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Thème musical




Nom : Dixon
Prénom : Gabriel
Âge : 17 ans
Origines : Américaines
Sexe : Homme
Orientation sexuelle : Bisexuelle à tendance homosexuelle

Statut : Lycéen
Régime : Interne
Poste spécial au sein du pensionnat ? : Parrain

Cursus choisi : Artistique - les arts numériques
Spécialité : Photos de couleurs, grands formats, scènes quotidiennes
Groupe souhaité : Intello

Rang : Gardien du temps (en rapport avec la photographie)

Précisions : Gabriel a une phobie assez... particulière, l'algophobie, qui n'est autre que la peur de la douleur. Mis à part cela, il ne peut s'empêcher de tapoter la surface de la table lorsqu'il est penché sur une feuille ou un cahier qu'il lit avec une très grande concentration. Son péché mignon est la pâtisserie.

Adresse à laquelle envoyer votre dossier : HIVBGYF !


       







Si vous n'avez pas encore rencontré Gabriel mais que vous avez tout de même le privilège d'admirer l'une de ses récentes photos, votre première pensée sera peut-être: "Ouah, il est canon! Et musclé! C'est probablement un athlète, il doit être grand!". Hé biiiiiien... non. Malgré sa carrure d’athlète, il n'est pas aussi grand qu'il serait facile de croire. Il mesure un petit mètre soixante-cinq et pèse 70Kg tout mouillé. Sans oser se l'avouer, Gabriel est complexé par sa taille et se considère comme quelqu'un de chétif, justement à cause de cet énorme défaut qui l'incommode et le met mal-à-l'aise. Et c'est pour cette raison en particulier qu'il s'acharne autant à se muscler, à entretenir son corps et prendre soin de lui en mangeant sainement, d'autant plus que c'est important pour la santé que d'avoir une alimentation saine et équilibrée! Il n'aura de cesse de vous le répéter, surtout s'il vous prend en flagrant délit en train de dévorer un triple cheesebuger. Si si, ça existe!

Mis à part cet inconvénient, Gabriel estime avoir un certain charme, notamment auprès de la gente féminine, alors qu'il est plutôt attiré par la force obscure la gente masculine. Il est vrai que bon nombre de ses voisins le décrivent comme un garçon très charmant et mignon:

"Gabriel? C'est un beau garçon, oui, un beau garçon... Un peu petit pour son âge, mais très séduisant, oui. Très... J'aime beaucoup ses cheveux. Comment qu'ils disent, les jeunes, de nos jours? Blond platine, c'est ça? Dommage qu'il ait pas les yeux bleus. Ça lui serait bien allé, je crois bien... Une belle petite bouille, un enfant vraiment adorable. Vraiment. Peut-être un peu trop sérieux et pas assez souriant, mais on ne va pas lui en vouloir pour ça, que voulez-vous!" Commentaire d'une voisine âgée de 78 ans.

"Gabriel? Il est juste trop canon! Non, mais sérieux! J'le kiffe ce gars, il a un regard... Mmh! Et puis ses yeux! Ses petits yeux noisettes... Je peux pas m'empêcher de rougir dès qu'ils se posent sur moi! J'adore aussi ses cheveux blonds. Ils sont toujours très bien coiffés, en ordre, impeccables... mais il est tellement plus séduisant quand ses cheveux sont au vent et qu'il a ce regard si sérieux, implacable! J'ai déjà imaginé mille fois embrasser ses lèvres rouge cerise. J'aimerais qu'il s'intéresse un peu à moi, vous savez. Je suis assez jolie, pourtant, je devrais l'intéresser!" Commentaire d'une camarade de classe âgée de 15 ans.

"Gabriel? Son charme est un véritable mystère, une énigme à la fois scientifique et poétique. Il incarne la complexité du genre masculin par son regard d'acier impassible, aussi froid que les grandes étendues glaciales de la Sibérie, et pourtant aussi chaud que le désert aride du Sahara. Il se veut à la fois amical et sévère, tranchant et chaleureux, souriant et froid. Parfois, j'ai l'impression de lire, au fond de ses yeux, une grande solitude, une tristesse infinie qui me transperce le cœur et le brise en mille morceaux. Son regard est un pur chef d'oeuvre, un mélange de sentiments contradictoires assez poignant qui vous transperce en une fraction de secondes et vous déstabilise. Je n'ose jamais le regarder en face, plonger mes yeux dans les siens, car j'ai toujours ce sentiment qu'il me sonde, m'analyse. J'ai l'impression d'être jugé comme le témoin derrière la barre dans la cour de justice. Impossible d'ignorer un tel regard..." Commentaire d'un universitaire âge de 20 ans.









