Reby Lavi Tettsui, jeune beau gosse en puissance né à Tokyo, capitale nippone, en 1990.

Ca en jette comme phrase d'intro ! Je suis trop fière. *Tousse*.
Ma naissance a été un miracle, bien évidemment ! Un tel bébé, ça ne peut être que ça. Plus sérieusement, ma mère n'avait que très peu de chance de tomber enceinte. C'est pour ça que quand je suis arrivé, on m'a pourri gâté. Mes parents m'ont donné un amour inconditionnel, donc j'ai toujours pensé que j'étais quelqu'un d'exceptionnel si c'est la question que vous vous posez.

Toujours très entouré, j'étais le centre d'attention de ma famille ainsi qu'à l'école. J'ai jamais vraiment sut passer inaperçu. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours tourné autour des filles et fait un tas de grosses conneries avec les copains. Déjà petit j'étais infernal, partagé entre la bonne flemme et le débordement d'énergie. Invivable je vous dis ! Mais on était heureux tous les trois.

Le jour le plus marquant de ma vie était un samedi. On avait décidé d'aller se balader avec mes parents, faire les magasins, ce genre de trucs plutôt sympa à faire en famille. J'avais eut un tas de beaux cadeaux, encore, on avait mangé comme des rois. Une journée parfaite quoi, puis sur la route du retour un chauffard nous a fait une queue de poisson, notre voiture est sortie de la route pour aller foncer droit dans le décor. Lorsque j'ai ré-ouvert les yeux, il y avait beaucoup de gens autour de moi, ma vue semblait différente et je ne voyais mes parents nul part. On me conduisit à l'hôpital à peine conscient. Dans l'ambulance, les secouristes parlaient de choses comme "que va t-il devenir ?", "tu crois qu'il a de la famille quelque part ?", "il est si jeune, à peine 14 ans"... J'avais peur. Une fois installé dans mon lit, un médecin m'annonça une cécité à l'oeil droit, causé par un choc violent lors de l'accident. Il me demanda également si j'avais de la famille, avant de m'apprendre que je ne reverrais plus mes parents.

A ma sortie, c'est mon grand père paternel qui vint me chercher. Le temps passa, la vie reprenait son cours et arriva rapidement mon entrée au lycée. Là bas je connu mon premier et mon seul amour jusqu'à ce jour.
C'était un soir avec deux copains à moi, Dario le tendre et Shin le pervers. *Rire*. Shin m'avait trainé dans un bar spectacle, bien que nous n'avions pas tellement le droit d'y aller... alors de mon côté j'ai embraqué Dario, c'était un peu notre petite victime facile. Shin trouvait les plans, je faisais les conneries, Dario en assumait les conséquences. Ca c'est l'esprit d'équipe !
On était parti draguer chacun de notre côté, j'en avais trouvé une plutôt pas mal quand une chanson a caressé mes oreilles. Mes yeux se sont tournés vers la scène et je l'ai vu pour la première fois. Une magnifique jeune fille aux cheveux rose. Lorsqu'elle est descendu de scène, je me suis précipité dans les loges des musiciens pour tomber sur elle. Approche directe, je me suis mis à la draguer comme un gros lourdingue, elle se contentait de me repousser avec des répliques plutôt cinglantes. Curieusement j'ai découvert que j'aimais être repoussé... Nous nous sommes recroisés plusieurs fois par hasard, pour finir par nous apprécier assez pour jouer au chat et à la souris. Un jeu où ni elle, ni moi devions gagner. On avait simplement peur, si on s'avouait quoi que ce soit, tout aurait pu se briser. C'était assez difficile à vivre mais pas impossible, nous souffrions beaucoup mais ce qu'on avait était plus important que ça. Cette histoire a bien durée un an, ce qui a mis un terme à notre relation c'était quelque chose d'assez moche.
Nous n'avions aucun engagement officiel l'un en vers l'autre, elle laissait les autres garçons lui tourner autour, et moi, je draguais d'autres filles alors nous nous sommes petit à petit éloigné. Elle est revenu me voir après trois semaines de silence radio, des larmes inondaient son visage et elle me suppliait de lui dire ces mots que nous nous étions interdit. La prenant dans mes bras, je l'ai embrassé de toutes mes forces puis j'ai fini par lui dire ... "Je t'aime Leiko". Après ça nous avons vécu deux semaines de pure bonheur et un @rhg#!? de faux frère lui a fait du rentre dedans comme un malade et à tout fait pour nous éloigner. Résultat : Leiko m'a abandonné, les études se sont finis et moi j'ai décidé de percé dans le mannequinat au grand désespoir de papi. Ouais moi aussi j'ai trouvé que c'était une fin pourrit pour mes années lycée, mais on choisi pas toujours.

