai déjà trop redoublé et si je passe pas cette année, je suis viré. Mais je crois que je vais me contenter de cette réponse pour l'instant. Ne t'enfonce pas dans ce sujet, mec, je t'en pries, je suis pas d'humeur à déjà parler de mon niveau scolaire minable !
Et encore, à force, je crois que j'ai saisi quelques trucs en maths. Avec le sport en plus, je devrais avoir une moyenne potable. Finalement. Je m'active à ranger mes affaires pour penser à autre chose.


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Écureuil, mon ami..



Et bien, ce sont des cartons emballés dans du papier bulle qu'il aurait du prendre pour préparer ses affaires. Et vas-y que je jette, que je shoot, que je lâche mon sac sur le sol dur, tout en abîmant son contenu. Alex espère pour lui qu'il n'a pas prit de choses trop fragile. Car le bureau à beau ne pas être d'une qualité de fou mais il est en bois quand même quoi, c'dur et résistant ces bêtes là. En tout cas, il semble que la question du diplôme ne soit pas une chose agréable à aborder car c'est bien suite à cette question que Zenko à poser sans ménagement son bagage sur la table. C'est noté dans un coin de sa tête.

Son nouvel ami se racle la gorge, le consolidant dans ses hypothèses. Et élude la question. Alexandre, grand psychologue, spécialisé dans les divorces d'écureuils morts comprends qu'il n'a pas à commenter. Alors il sourit, lui tournant le dos tout en s'acquittant de sa tache assez rapidement. Tout les fringues dans l'armoire il passe une main sur sa nuque en se tournant.

    «  Donc, j'ai finis. »

Puis regarde ou sont les autres sacs.

    «  Apparemment toi aussi. Ca a été rapide. »

Content d'avoir finalement fini assez rapidement, il se baisse pour remettre son jean correctement sur ses chevilles, il n'aime pas trop marcher dessus, ca abîme. Et depuis qu'il se paye les fringues, il fait attention, ouais.

Quelques pas le sépare de son coin de chambre. Et un coup d'oeil sur l'horloge lui indique que de longues minutes sont passées. Un coin d'oeil à sa montre pour un rappel tout à fait inutile, il se met soudainement à s'affairer un peu plus activement, mais ce la n'est pas vraiment visible. Il est juste moins paresseux. Car bien qu'il ne soit pas si tard que cela dans la fin d'après midi, seize heure, seize heure trente, il est l'heure pour lui d'aller à la douche. Car oui, il n'aime pas prendre sa douche au même moment que les autres, alors très souvent, il y va en avance. Ne croisant que très peu d'autre homme. Juste assez pour ne pas le déranger.

    «  C'est l'heure … de la douche pour moi. Alors si tu n'as pas besoin d'aide, j'peux te laisser ? »
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LE DEBUT D'UNE COLLOCATION;

feat Alexander Lahaie;


Je débale mes affaires à toutes vitesses. C'est devenu mécanique à force, année après année. J'ai vite fini, et je referme mon sac maintenant vide. En toute synchronisation avec Alexander.

    « Donc, j'ai finis. Apparemment toi aussi. Ça a été rapide. »

J'hoche de la tête et retourne m'asseoir sur mon lit. Bon, maintenant que le « plus important » est fait, je pense que je vais me reposer un peu... Quoi que. Je suis bien tendu et j'ai attrapé chaud, tout à l'heure, alors peut-être que je devrais...

    « C'est l'heure … de la douche pour moi. Alors si tu n'as pas besoin d'aide, j'peux te laisser ? »

… prendre une douche... … Hum... Bon. J'hésite un instant avant de répondre. Je sais pas vraiment pourquoi, certainement par ce qu'une petite voix au fin fond de mon crâne -... j’entends des voix maintenant moi ? Faut que j'arrête de boire...- me dit que ça va pas lui plaire des masses. Enfin. Si je devais attendre que tout le monde soit content pour prendre une douche.
Je soupire. Déjà assis, faut je me relève encore. Je devrais plus réfléchir à ce que je compte faire dans les minutes qui viennent, par ce que c'est chiant à force.

    « Non, c'est bon. »

Oui, les merci, ça m'arrache la gorge, un problème ?

    « J'crois que j'vais y aller aussi, de toute façon. »

Je remet au moins mon tee-shirt. J'y serais bien allé comme ça, mais je me suis déjà fait engueuler par un surveillant surexcité l'année dernière par ce que je traînais en calbut' dans les couloirs de l'internant. Il leur en faut vraiment peu à ceux-là...
J'ouvre mon armoire pour chopper une serviette. Ça va, il a bien rangé mes affaires.





[HRP : On ne se débarrasse pas de Zenko comme ça 8D /SHOT/]
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