S'il y a bien une chose qu'il faut retenir de moi, c'est avant tout que je suis un ancien Amish et que ma vie a pris un tournant radical le jour où j'ai dû choisir si je voulais continuer ma vie parmi les miens, ou si je désirais choisir ma propre voie et partir à l'aventure, vivre en tant que citoyen dans une ville où l'électronique, la musique, et bien d'autres choses encore, ont su avoir de l'importance aux yeux des humains. C'est ainsi que j'ai découvert la photographie. Mais avant de vous conter mon histoire, laissez-moi vous raconter un peu quel genre de personne je suis.

Les gens, autour de moi, me définissent comme quelqu'un de beaucoup trop sérieux et axé sur les études. Ils n'ont pas tort, mais ce qu'ils ignorent, c'est que j'aime véritablement les études et qu'elles m'apportent la plénitude que je cherchais au sein de ma famille. Et puis, le cercle d'étudiant qui m'entoure est complètement différent des filles et garçons que j'ai fréquentées dans mon ancien village. Je me souviens avoir été trop souvent ignoré en primaire et au collège, ou avoir été sans cesse la risée de mes camarades de classe. Alors, en entrant dans ma nouvelle vie, j'avais simplement voulu me consacrer corps et âme à l'art numérique qui m'intriguait au plus haut point et donc ne pas nouer le moindre lien que ce soit... mais il faut croire que ces étudiants sont de véritables sangsues, et ma vie les intrigue plus que je ne l'aurais cru. Chaque fois que j'évoque ma vie passée, ils sont fascinés et impressionnés, avant de me demander pourquoi j'ai choisi de les rejoindre plutôt que de rester auprès de ma famille.

Au fil du temps, j'ai donc appris à m'adapter et à cesser d'être méfiant en croyant naïvement que chaque personne de mon entourage veut me faire du tort. Autrefois, j'ai été le centre de mir pour ce qui était des mauvaises plaisanteries ou des farces de mauvais goût, aujourd'hui... je suis plutôt l'ancien Amish reconverti en citadin Américain, simple et modeste étudiant qui découvre un monde nouveau et tente de tracer son chemin. Autrement dit, j'ai un très grand cercle d'amis et croyez bien, j'en suis le premier surpris. Ici, les étudiants ne sont pas complexés par la religion ou même la sexualité bien que, malgré ce point important, je n'ose toujours pas m'affirmer comme homosexuel dans la société, surtout pas après tous les vices que j'ai subi.

Je ne refuse jamais de boire un verre en agréable compagnie, mais il est absolument hors de question que j'en délaisse mon travail. Si je suis en retard, alors je me prive de tous les plaisirs et ne me laisserai sûrement pas piétiner par des élèves moins sérieux qui préfèrent s'amuser plutôt que d'étudier ou réviser. Je veux réussir mon année.

Cependant, je suis toujours très enclin à aider quelqu'un dans la difficulté, qu'il s'agisse de simples révisions ou d'un autre type d'aide. J'ai beaucoup de tendresse et d'affection à revendre et je suis quelqu'un de très curieux, bien que la curiosité semble être, ici, un défaut plus qu'autre chose. Je suis également très patient et j'encaisse les coups avec un calme assez incroyable. Je ne laisse quasiment jamais transparaître ma colère ou ma tristesse, cependant... un jour ou l'autre, il faudra bien que ces sentiments explosent au grand jour et se montrent enfin. Aussi, je me sais être quelqu'un de jaloux. Très jaloux. Cette jalousie est née au fil du temps, à cause de mon frère. Désormais, tout ce que les autres ont et que je n'ai pas me met dans tous mes états, bien que je tente de cacher ce sentiment. Cette jalousie maladive m'a conduit à développer un autre défaut assez pénible: la rancœur. Je ne pardonne pas aussi facilement et je peux me souvenir d'une chose qui m'a déplu des années durant, alors qu'elle a été effacée des mémoires depuis belle lurette déjà. Un homme en colère n'oublie jamais l'origine de sa colère.