Grand père désespéré, après deux ans de lutte acharnée, décidait de m'envoyer chez ma tante maternelle, en floride. "-Au moins là bas elle arrivera peut etre à te trouver un truc pas mal"
Alors sagement, j'ai pris mes valises direction maison de tantine. Elle m'avait trouvé une "université pas mal qui plaira sans doute à un narcissique je m'en foutiste" *merci tata ...*. Je crois que ce qui me démoralise le plus dans cette histoire c'est d'être interne, déjà au lycée papi m'avait collé à l'internat et c'était chiant. J'espère que ça se passera mieux à Volfoni !

Pour faire bref, être discret je sais pas faire. Depuis tout petit, on me dit que je suis magnifique et on m'offre tout ce dont je rêve, donc, forcément... j'ai le syndrome de l'enfant unique.

Je suis extraverti, égocentrique, coureur de jupons... j'ai pas tellement de qualité à première vue. Un passant vous dirait quelque chose comme ça : "Ce type m'a l'air complètement débile, obsédé par sa personne il ne remarque même pas les autres. Puis regardez comment il se déhanche en pleine rue ! On dirait que sa tête est habitée de pleins de mini lui !" *tousse* c'est le cas. Moi j'aime bien quand ça bouge, quand ça pète, quand je me marre et qu'y a de la meuf.

En parlant de meufs, je suis très nul en drague mais qu'est ce que j'aime ça, c'est tout simplement hilarant !

Je n'ai pas pour habitude de m'attacher aux autres, c'est vrai, tomber amoureux encore moins. Quand je vois l'expérience que j'en ai eu ça me suffit. Enfin je n'ai pas que des défauts, je suis parfait n'oubliez pas. Certes, les cours c'est pas mon truc pourtant je suis quelqu'un de très intelligent. Hey stop rigoler ! Je vous jure que c'est vrai. En séchant les cours presque tout le temps pour me la couler douce au soleil, je suis quand même parvenu à rester dans les têtes de ma classe au lycée. Nan nan je prends pas de la science en infusette, j'ai juste des facilités à l'école, et un pièce de monnaie pour les QCMs... Bourré d'humour, d'auto dérision et gentil comme un agneaux je suis l'homme parfait Mesdames !

Je suis beau. Y a-t-il quelque chose à ajouter ? Je ne crois pas. Un corps musclé d'un mètre soixante-dix neuf, des cheveux roux soyeux flottant dans l’air hérité de ma chère maman, de fines lèvres, une peau parfaitement douce et sans défaut, des yeux d’un vert fantastiquement bandant… de maman aussi. Nan mais sérieux il vous faut quoi de plus ? Je suis grand et mince. Mon corps est un oeuvre d'art à cause de tout ce que je fais pour l’entretenir. Oui je mets des crèmes et alors ?! Je suis quand même un mec !

Mes fringues c’est simple : bottes noires style rangers, pantalon noir à rayures blanches sur le côté la plus part du temps, un petit débardeur col v pour faire rêver les minettes. Ça c’est mon look printemps. En été c’est plutôt bermudas et tong, mode tranquille quoi. Après c’est basique pour automne hiver c’est pantalon, rangeo, pull et veste. Enfin un rien me mets en valeur quoi, avec un petit style metaleux sexy Aight !!! Bon je devrais pas trop avoir besoin de vêtements chaud ici mais on sait jamais.
Hmm j’ai un bandeau sur l’œil aussi, c’est à cause de ma cécité à l’œil droit… mais ça me rend mystérieux alors ça va.