[Ce qui ne tue pas rend plus fort]
Je soupire et pose mon front contre la porte de ma chambre, anéanti. Encore une dispute. Ça n'en finit plus. Depuis plusieurs semaines, ils n'arrêtent pas de crier, hurler, s’époumoner, c'est insupportable. Je ne comprends pas ce changement si brusque. Il y a quelques semaines encore, ils s'aimaient d'un amour fou, se souriaient souvent et se chuchotaient des mots d'amour à l'oreille. Parfois, je surprenais ma mère le visage rêveur et je lui demandais ce qui n'allait pas, alors elle me répondait toujours la même chose: "J'aime ton père, c'est l'homme le plus merveilleux au monde". Il y avait cette étincelle de joie et d'amour dans ses yeux, ce regard lumineux qui ne la quittait jamais, cette simplicité qui la rendait si légère. Elle était pleine d'énergie et avait beaucoup de joie et de bonheur à revendre. C'était une femme d'exception. Et puis, un jour, brutalement, ce rêve a été brisé. La première dispute a éclaté. Depuis, ça ne s'arrête plus.

J'en souffre. J'ai peur qu'ils se séparent. S'il se séparent, avec qui je vais vivre? Est-ce que l'un d'eux aura assez de temps pour s'occuper de Gareth? Ils sont tellement pris par leur travail...

Une larme glisse sur ma joue et je m'empresse de l'essuyer, puis colle mon oreille contre la porte pour écouter les échanges sulfureux de mes parents, le cœur serré. J'ai un poids dans la poitrine. C'est douloureux et oppressant, mais je ne peux rien faire pour réparer le cœur de mes parents et les réconcilier, ils sont remontés l'un contre l'autre et se haïssent. Je ne m'étais jamais aperçu que la barrière entre l'amour et la haine était aussi fine et qu'il suffisait d'un pas pour passer de l'un à l'autre.

- Tu n'es qu'une ordure! Va pourrir en Enfer jusqu'à la fin des Temps!
- Tu crois peut-être si bien dire? Tu ne t'occupes jamais de nos enfants!
- Quoi? Je n'en reviens pas! Comment oses-tu parler d'eux et surtout me dire une chose pareille? Je travaille comme toi, je m'occupe de la cuisine, du ménage, ET des enfants, alors que tu ne fais rien! Et de surcroît, tu me trompes!
- A qui la faute, si tu ne veux jamais de moi!
- Tu ne t'ai jamais demandé pourquoi j'étais si fatiguée le soir? Tu me délègues toutes les tâches de la maison, tu vois en moi une parfaite petite ménagère mais une piètre amante qui refuse de combler tous tes petits désirs et caprices! Mais si tu me respectais un peu plus et si nous partagions les tâches, j'aurais peut-être un peu de temps à te consacrer, égoïste!
- Dois-je te rappeler que nous avons chacun notre rôle à tenir? Le tien est d'entretenir notre foyer et le mien d'agir pour le bien de la communauté. Je travaille dur chaque jour qui s'écoule!


Je ne comprends pas tout, je sais seulement que papa n'aide pas beaucoup maman. Chaque soir, elle me semble épuisée, comme si elle portait le poids du monde sur ses petites épaules trop frêles. J'ai souvent eu envie de la consoler, de lui dire que tout va bien, mais je pense que mes mots sonneraient faux. Alors j'essaie parfois de l'aider, mais je suis encore trop petit et quand je lui demande de me donner une tâche à accomplir, elle me sourit et me caresse la joue en disant: "ça va aller, ne t'inquiète pas".

[Baiser volé]
Malheureusement, chez les Amish, le divorce est interdit, et mes parents sont donc contraints de se supporter l'un et l'autre. En public, ils essaient d'afficher bonne mine, mais certains nourrissent des doutes quant à la fragilité de leur couple, bien qu'ils ignorent encore l'origine de leur mésentente. Et peut-être est-ce mieux ainsi, car j'ignore tout à fait ce qui pourrait se passer si jamais l'Église avait vent de l'adultère de mon père.

Cependant, mes espoirs sont rapidement balayés. Quelqu'un a dû avouer la faute ou alors parler un peu trop vite, un peu trop fort, mais il n'empêche que mes parents sont excommuniés. Maintenant, leur seule chance de pouvoir rester au sein de la communauté est de prononcer une confession publique devant l’Assemblée. Après avoir purgé leur peine, le pardon du groupe et la chance d’un nouveau départ leur sont accordés. Ils acceptent et je vis désormais avec ma mère.

A l'école, tout le monde en parle et je suis effondré. Je ne supporte pas que mes camarades de classe discutent si légèrement d'un sujet aussi sérieux qui me brise le cœur et me rend triste. Maintenant, tout le monde sait que je suis l'enfant de parents divorcés et certains se moquent de moi en disant que ma mère est cocue. Je ne sais pas ce que ça veut et je m'en fiche. Je n'ai pas envie de savoir, j'aimerais seulement qu'ils arrêtent de rire de ma situation. Ils ne savent pas ce que ça fait, ils ne sont pas dans mon cas et j'ai envie de le leur crier, mais j'en suis incapable. Les mots restent bloqués dans ma gorge. Je me sens ridiculement petit et surtout très lâche de ne pas oser m'affirmer ainsi. Je dois sûrement donner une image assez pathétique de moi. Les professeurs tentent de me consoler, m'encouragent à parler à mes camarades et menacent d'en discuter avec mes deux parents respectifs si je n'agis pas, mais je ne peux pas. C'est au-dessus de mes forces. Ils en demandent beaucoup trop.

Aujourd'hui est un jour comme les autres, et l'heure de la récréation est arrivée. Un de mes camarades, des rares qui m'adressent encore la parole et ne se fichent pas de moi, me propose de jouer. J'accepte. Il court devant moi, j'attends un peu avant d'essayer de le rattraper. Puis enfin, j'entame ma course... et je ne vois que trop tard le pied qui se tend devant moi, présageant un mauvais accident. Je ne m'arrête pas à temps et trébuche sur le pied. Mon corps se soulève dans les airs et je fais un vol plané incroyable, sous les yeux éberlués de tous mes camarades. Mon ami se tourne alors vers moi et je vois la peur traverser un instant son visage avant que je n'atterrisse entre ses bras, nous projetant tous les deux.

Je suis un peu sonné, mais les rires autour de moi m'obligent à ouvrir les yeux... et je vire au rouge lorsque je m'aperçois que mes lèvres sont posées contre celles de mon camarade de classe. Il me repousse violemment en s'essuyant la bouche avec un regard écœuré.

- Mais qu'est-ce que tu fais? J'te déteste!

Il tourne les talons et prend la fuite en pleurant. Malgré les moqueries, j'ai l'impression qu'un silence lourd s'est installé. Une fois de plus, je ressens ce sentiment de rejet et d'abandon. Une fois de trop. Finalement, je suis incapable de garder mes amis près de moi, la poisse me poursuit et s'accroche à moi comme une sangsue. Je viens de perdre le seul ami qui me restait et qui, maintenant, me prend pour un pervers. Les mots "fils de divorcés" ne coulent plus de la bouche des enfants qui m'entourent, mais désormais, c'est: "Aaaah, Gabriel est homo!".

[Un nouveau départ]
J'inspire profondément et lève la tête pour contempler le ciel d'un bleu profond parsemé de nuages blancs. C'est une magnifique journée, en perspective. Elle présage un nouveau départ pour moi. Il est enfin temps de découvrir ce qu'est "l'Autre Monde", comme j'aime à l'appeler. Je suis libre de faire ce que je veux. Je n'ai plus aucune obligation envers la communauté et, à 21 ans, il me faudra faire un choix: rester auprès d'eux et mener ma vie parmi eux, ou envisager un nouvel avenir dans l'Autre Monde. J'ai 5 ans pour me décider et j'ignore encore ce que je vais faire, mais je me sens tout excité.

J'aimerais, avant toute chose, découvrir un nouveau pays et donc quitter l'Ohio. Le Minnesota m'intéresse grandement. Un ancien Amish est allé y vivre, affirmant que le paysage, là-bas, est simplement superbe. Il y a poursuivi ses études et a découvert des choses assez incroyables que nous, simples Amish, n'aurions jamais imaginées. Il s'est également découvert une passion pour le cinéma et revendiquait les vertus de la télévision. J'ignore si c'est aussi merveilleux qu'il le contait, mais j'ai hâte de le découvrir. J'envisage moi aussi de continuer à étudier pour découvrir de nouvelles choses encore.

C'est ainsi que je découvre l'Académie Volfoni. Intrigué, je me renseigne sur ce qui y est enseigné et l'art numérique attise ma curiosité. Je décide alors de visiter un musée abordant le sujet et regarde avec attention les photos accrochées dans une des pièces, mais l'une d'elles attire mon attention plus que les autres. Un parterre de feuilles mortes. Dans le coin à gauche, le morceau d'un tronc d'arbre. A son côté, la moitié d'une roue de vélo. Cependant, c'est cette feuille parmi toutes les autres qui attire mon regard. Cette feuille fripée, desséchée, repliée sur elle-même, parmi toutes ces feuilles rouges, jaunes ou brunes, qui tapissent le sol. Elle n'a pas vraiment sa place ici. C'est un peu comme une tâche dans un décor. Elle dérange en même temps que d'intriguer.

Elle me rappelle un peu ma mère, avec ses rides qui commencent à apparaître sur son front, ces rides creusées par l'inquiétude, la tristesse, la colère et le désespoir. La voilà. Elle est juste sous mes yeux, représentée par une simple feuille. Elle est repliée sur elle-même, elle est différente de toutes les autres, elle est ignorée, silencieuse. Elle fait tâche au milieu de cette foule de magnifiques jeunes femmes éclatantes, souriantes, pétillantes. Elle est frêle, frissonne. Elle est fragile et pourrait se briser facilement. Il suffirait d'une petite brise pour la détruire. D'un simple petit mot murmuré à l'oreille pour l'achever. La fatalité de la fausse vérité, ce vent tueur qui espère envoler tous ses espoirs et la réduire en miettes.

Cette photo reflète son état d'âme, ce qu'elle est devenue depuis le divorce. Elle me fascine, me subjugue. Je dois la partager. Je dois la faire découvrir.


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Je pense avoir terminé ^^
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pssssss... et mon gars!psssssss... tu as oublié la partie "précision" de la première partie! ôwô!
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Merci de l'avoir signalé, je l'ai complétée ^^
Jushirô Himeruya
ᎷᏒ
Jushirô Himeruya
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Bon bon bon !

Et bien sois le bienvenu parmi nous Gabby ♥
Juste un dernier truc ui n'est visiblement clair pour personne : ton cursus, c'est la photographie, et ta spécialité bah... ta spécialité. Photos en noir et blanc, photos de sport, d'information, portraits, paysages, fleurs, scènes quotidiennes, formats carrés, panoramiques, photos de nuit, détails... Bref, une spécialité quoi. Evidemment, puisque Gabriel commence tout juste, tu peux très bien dire qu'il s'essaye un peu à tout, mais pense à le préciser et dans ta fiche et dans ta feuille de personnage. A part ça, pour moi c'est tout bon.
Bah oui, sinon je te validerais pas, je sais, c'est logique ._.
Franchement, j'aime bien mieux ta fiche maintenant, je serait-ce que parce que l'histoire et les brimades subies par Gabriel à l'école sont justifiées. Son caractère aussi est plus cohérent vis à vis de l'histoire, et puis faut quand même dire qu'être un Amish, ça a la classe. Ça va bien au caractère sérieux de ton personnage, et le fait qu'il fasse de la photographie est à la fois intéressant et plein d'enjeux. Si il découvre qu'il aime vraiment la photo, ça influencera certainement beaucoup sa décision à ses 21 ans, donc c'est pas juste pour s'amuser ou par plaisir qu'il se lance là dedans, ça a vraiment de l'importance pour la suite de son histoire. J'aime bien les personnages comme ça, où les gens mettent vraiment de l'imprévu et des conséquences dans leur histoire, et ne font pas un perso avec un caractère et une biographie passe-partout qui donnent des RPs assez répétitifs et l'impression qu'il n'auront absolument aucun intérêt pour la suite. Puis faire un Amish quoi... J'avais balancé ça un peu la rigolade, et je suis surpris de voir que tu l'as pris autant au sérieux. Non seulement c'est assez original, mais en plus c'est drôle, parce que du coup Gabriel débarque un peu sur une autre planète, il n'a certainement jamais utilisé internet ou même un micro-ondes et intégrer Volfoni, c'est pas juste arriver dans un nouveau bahut, c'est entrer pleinement dans un monde qu'il ne faisait qu'observer de loin.
Bref, c'est cool.
Voilà, t'es tout bleu maintenant 0/

Tu dors désormais ici, et ne tripote pas trop Elliot. Tu crois que je t'ai pas vu venir avec ta demande d'internat, hein ? Tu peux toujours demander un transfert ici.

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